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Beaucoup |
SaintEmoi : Réveil |
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Ce poème m'apporte beaucoup de questionnements. Ce n'est pas vraiment la suite d'une nuit de beuverie, ce n'est pas non plus le renoncement à une vie diminuée par des problèmes de santé.
Le fait de reprendre sa vêture et bardé de cette armure, pouvoir sortir sans que les autres ne puissent plus le toucher n'est-il qu'une image de l'apparence qu... (12/12/2020) |
Beaucoup |
Luz : L’enfance disparue |
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Une mélancolie triste qui nous prend totalement.
C'est pourtant un constat serein de cette enfance disparue, qui se termine par la sève qui ne chante plus et l'émotion qui s'assèche.
Cette fin me laisse perplexe, car pour moi sous l'écorce il y a encore beaucoup de beautés.
J'ai cependant beaucoup aimé cette poésie. (2/12/2020) |
Passionnément |
Vincent : J'ai inventé le vent |
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C'est une vraie page de pur bonheur.
Il y a dans cette chanson tant de belles inventions, de plénitude, de sérénité.
La musique porte cette poésie de façon magnifique. les passages de flûte de pan nous rappellent qu'inventer le vent est chose sublime. (30/11/2020) |
Beaucoup ↑ |
apierre : Images floconneuses |
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Un beau regard sur cette féerie qu'est la neige. Des yeux d'enfants qui voient d'instinct le gris d'en bas et la pureté d'en haut.
"Les réverbères éveillés (qui) versent) des flocons de lumière": image magnifique.
J'ai retrouvé la simplicité de l'enfance qui comprend sans avoir besoin d'explications.
Merci. (27/11/2020) |
Beaucoup |
Davide : L’éclipse |
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Plein de mélancolie, de tristesse, ce poème sonne juste et l'on y retrouve des états d'âme que l'on a parfois ressentis.
De magnifiques images: "Je fuis à pat de chat, l'hiver aux blanches mains"..."J'écris pour le satin des amours d'autrefois".
Merci de nous avoir fait partagé de façon aussi limpide ces moments où l'âme se laisse imbiber par ... (23/11/2020) |
Beaucoup |
Luz : L’escargot de l’épicerie |
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Je crois que je vais m'abonner à l'écho des poireaux pour y retrouver quotidiennement mon lot de fraîcheur, d'enfance, de simplicité.
C'est bien écrit, on sourit au bouche à bouche de réanimation de la bestiole qui retrouve finalement son bonheur entre deux feuilles de laitue.
Merci pour cette lecture. (14/11/2020) |
Beaucoup ↑ |
Wencreeft : Un dernier vers ? |
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On écrit souvent des choses qui nous paraissent évidentes à comprendre, pourtant elles restent obscures au lecteur. Puis une autre personne , un autre regard font la lumière sur ces mots; et cela prend souvent beaucoup de temps.
"Il fut, sous le dais de la nuit, l'orateur éloquent d'une langue muette".
Là, tout est dit. Je me retrouve pleineme... (11/11/2020) |
Beaucoup ↑ |
Vincent : Elle a volé ma vie |
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Quel contraste entre les paroles et la version chantée!
La violence vécue affleure à chaque mot et pourtant il a su "rechercher son âme et sa douceur". C'est ainsi qu'il a pu ressortir des placards.
La musique apporte cette sérénité retrouvée après tant d'outrages.
C'est superbe! (10/11/2020) |
Beaucoup |
Ithaque : Un slow |
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"Un soir où la pudeur avait pris ses congés"...
C'est vrai qu'à cette époque on osait moins, on prenait le temps de l'approche.
Beau poème de nostalgie, soutenu par un rythme fort, qui nous replonge dans la jeunesse d'alors.
J'ai beaucoup aimé.
Merci (10/11/2020) |
Passionnément |
Charivari : La java des si j'avais |
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Quel talent!
Ce n'est ni simple ni simpliste de traiter la banalité des "Y'qu'a"
avec autant d'humour.
Pour vous faire sourire, une anecdote: Un ami disait de mon ancien couple:" Ici il y a le Grand Y'qu'a qui dit Il faut qu'on, et le Petit Y'qu'a qui se démerde comme il peut!"
Merci de ce rappel, qui vaut tous les vaccins, pour nous rappel... (9/11/2020) |
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