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Beaucoup |
Michel64 : Ma neige |
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Ce poème est un bel ouvrage. La description et les sentiment très imagés donnent une lecture agréable qui parle aux sens.
Ce quatrain est un ornement qui a ma préférence.
"Ma neige est au jardin en fourrure d'hermine
L'enrobant de rondeurs aux courbes épurées
Et ornant les roseaux à la tête inclinée
De chandelles de verre aux reflets d'opa... (18/11/2014) |
Bien ↓ |
Brisemarine : Ce désir qui s'embra |
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Quelques lourdeurs de rédaction, notamment des arythmies préjudiciable à la fluidité du texte quand l'alexandrin devient bancal. Mais un écrit très imagé. Comme d'autre je ne comprends pas la signification de s'embra. Un terme local, une expression d'une langue étrangère. (14/11/2014) |
Bien ↓ |
tib1909 : Louange à une rayonnante étoile |
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Un exercice plutôt réussi pour la série d'acrostiches.
Cependant, qu'appelez vous "stricte versification", en tout cas, pas l'alexandrin classique car ils sont irréguliers, plusieurs qui élide les "e" quand d'autres les prononce pour tenir les 12 pieds.
"Appelle, (e élidé)tel un tocsin, tous les regards sur toi
Unanime (e prononcé) beauté l... (13/11/2014) |
Bien |
Carabin : La jeunesse |
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Un petit aspect désuet pour le fond rend le poème charmant. - c'est un poème qui parle plus d'autrefois que d'aujourd'hui -
Par contre, nous annoncer des alexandrins dénote soit une ironie de l'auteur, soit une méconnaissance de ce qu'est l'alexandrin classique.
La difficulté sur ce type de versification, c'est que parfois les "e" sont à éli... (8/11/2014) |
Bien |
sqark : Le dialogue des vents |
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C'est bien écrit, peut être un peu lassant, peut-être un peu confus. Je me suis perdu un peu dans le dialogue, ne sachant pas toujours quel interlocuteur s'exprimait. Cette lutte entre le soleil et le néant, la lutte entre le créateur et sa création en somme . Le soleil veut prendre la place de dieu, le soleil se croit dieu, et sa matrice ne ... (5/11/2014) |
Bien |
TNOT : Impasse |
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ça se déclame agréablement. Un petit aspect désuet rend le poème charmant. Je l'imagine sur un rythme de slam ou tout simplement un rap parlé syncopé.
Et le fond n'est pas absent même si je ne partage pas cet avis sur l'inanité de la recherche et de l'exploration considéré comme une vaine curiosité. (4/11/2014) |
Bien ↑ |
Sylvain84 : Le petit cimetière |
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Une atmosphère sensible qui m'a vraiment imprégnée tout au long de ce texte.
La dernière strophe est emplie d'une sensibilité émouvante pour ceux dont la foi leur permet de croire à des retrouvailles prochaines et dont je respecte l'intime conviction: cette espérance qui certainement leur permet de vivre encore un peu. (30/10/2014) |
Bien |
AxelDambre : Comme au goulot des heures |
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Il y a de l'envolée, de la force évocatrice dans ces vers. "siller" (verbe inconnu pour moi et mon correcteur) J'ai trouvé une définition sur dico.com. "coudre les yeux d'un rapace". Est-ce votre propos? Une autre proposition serait fendre l'eau? mais j'avoue que ni l'une ni l'autre ne s'accorde avec les oripeaux. J'aimerais une explication. "... (29/10/2014) |
Beaucoup |
Pluriels1 : Spectaculaires |
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Une poésie évocatrice parcourt tout ce poème.
Je citerai entre autres passages que j'ai retenu:
"Un océan vainqueur englue la terre en vert,
Sans cesse canonnade ; une houle imparfaite
Jusqu'au lagon conquis joue la belle coquette
Où la vague des monts ploie ses eaux à l'envers.
Lait chaud, lac apparent des herbes chatouillées,
Magnif... (27/10/2014) |
Bien ↑ |
Francis : L'automne du doris |
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Rien à redire sur la construction du poème mais je trouve qu'il ressasse trop la même description et la même idée.
Exemple: La terre l'emprisonne - La vase l'englouti
ou bien Esquif agonisant - épave gisant
Les quatrains m'ont beaucoup plu. Les tercets répètent largement dans un autre vocabulaire le propos des quatrains. (24/10/2014) |
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