@ framato

Je ne vois pas l'utilité de poursuivre une discussion sur ce fil pour un commentaire qui a été enlevé (pas sur ma demande, je le précise). Cela devient stérile.

Commentez sans autre, c'est votre liberté, du moment que ça reste respectueux. C'est tout ce qui m'importe. Des excuses ne sont pas nécessaires en quoi que ce soit. Et vous n'aurez plus guère l'occasion de commenter mes textes dans l'espace lecture d'Oniris. Je suis sur autre chose et pour longtemps.

Bonne continuation.

@ Leo

Je crois qu'il y a une méprise sur le sens de ce que je voulais dire. Il m'est arrivé souvent de commenter des textes que je n'appréciais pas, sur le fond ou dans la forme. Et je me suis toujours astreinte à faire des commentaires un tant soi peu constructifs, mettant l'accent sur les points qui, à mon avis, pouvaient améliorer le texte.

Maintenant, oui, je me refuse à commenter des textes qui correspondent si peu à ce que j'aime que je ne pourrais pas émettre un commentaire objectif, ou alors qui me parlent si peu que je n'y trouve rien de positif.

Critiquer pour critiquer, je n'en vois pas l'intérêt. Ni pour moi, ni pour l'auteur, ni pour Oniris.

Alors porter sur mes frêles épaules la possible raison d'une disparition d'Oniris, faut pas pousser tout de même... Deux fois dans le même forum qui plus est.

Je n'ai pas vocation de bouc émissaire et je ne crois pas avoir une telle importance pour la survie d'Oniris, loin de là.


@ widjet

Alors on se marre bien ? C'est ce qu'il y a de mieux à faire.

A part ça, comment va la petite puce ?


@ nico84

Merci de votre commentaire clair et explicitant votre ressenti.

Bon week-end à tous

J'ai bien aimé ton cycle "humain" sur la guerre et la Paix, on a l'impression d'incessants amnésiques qui passe au fil du temps, entre amour et oubli de la nation, de la liberté ...

Merci encore :)

Bonjour,

@ nico84

Merci de ce ressenti qui me parle.


@ brabant

Merci pour ce commentaire comme toujours fascinant. Les vers en eux-mêmes vous ont plu, c'est déjà très satisfaisant pour moi.

Venons-en au fond. Quelques unes de vos remarques appellent une réponse.

"La thèse ci annoncée semble vouloir avancer que tout sang est sublime et innocent." Non, ce n'est pas mon intention. Je voulais juste exprimer que les rapports humains sont depuis toujours teintés de sang, et que ce sang est rouge pour tout le monde.

"Mon B tire sur le ( - ) car j'aurai aimé moins de mansuétude envers le bourreau." Jamais je ne montrerai la moindre mansuétude envers un bourreau, si tant est qu'il soit identifié avec certitude. Ce que l'émotionnel permet rarement, et cela se comprend dans des circonstances par définition exceptionnelles. Combien de bourreaux se posant en victimes ont échappé à tout châtiment, combien de victimes dénoncées comme bourreaux ont été exécutées à tort et leur mémoire salie ?

Mon texte semble décidément ambigü, donc il faudra que je le revoie entièrement. Il n'y a aucune intention de juger ou prendre parti dans les mots que j'ai choisis. Seulement la constatation d'un schéma qui se déroule de façon identique dans toutes les guerres, à toutes les époques passées et sans doute à venir. Un œil froid posé sur des faits.

Il n'y a pas référence à des souvenirs précis, il y a un déroulement posé pour faire ressortir cet éternel recommencement d'événements toujours semblables, si ce n'est dans les faits au moins dans la forme : attaques/contre-attaques, massacres/vengeances, etc...

Mon tort semble dans le choix des couleurs qui ramène à des événements encore présents dans beaucoup de mémoires. C'était voulu ; ce fut une erreur. Donc une prochaine version, si elle existe, sera basée sur d'autres couleurs pour une guerre plus ancienne, et ainsi ne grattera pas une plaie toujours à vif car trop récente. Pour ma part cependant, Oradour n'atténue en rien les femmes tondues, et vice-versa. Ce sont deux faces de la même ignominie.

Coupables ? Innocents ? Bien sûr. Mais devant un champ de morts, tous uniformes confondus, seuls les souvenirs des vivants pourront départager qui était bourreau et qui était victime.

Otez les souvenirs, il ne reste que des morts.

Modération

Sujet nettoyé pour manque de convivialité, il n'y aura pas d'autre avertissement avant sa fermeture en cas de récidive.

"@ Arielle

Merci de cette opinion. Si c'était aussi simple, hélas. On prononce le mot paix et on retourne planter ses choux ?

[passage modéré : Allusions déplacés]

La paix se signe sur du papier, certes, (d'où l'allusion au chagrin, cuir fin de couverture d'un livre) mais dans la rue elle n'est souvent pas très belle à voir non plus avant que ne s'apaisent les rancoeurs.
Le pardon ne vient qu'après la vengeance, justifiée ou pas."
Désolée, je ne sais pas faire les citations partielles d'un message

Voilà le genre de retour qui décourage le lecteur de laisser un commentaire sur un texte dont il n'apprécie pas à cent pour cent les qualités. ( J'ai lu le passage modéré avant qu'il ne disparaisse)
J'ai pris votre texte comme deux visions distinctes du monde en guerre et du monde en paix.
Vous avez voulu, si je vous comprends bien cette fois, nous faire un tableau de la guerre et de la "paix" qui suit immédiatement le dépôt des armes. Je ne suis pas tout à fait assez vieille pour avoir vécu de manière consciente, cette période encore toute entachée d'amertumes, de deuils, de restrictions et d'esprit de vengeance et je sais parfaitement que ma famille n'est pas retournée planter ses choux comme si de rien n'était pendant de longs mois, voire des années.
J'ai pour principe, concernant mes propres textes, de laisser au lecteur le choix de ses interprétations. Mais lorsqu'elles me paraissent s'opposer trop radicalement à ce que j'ai voulu dire je me considère comme seule responsable : si je n'ai pas su me faire comprendre, c'est l'émetteur qui est en défaut, pas le récepteur !
Je n'ai fait que donner mon ressenti sur votre poème, détaché de tout contexte littéraire (Tolstoï pour ne pas le citer) Si mon commentaire n'est pas à la hauteur de votre attente, j'en suis désolée mais n'ai pas l'intention d'en changer un iota.
Vous le reconnaissez d'ailleurs vous-même :
" Mon texte semble décidément ambigü, donc il faudra que je le revoie entièrement"
Peut–être un petit seul mot de présentation suffirait-il à lever l'ambiguïté ?

[Post modéré par Daphlanote]

Merci d'adresser vos adieux dans votre topic d'accueil ou par mp aux personnes concernées.

Le Forum "Discussion sur les récits" n'a pas la vocation de publier ce type de message.