J'étais sûr que ça te plairait et t'intéresserait ^^

Ninj'

Je profite du commentaire de Widjet pour dépoussiérer un peu ce sujet et lui répondre :)

Citation :

Ben en fait c'est pas tellement SF, comme histoire. C'est l'impression que je voulais en donner, mais y a pas trop d'élucubrations fictionnesques.
Toute la partie avec Anderson est rigoureusement exacte (les trucs auquels je fais allusion existent déjà, soit concrètement soit au stade de projets (bien aboutis).
Ceux dont je parle au niveau de Rafaël n'existent pas mais j'ai essayé de ne pas sombrer dans le délire technologique :)

Ca porte un nom, je crois, autre que la SF où j'ai classifié ça par défaut. L'anticipation, peut être, ou une forme de fantasy je ne sais plus trop. Bref, on s'en fout. Merci Wikipédia et l'Oracle, pour les gentils gens qui m'ont indiqué comment se décomposerait un corps en l'absence d'air, ou ce dont viendraient en premier à manquer des astronautes coincés sur l'ISS :)

Citation :

C'est mon premier texte où je m'essayais à jouer avec les sentiments, a essayer de les exprimer. J'en suis plutôt content vu que globalement on m'a dit que ça fonctionnait...

Citation :

J'ai refait in-extremis la dernière scène. Sans changer la brièveté de la scène de la lettre, mais j'avais forcé la main sur la conclusion (avec Rafaël qui s'en va), ce qui gâchait un peu la fin. Tout à fait d'accord avec l'importance de la concision, si elle est bien gérée (ici j'en suis content ^^).

Pour les yeux qui piquent Citation :, c'est une grande fierté. J'étais déjà fier d'avoir fait pleurer ma mère et Pat (qui n'ont pas la larme aisée devant un bouquin), rajouter Widjet à la liste, même s'il ne s'agit pas de gros sanglots, je pense que je pouvais difficilement faire mieux :p
Donc merci merci, ça me fait grand plaisir :)

Citation :

Tout à fait d'accord. C'était mon idée initiale, et dans mon projet abstrait, la "descente aux enfers" psychologique de Rafaël était beaucoup plus longue, beaucoup plus angoissante. Peuplée de petites allusions, de petits tics, de crises d'hystérie ou de rage. Sans prétendre rivaliser, je voulais lui donner un air de Shinning, renforcé par l'oppression que permettait la claustrophobie des lieux.
Mais j'ai clairement manqué de place. C'était le premier concours d'Oniris, et avec lui la fatidique limite des 40.000 caractères. Donc impossible de caser plus de petites scènes en apparence anecdotiques pour lisser la progression, qui perd du coup en crédibilité.
Après, ça pouvait sûrement être amélioré dans la concision...

Citation :

Sigh. Pas lu ni vu. Impardonnable que je suis. Lacune à rattraper sans faute. Je me flagelle de mon incultance.

Citation :

C'était l'idée. L'homme ne peut progresser qu'en prenant des risques, la nature ne l'a pas équipé pour survivre autrement. Expérimenter, toujours, mais surtout tenir compte de ses erreurs passées et essayer de ne pas les reproduire.
Content que tu aies senti le message, sans le trouver pompeux.

Pour le reste, merci beaucoup m'sieur, connaissant ton exigence, c'est une réelle satisfaction pour moi.

Et en me relisant (avant de répondre à ce com, ça faisait des mois que j'avais pas lu ce texte), je me suis aperçu que j'avais envie d'un autre texte comme celui là. Je suis globalement content de mes derniers textes, mais ils n'ont clairement pas la même ampleur que celui ci (malgré ses défauts).
Tu me refais rêver à un autre prochain "grand" texte, Widjet, merci ^^

Ninj'