Tout d’abord merci à tous d’avoir si bien accueilli cette fée que je n’ai fait qu’imaginer en lisant ce conte (je n’ai su le définir autrement) de ma femme.

Ce que j’en ai fait ?

Sans doute ais-je tenté d’ériger un pont entre cette lune et nous, cet écho irrationnel conservé de nos enfances qui entretient la petite flamme de l’existence. Je crois qu’il fallait s’adresser à l’adulte pour tisser cet autre pont, celui d’un retour… si fugace soit-il à nos âmes alors innocentes. L’essai semble réussi puisqu’une belle unanimité semble se dégager.

Je n’en dirais pas plus car cette histoire appartient en égales part à Ge, Jeff, ma femme... et moi, et chacun à su avoir le bon goût de ne pas gâcher le talent des autres ; peut-être est-ce la chance simplement.

Merci à Leni, Hananke, Robot, Bipol, Francis, Papipoete, automnale, Alexandre, Damy et Marité… et ceux qui viendrons peut-être ensuite.

On peut tenter (je le fais peu par respect) de se justifier face à un contradicteur mais face aux louanges, en rajouter, sans même parler d’immodestie me mettrais assez mal à l’aise. J’ai simplement à dire que je ne boude pas ce plaisir là, que (à nouveau), je vous en remercie.

Bon vent à tous sous le regard de cette fée qui vous appartient désormais !

Funambule.