Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Les évaluations de Cyrill

(1) 2 3 4 ... 59 »
aboutie/aime bien AxelDambre : Les bords du poème
Un poème hermétique, qui ne se laisse comprendre que rétrospectivement, à l’aune des deux derniers vers. Je tente une traduction : La folie serait protégée de ses débordements par la palissade que forment les bords du poème, c’est à dire les rimes, ou du moins la forme. Les fous sont parqués à l’asile (poétique), leur âme fragile («  Le centre... (29/1/2024)
convenable/aime bien Eki : Cendres de neige
Salut Eki, Je crois que j’aurais préféré lire ce poème sous une autre forme : en prose, peut-être, ou en libre. Mais en tout cas débarrassé de la contrainte de rime. Dans leur majorité elles sont pauvres, elles n’apportent donc pas au texte de valeur musicale. Elles ont nui à l’ordonnancement syntaxique, qui me paraît ainsi pris dans un car... (25/1/2024)
aboutie/aime beaucoup VinSpat : Prière pour un pays
Bonjour VinSpat, J’ai particulièrement aimé lire les longs vers composés en 3 fois 8 avec des rimes internes. Il y a en eux toute la langueur de la quête impossible, de la perte, en définitive. Un pays, une maison, paradis essentiel et pourtant inatteignable. Toute une déclinaison des bienfaits perdus est développée dans ces vers, c’est un... (19/1/2024)
aboutie/aime bien Provencao : J'ai entendu le gazouillis des moineaux
Bonjour Provencao, Cette nonnette m’est apparue comme étant l’ambassadrice d’une pensée flottante, ne se posant sur rien en particulier mais captant dans sa fuite des bouts de ceci ou de cela. Images éphémères d’un tableau impressionniste, leur légèreté fait cependant place à une douleur qui point dans l’avant-dernière strophe, comme un parad... (19/1/2024)
très aboutie/aime beaucoup Myndie : L'épave
Salut Myndie, Nul besoin de voir le tableau, ses variations sont ici sous mes yeux et par tes mots, soucieux du détail et renseignant sur la couleur, la lumière, l’atmosphère de cette marine. Le mouvement de l’eau est donné par la reprise des vers du premier quatrain, lent et ménageant ses ombres. Un suspense mené de main de maître, avec son... (11/1/2024)
aboutie/aime beaucoup Skender : À l'hôtel des nuits sourdes
Bonjour Skender, Comme mon prédécesseur en commentaire, j’ai bien entendu pensé à Bierstube d’Aragon, avec sa question existentielle. La référence est presque gênante en tout début d’écrit – un peu comme le sparadrap du capitaine Haddock – mais elle permet aussi de placer le locuteur dans son imaginaire propre et dans sa distanciation de la réf... (10/1/2024)
aboutie/aime beaucoup ALDO : Denise
Ne serait-ce que pour la musicalité des vers et le mystère dans lequel semble baigner ce poème – joker pour l’auteur, probablement – j’ai été happé à sa lecture. La syntaxe, bousculée sans être incompréhensible ou fautive, met en avant ce qui semble importer pour le locuteur. Des images subtiles, parfois flirtant avec l’oxymore comme dans le... (9/1/2024)
très aboutie/aime beaucoup Eskisse : Mon ours ne sourit plus
Salut Eskisse, J’ai trouvé ici la saveur spéciale des paroles enfantines, avec son prosaïsme particulier dans la métaphore, par exemple dans ces deux vers : « J’ai essayé parfois de rayer son tourment », « Dans les couloirs cireux que mon père a tordus ». Ils font naître mon empathie, sans retenue. La pensée de la locutrice s’accroche à des r... (9/1/2024)
aboutie/aime beaucoup Jemabi : Stigmates
Salut Jemabi, Un texte pudique où sourd la violence. Les références animales : crinière, grondement, grimaces, accentuent l’inaccessibilité au langage d’un narrateur comme ‘empêtré’ dans les « pattes de ta voix », encore du registre de langage de l’animal. L’expression semble malaisée mais elle colle parfaitement à cette difficulté à dire, ... (8/1/2024)
aboutie/aime beaucoup Vincente : Flèches sacrées
Salut Vincente, Un thème qui me séduit d’emblée. Le traitement soigne ses effets de mise en scène, avec en prime la conscience d’un narrateur partie prenante et jamais au bout de ses surprises, émerveillé et pensant à la fois, par vague, comme épousant la migration et la liberté qu’elle suggère : « m’interpellent ardents ». Les flèches ind... (8/1/2024)
(1) 2 3 4 ... 59 »

Oniris Copyright © 2007-2023