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| Beaucoup ↑ |
Pimpette : Le misogyne amoureux… |
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Humour et tendresse dans ce récit dans lequel l'auteur fait preuve de l'originalité d'expression et de vision à laquelle elle nous a souvent habituée.
Le titre pouvait laisser croire à quelque chose de prévisible, mais tout au contraire, c'est une vision particulière d'un amoureux qui veut retrouver sa belle, même si elle peut être un peu encom... (24/6/2016) |
| Bien ↓ |
Gary : C'était chaque jour le même |
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Ce texte tient plus de la chanson que de la poésie. la répétition des mêmes rimes en ème est monotone pour un poème et j'ai l'impression que ça fonctionnerait mieux en chanson surtout avec un hepta.
Pour un poème, la reprise du dernier vers d'une strophe immédiatement en début de la strophe suivante n'est pas vraiment adaptée. Vous auriez pu me... (22/6/2016) |
| Passionnément |
emilia : La toile imaginaire... |
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J'aime cette arabesque, j'aime l'écriture et l'exercice, j'aime les images, j'aime tout quoi.
On le voit se nuage blanc, dans l'image et dans l'écriture. Il s'effiloche, se reconstitue, s'efface.
Deux aspects graphiques se rencontrent et c'est du plus heureux effet.
Un classique déstructuré avec un grand talent. (22/6/2016) |
| Beaucoup ↓ |
Marie-Lune : Âmes grises |
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J'ai globalement beaucoup apprécié ce texte. Je voudrais simplement signaler quelques petites choses qui pourraient selon moi être améliorée.
Je pense que le texte se passerait sans problème de la 1ère strophe. Le poème commence à mon avis à la seconde.
"Moi je" est presque un pléonasme et supprimer le "moi" ne gênerait en rien la lecture et ... (21/6/2016) |
| Bien |
meryem05 : Je suis, qui suis-je ? |
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J'ai aimé le poème jusqu'au vers 16. La fin me paraît un peu négligée. Dans ce style de texte, il me semble que c'est un peu comme pour les sonnets, le vers final doit être une forme d'apothéose, le sommet du texte.
Les négations inversées sont fâcheuses car pouvant laisser entendre le contraire du propos.
Comme pour beaucoup de poème libre, l... (20/6/2016) |
| Bien ↓ |
Cristale : Le vieux moulin |
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Un poème très descriptif, agréable à la lecture et à l'oralité. Pas à la hauteur d'écrits précédents mais on ne peut pas toujours naviguer sur les crêtes des vagues.
Je pense à "Le miroir" ou à "Prélude" de vrais chefs d'oeuvre que n'égale pas celui-ci et je ne peux pas m'empêcher de faire la comparaison. Ici, peu de suggestion, tout est dit, ... (20/6/2016) |
| Beaucoup |
Benooou : La bougie |
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Plein de nuances, une ambiance dans ce joli texte. On se laisse bercer par les mots et la simplicité du propos. Un poème du soir, comme à la fin d'une veillée. (20/6/2016) |
| Beaucoup |
plumette : Le blanc dans tous mes états |
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Il y a un fond qui me plaît dans cette prose, une variation sur le blanc. autant réflexion que poésie.
Délivrez-moi du blanc ! Un appel comme une prière. La fin du texte est très belle. C'est par l'appropriation de votre propre rapport à ce blanc que la beauté ressort de ce texte. j'ai pensé à Hergé qui fut un temps obsédé par la blancheur au ... (19/6/2016) |
| Beaucoup |
Vincent : Tu as tué ta mère |
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Dédoublement de personnalité ?
Ce texte est assez évocateur de cet aspect quand le personnage ne sait pas ce qui tient du réel ou de l'esprit.
J'ai connu un jeune gars enfumé au cannabis et nourri aux amphétamines qui dans des moments de crise frappait sa mère et sa compagne, se vêtait en SS. Alors qu'il pouvait être un type agréable par aille... (19/6/2016) |
| Un peu ↑ |
madawaza : J'ai des masques |
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J'ai mis longtemps à essayer de trouver quel sens donner à ce texte et même aujourd'hui je ne suis pas sûr. Donc autant poser la question et indiquer comment j'interprète même si c'est à côté de la plaque.
S'agit-il d'une femme ? Car déguiser une femme en femme, j'ai du mal à comprendre. J'ai lu finalement ce texte comme si le narrateur était ... (10/6/2016) |
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