Voilà, voilà.......mais peut-être le connaissez-vous?
C'est pas grave ?
Bon travail les amis


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sonnait
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Clitandre
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connu
venu
ravie
vie

Merci pieralun !

Non, inconnu. Tout autant que le sonnet de Baudelaire dont nous ne nous sommes à aucun moment rapprochés.

Bon y'a plus q'à....... Bon courage, les amis !

Merci Pieralun, tu réagis au quart de tour
verrai ça demain aux aurores

Pour ne point faire attendre en vain quelque lecteur
Voici pour cette fois le fruit de mon labeur...


Diable, voilà bien peu pour bâtir un sonnet !
Ces rimes, il est vrai, peuvent sans trop s’étendre
Convenir à merveille à ce bel âge tendre
Qui fait du jouvenceau linotte ou sansonnet.

Présentons-le transi, disons qu’il frissonnait,
Ne craignant point son roi, comme d’antan Clitandre,
Mais l’amour incertain qui se faisait attendre,
Le laissait si nerveux, en deux mots le sonnait.

Rassurez-vous, lecteurs, sur ma vieille écritoire
Je m’en vais de ce pas achever cette histoire
D’un tercet de niveau du tout premier venu…

Le damoiseau, soudain, bondit, mine ravie,
En voyant accourir la femme de sa vie !
Ils furent très heureux et… le reste est connu !

mais comment tu fais Alex ???


[J'ai essoré les débordements smilesques. Pour préserver les yeux des Oniriens... Pat]

C'était le soir, au fond des bois, le cor sonnait.
L'automne était tout roux. La brune allait étendre
Son manteau. Sous les ifs, la biche frissonnait .
« Je finirai plus tard, ces vers sauront attendre.

Il me faut effarer ces maudits sansonnets
Qui fientent à loisir sur mon pré d'herbe tendre.
Pourquoi perds-je mon temps à lire ces sonnets ? »
Se dit en se gaussant l'alcyonien Clitandre.

Cultiver son jardin, c'était toute sa vie.
Il lançait une œillade à la rave ravie
Et sortait de l'oubli des auteurs méconnus.

Mais il aimait aussi se conter des histoires,
Puis les coucher en vers sur son vieil écritoire,
Ainsi qu'il sied au « premier chimpanzé venu ».

J'ai hésité à faire la diérèse à fientent
Elle serait possible en admettant qu'un seul sansonnet fientât sur la pelouse. Mais en ce cas, à quoi bon le chasser ?

La vieille fille

Dans son désir mon cœur doucement frissonnait,
Il dessinait l’Amour sur la carte du Tendre
Et je me languissais chaque jour de l’attendre,
La cloche de l’émoi sans relâche sonnait.

Un gazouillis d’oiseau, l’aimable sansonnet,
Me murmurait son nom, celui de mon Clitandre
Qui viendrait contre moi sur le gazon s’étendre
Pour me lire des vers, ou m’écrire un sonnet…

Je conte à mon journal, sur un vieil écritoire,
Lorsque le soir revient les mots de cette histoire.
Même si son baiser je ne l’ai pas connu,

Mon rêve évanescent me voit l’âme ravie,
Prête à tout pour aimer, le reste de ma vie,
Cet amant de papier qui n’est jamais venu.

Ben moi, les diérèses, synérèses, élisions, tout le monde sait que ça me passe au dessus (n'est-ce pas Mona ?)



Gardez-moi de mes amis...



Vos rimes sont ma foi roupie de sansonnet
À l’entendre, vraiment, las, votre œuvre sonnait
Eh bien… comme le plus lamentable sonnet
La lune s’est cachée, tant elle en frissonnait !

Ah c’est sûr je pourrais vous mentir, être tendre,
Louer le bon vouloir, sur vos efforts m’étendre
Être un bel hypocrite ainsi que fut Clitandre
Mais ce n’est d’un ami ce qu’on doit en attendre.

Allons, vrai, croyez-m’en, délaissez l’écritoire
Aucune chance ici que vous marquiez l’Histoire
Cherchez d’autres moyens d’être un beau jour connu.

En ces temps d’infortune ou tout premier venu
Pond des vers en croyant voir la foule ravie
La Poésie gémit : « préférez donc la vie ! »


je parle uniquement pour moi hein...