Bonjour à tous.


Merci au Comité d'Oniris d'avoir laissé passer de mon eau,

à Marimay d'avoir accepté que j'en modifie le cours,

aux heures bénévoles,
à l'attention et à l'inattention, aux semelles de vent...



Dans ma maison, le voyageur n'a pas besoin de se déchausser.
On ne lui dira pas de manière complexe les choses simples de la vie.

Mais on tentera, avec lui,
de dire de manière très simple, les choses très complexes de nos vies.

Et comme toutes les traductions, nous échouerons.


Je remercie les trois voyageurs Volontaire, Provencao et Pouet,

d'avoir à même le salon vide

écouté et décrit le bruit de mon eau.


Merci

Mais je serais un hôte impoli si je ne répondais pas
à ce que l'on me dit :


Volontaire : au fur et à mesure de vos commentaires, je devine que nous partageons quelque chose.
je ne sais pas quoi vous dire de plus...

mais c'est beaucoup.

merci


Provencao : s'il existait le mot simple, unique, je n'aurais pas recours à cet assemblage, cette recherche.

Mais je ne le connais pas.

merci


Pouet : au départ, il y a une chose qui apparaît, non voulue (une idée, une phrase, la vie).

Et puis pendant que nous en cherchons et construisons le sens,
les choses tout autour,

peu à peu, disparaissent ...

merci

Slr,

vous allez devoir réitérer vos remerciements je pense car ce poème mérite bien mieux que trois commentaires.

Bien à vous

Peut-être ai-je lu votre poésie en faisant mine de découvrir et de regarder un peu ailleurs...distraite peut-être pour mieux m'imprégner de votre poésie pour mieux , très certainement m'y retrouver...
Cordialement

@Pouet : Je crois que Aldo aime bien disperser ses remerciements au fil de l'eau et de l'arrivée des voyageurs... Mais je fais peut-être erreur.

Bienvenue Eskisse !

Un grand merci de vous être déplacée jusqu'à mon salon vide.

Il n’y a plus de piano, plus de fauteuil, seulement de l’eau...
Aussi ferai-je vite :

Dans la direction picturale vers laquelle vous regardez, tout semble flou, vaporeux...
Mais dans celle où j’essaie d’écouter, au contraire,

tout se veut très précis, au quart de soupir près !

Un grand merci...
Mais l’eau monte.

Je n'avais pas vu A2L9, derrière les portes closes !
Pardon, j'écopais.

Un très grand merci pour votre beau commentaire, comme une appropriation.


Souvent, j'entends dire :

" Écrivant, tu obéis à une nécessité, que t'importe le devenir de ce que tu fais ? ".

Eh bien, il m'importe !
Cela m'aide de savoir que, si je tends une main, une autre peut la prendre.


Merci beaucoup.

Merci pour ces beaux remerciements! Je crois que nous partageons un imaginaire un peu magique, en tout cas je me sens bien dans la magie de vos poèmes publiés ici :)