@ Mona :

Merci Mona que j’admire [ il y a sur Oniris d’’’authentiques’’ poétesses ‘’vraies’’ = qui me correspondent à 100 pour 100 parmi lesquelles je distingue Pimpette et Arielle (mais pas que… lol) pour la maîtrise des images ; j’aimerais bien être capable de métaphocortirquer comme elles ] ! Merci pour les deux recueils de poésies de ta composition que tu m’as communiqués ; auprès de toi je suis un nain. Mais rien ne me séduit davantage que d’être à tes genoux :)

Merci beaucoup pour ton passage, digne, serein et adroitement synthétique comme toujours.

A te lire très vite, j’ai vu que « L’importun » est pour demain, il me semble avoir commenté ce poème en E L… Shame on me si je me trompe ! Je serai aux premières loges :)


@ Macaron :

Merci de ton appréciation, toi dont j’aime beaucoup lire les nouvelles, toujours de qualité.

Oui, placer les « p’tits tra-la-la » fallait oser ! Faut dire que j’étais dans la strophe clé, la strophe dévoyée, la strophe coquine. Fallait créer une diversion car ces p’tits tra-la-la bien innocents ont surtout servi à détourner l’attention. Lol

A ceux qui ne le connaissaient pas je rappelle le sens du proverbe « Bonne renommée… » : Sous Louis IX les bourgeois s’étaient mis en tête de payer une ceinture dorée à leurs dignes et chastes épouses pour qu’on ne les confondît pas avec les prostituées à la sortie de la messe dominicale. Bien vite les péripatéticiennes des porches et indistincts bordeaux (faudra que je vérifie l’orthographe ; y aurait pas un habitué dans l’ coin ?) ont arboré les mêmes ceintures pour tromper tout ce beau monde ainsi que les sergents. Restait plus que la bonne renommée pour la sauvegarde du quant-à-soi des jolies bourgeoises

En espérant que tu excuseras cette digression Merci encore pour ton passage sympathique Macaron :)


@ Lagomys et @ Micdec :

Vous deux ce sera tout à la fin mes petits zoziaux car c’est à vous que je réserve la clé de ce poème… ‘’grivois’’. Je crois que l’on peut dire ça comme ça :D


@ Fulpke :

Merci de ton passage ultra sympathique. Je vais aller lire la nouvelle que tu me recommandes et je compte bien proposer au moins un autre poème de ce type. Bien sûr !

Des compliments quant au style de la part d’un styliste de ton gabarit, toi qui fais partie de mon Top Ten des nouvellistes d’Oniris (tous à égalité), rien ne pouvait me faire plus plaisir. Un grand Merci !


@ Matcauth :

Merci de même qu’à Flupke pour ce commentaire ultra sympa et d’autant plus que je sais ta démarche sincère. Tu auras bien entendu tous les éclaircissements voulus, mais je pense vers la fin, car il y a de la canaillerie là-dessous et peut-être des choses qui choquent la bien-pensance tout autant que la bienséance.

Un très grand Merci à toi vraiment :)


To be continued… Alors Artex ça va être à ton tour ?... Vais essayer de ne pas me rater là. Lol :)D

Bonjour,
Très bon choix, Carmina...
Je cours chercher cette version (et pas une autre) du chef d'oeuvre absolu selon l'expertise que l'on vous sait, et vous dirais si je me tords de plaisir douloureux devant le grand Carl.

@ Artexflow :

Je suis bien d’accord avec toi sur le fait que l’accumulation des effets de style sur le web, lieu où l’écriture se dévore plus qu’elle ne se déguste, se survole et par conséquent déguste, peut nuire à la lisibilité d’une histoire, fût-elle poétique, où l’on se soucie cependant moins de lisibilité, encore que… mais… et puis… Bien là n’est pas un débat supplémentaire sur le sens, le non-sens et la multiplicité possible des sens en poésie. Celle-ci (l’histoire. lol) ayant surtout pour message (voir ton com) de ne pas en délivrer, sinon la Priorité donnée à l’Amour symbolisée par le choix de la Bergère (en latin on appelle cette figure le nominatif-accusatif si le souvenir de ma soixantaine d’heures dans l’étude de cette langue fondatrice ne me trahit pas. Si peu de temps consacré à une étude essentielle. Hélas ! Hélas ! Hélas !).
L’histoire est très simple hein ! Je la synthétise : C’est l’histoire d’un mec (Merci Coluche ! Que l’on te doit de choses !) qui enterre sa vie de garçon avant de demander la main de sa bergère. C’est tout !
Et puis il y a un ‘’environnement ‘’ : il est riche, refuse le mariage arrangé par ses parents, vit dans un siècle corrompu où l’Eglise se vautre dans le stupre (je reviendrai sur ce point historiquement authentique ; je suis ici bien au-dessous de la réalité, il ne s’agit pas d’insinuations bassement anticléricales de plus mais bien d’un état de fait).

Je profite de la strophe que tu as isolée pour préciser un petit commentaire (très coupable. Tu peux le jeter hein car est lourd ; mon côté beauf des fins de repas de famille) sur les couleurs :
« Vêtu de brocart picoté de rubis » :
Le rubis est la pierre rouge de la passion (tu as noté que j’ai pas mis d’émeraudes hein. lol) qui picote jusqu’au… brocart, filé plus loin par le velours de l’aubergine… de la cape cardinalice que j’ai préféré à la pourpre du murex urticant, signifiant plus à propos la démangeaison du chef cramoisi sous la calotte purpurine. Encore que l’urticaire… non… doucement sur le piment !
Ben voilà ! J’t’avais prév’nu hein !
Viens pas m’gronder !
J’aurais pu être plus lourd encore !
Sans problème !
Plus beauf !
Allez, Salut !
A tantôt vieux pote ! :D
J’me tais. Suis tout rouge là !
Comment ça ?
Pas toi !
Oh !


@ MissNode :

« Novice… » : dans un monde de moniales c’est un passage obligé :D Mais barre-toi car avec ces moniales-là tu le resteras pas longtemps. Alors… pendant qu’il est encore temps !... Le harem, ça exacerbe ! lol, je plaisante !...

J’aime bien :
« riche et élégant/ profusion de matière, type exercice d’écriture, dont une taille dans la masse, travail de sculpture ferait un bijou ».
En fait j’ai à l’esprit ces retables en bois brun presque noir, verni, qui brillent dans la clarté diffuse des chœurs et des chaires d’églises. Je verrais très bien un travail minutieux, ciselé, chantourné et contourné qui monterait en l’enlaçant autour d’un pilier rond en l’illustrant, comme une petite colonne trajane, un Trajan dévergondé néanmoins pré-converti sans le savoir encore, ça viendra deux ou trois siècles plus tard avec le très politique Constantin si mes souvenirs sont bons.

J’ai trouvé ton com très structuré, MissNode, très sensé, un peu antinomique de l’image explosive/tumultueuse (c’est pas péjoratif du tout hein, au contraire) que tu sembles vouloir donner de toi. En tout cas j’ai l’impression que j’ai eue à te lire jusqu’ici. « Carmina Burana » ne sommeille-t-elle qu’en ton tré-tréfonds ? :)

Merci pour ton sympathique et compétent passage ! Oui, j’aime les religieuses et les bergères, j’aimerais être un héros shakespearien quelque part…
Dans un autre temps…
Dans un autre monde…
Encore Merci !
:)


@ ChatotJP :

Un grand merci pour avoir souligné le fait que ce texte est jalonné de mots et d’images inféodés JP !
Ton passage m’a fait très plaisir :)

Au plaisir de te lire…
:)))


Et maintenant ! Lagomys et Micdec ! A nous trois ! Sus au Cardinal ! Euh ! Pardon ! Aux cardinaux ! Attention ! Pas de noms d’oiseaux hein !

A demain !…
:))))))))))))

Une chose est certaine, ton poème a de l'âme, c'était visible à la lecture et plus encore maintenant que tu le détailles, l'expliques, l'approfondis, à mesure que tu digresses.

Je suis assez fasciné par cette mécanique, et je maintiens que, malgré la niaiserie du terme tu es doué d'une sensibilité exceptionnelle.

Il me semble avoir lu quelque part que quelqu'un te disait que tu étais probablement un grand poète. C'est un avis que je rejoins.
Dommage simplement qu'il me faille ouvrir le dictionnaire pour te lire, pas que ça me gave, ola ! non ! Mais pour le rythme quoi, brabant merde tu courbes un peu mon espace temps !

En un post j'ai dû apprendre une cinquantaine de mots (j'exagère pas) (non vraiment pas) (bon ok peut-être pas CINQUANTE non plus) (mais va-t-il s'arrêter avec ses parenhèses ?), autant dire que par contre je te remercie.

Renaud serait ravi de lire ça mais je désire accomplir ce que tu accomplis, et plus tu l'accomplis plus je le désire, et plus je le désire plus tu l'accomplis.
Merde, une foutue boucle. J'les connais bien celles-là, sont vicieuses les fourbes (ettes) !

Faut peut-être que je lise Girard maintenant.

Vieux pote ouais, c'est un peu la sensation que ça me fait. Vieux pote beauf des fins de repas de famille. L'expression est de moi j'espère que tu l'aimes bien.

MERCI

Gné ?

brabant est un frimeur

mais je le pense, c'est un grand poète, un vrai de vrai doré sur tranches ( plusieurs, pour lui ) et vermillon comme le chef orgueilleux d'un prélat

je me dis parfois qu'il va falloir que je m'arrange pour lui serrer la main un jour afin de dire un autre jour "Ah ! mes enfants, je l'ai bien connu !" ( et ce sera une bonne raison de faire des enfants )

Ah que, brabant, fed up avec niris pour ce soir :-)

et des enfants à faire ( pour quoi faire, on se le demande, hein ? )

demain, je serai ailleurs mais j'essaierai de passer par là

salut, mec

@ Lagomys et @ Micdec confondus et confondants, ce compromis : « Compromis, chose due ! » disait-on chez Bouvard :)))

Non adeptes du Vermot il est encore temps de prendre la tangente et de clore vos chastes yeux en même temps que vos sifflantes oreilles. Pareillement pour les catholiques intégristes. Lol. Comment ça je suis redondant ! lol

--- un peu de ‘’masterbation’’ pour commencer (C’est non MST, y a pas d’mal à s’faire du bien !) :
AaaaRGHT !... que je vous dois de reconnaissance ! En me citant abondamment dans vos coms vous m’avez fait vivre mon texte, au point que je me lisais en lecteur extérieur, je lisais et je ne savais plus que c’était moi que je lisais, et je me disais : Oh ! C’est mal ça ! Et ça ! QUEL PIED !
Le Faible + comme le Moyen – m’avaient justement sapiné le moral. DU CHÊNE que vous m’avez apporté, de celui sur lequel se brisent les cognées. Ça m’a requinqué, c’est que c’est fragile un auteur hein ! ça a besoin d’être chouchouté ! Et après, quel moral !

--- la collusion Eglise/Sexe/Argent : Bien sûr ! Les ordres monastiques se sont bien vite éloignés de l’exigence de leurs pères fondateurs pour fricoter à tire-larigot dans tous les sens du terme au point que le/les pape/s concerné/s ont dû recadrer tout ça à grands coups de légats, autres purges et bulles et lois. Je pourrais retrouver tout ça précisément mais je suis trop paresseux pour épousseter mes bouquins là.
Littérairement je renvoie au Décaméron et aux Contes de Canterbury. Pas si postérieurs et toujours d’actualité à l’époque.

--- j’en viens à la strophe 4 qui est la pierre angulaire de mon poème avec ses deux vers centraux qui sont la pierre angulaire de cette strophe angulaire. Pas beau ça ? Un angle pour former le centre :)
« Rogneurs d’écus sont épectase
Des nonnes éblouies aux blondes transcendances »
(blond pour l’or, moyen de l’épectase et de la double transcendance à plusieurs degrés de lecture ; mais ça c’est seulement pour la mise bouche. Lol)
- « Epectase : extase mystique susceptible de sauter le pas » : Bonne définition pour une grille de mots croisés. Qu’en penses-tu l’ami Alex ? ;)
1. Lorsque Mgr Daniélou est mort (si vous êtes restés, l’est encore temps de partir hein. lol) pompé par une dame de petite vertu (de grande vertu en ce qui me concerne ; Oh non ! pas pour ce que vous croyez…), l’Eglise – sans rire – a qualifié sa mort d’ « Epectase » (terme technique, mais oui, fallait le trouver hein). Je cite tout ça de mémoire, pas la patience de relire les sources.
Hors sujet : mot d’un satiriste lors de la mort (burlesque) du président de la République Félix Faure : « Il a voulu vivre César et il a fini Pompée » (encore une victime de l’épectase ! :D)
2. Lorsque Le Bernin a buriné (Oui, bof) « L’extase de Sainte Thérèse » (marbre romain) il a révélé à quel point l’extase mystique était susceptible de sauter le pas pour se confondre avec l’extase physique. A son corps défendant peut-être mais certes pas à son corps défendu. Superbe exemple d’art baroque.
3. Enfin il suffit de lire les poèmes de Sainte Thérèse d’Avila (T 4 de ses œuvres complètes aux Editions du CERF que j’ai sous les yeux. ‘hé ‘hé !... Thérèse c’est mon porno chic à moi, Histoire d’A plutôt qu’Histoire d’O, c’est que j’ai la Réage distinguée ! Non mais !) pour voir à quel point de perfection elle a porté la fusion de l’amour christique et de l’amour charnel.
A son corps défendant peut-être également, mais Cioran me confirme dans mon décryptage dans son opuscule « De la France » (où il parle beaucoup de l’Allemagne et de l’Espagne) : « Où trouver une sainte Thérèse parmi ces femmes au sourire intelligent ? » [ les Françaises] écrit-il, plus avant il parle de « dons impétueux de l’exclamation » et plus après (ça s’dit pas ? Ah…) il parle de consomption « de vitalité dans des tressaillements exaspérés ». J’en profite ici pour remercier Pimpette de m’avoir fait me remettre à Cioran ; Cioran dans le texte, pas commenté dans des encyclopédies. :)


LA CLEF LA CLEF LA CLEF
Bon Bon Bon
Tout ça pour dire et je vais conclure là-dessus :
… que ce… poème… se réduit… à une histoire de minettes :
Ben oui !
« Rogneurs d’écus » : BROUTEURS DE MINOUS !
Et dites pas que j’vous avais pas prévenus hein !
Vermot ! Vous vous rappelez… lol
Allez ! Bye !
…
Comment ça ? Vous n’avez pas sommeil ?
Moi, si !
:)D

Euh ! Un énaurme merci Lagomys et Midec ! Ah non, pas la bise ! Faut pas exagérer non plus…


:))))))))))))

Et voilà la conclusion (qui se sera fait attendre, sacripant !) d'un suspens savamment distillé. Le prolongement savoureux, additif et addictif d'un écrit, déjà de lui-même, succulent et truculent. Chaque épisode aura fait la lumière sur des subtilités imperceptibles à mon pauvre ciboulot ! Merci de toutes ces précisions qui précisent la valeur d'un travail colossal : heaume bas, seigneur !

Un p'tit coup de brosse sur votre pelisse d'hermine, même si ça s'fait pas, m'en fous :
En plus 'd'ensourire' les pages souvent austères de ce site bien appliqué, vous nous faites une démonstration exemplaire de l'importance des égards que vous témoignez à vos appréciateurs (quand d'autres ne daignent pas même se fendre d'un p'tit "merci" en cinq caractères : politesse élémentaire, pourtant !) De votre sollicitude, chacun a droit à sa généreuse réponse, et tout ça, noblesse oblige, sous le sceau de la modestie.

Respect, monsieur !

Oui, poète ! poète sans chichis, poète vérité, poète véritable : Poète !

…"Rogneurs d'écus sont épectase…", où allez-vous donc chercher tout ça ? Et en plus → plein mille… du poème !... croustilleux et perfectionniste !

Bon ! vais m'pieuter aussi… mais sur une "complice paillasse", moi !


En toute allégeance,

lagomys, fidèle mauvais sujet

Ah non, pas la bise !
Rogneur d'écus je reste, persiste et demeure.
Foin de modernité, je suis Pierre Louÿs en tous ses goûts et jugements, même et surtout s'ils lui vaudraient opprobre et peut-être reproches aujourd'hui, temps de pensée unique.
J'envie aussi son talent mais c'est une autre histoire.

Et, je ne sais pourquoi, je te soupçonne d'aimer le hareng saur ( pommes à l'huile, délectable, certes, mais l'arête y est parfois blessante et l'odeur un peu forte quoique... pour l'amateur... mais... la divine praline, je la déguste, à l'occasion, au tra-la-la avec zizi mais de Jeanne... exclusivement ! )

Donc, comme ça, on s'aime bien :-)

Je t'ai salué bas par ailleurs. Point trop n'en faut sous peine de lumbago car la courbette épuise moins que la soubrette mais ne soulage pas autant, si l'on en croit certains.

Je dois te confesser qu'en lisant ta coquinerie ( plusieurs fois, à voix haute, moult ici te diront que je suis un rustre doublé d'un butor ), en la lisant, donc, je me suis surpris à dire ( à mi-voix, je suis timide ) "Brouteurs de culs" qui sonnait bien et aussi juste que l'objet de Mr de Richelieu lorsqu'il s'adressa à l'adorable comtesse Polidolleta. "Madame, si ma robe était de bronze, vous entendriez sonner le tocsin" (c'est qu'il portait robe, le bougre de cardinal :-) ( non, pas "bougre" ! "Bougre", c'était tout d'abord un enculeur de poules, si ma mémoire est bonne. Quoique... et, ensuite, philolo, forniqueur avec sa tante ( cf le regretté Appo )... bon, de toutes façons, c'était répréhensible et puni par l' Eglise. ))

Ce qui ne t'empêche pas d'être un frimeur ( un bonimenteur, quoi ! ) qui nous vend tes salades en cassant des assiettes à grand fracas, Bing ! Brang ! C'est du brabant !

Il y a en toi du Hugo, sans charres !
Du tout Hugo, entend bien aussi.
Le vocabulaire stupéfiant, ok !
Le sens pervers des vers à tiroirs et à miroirs aux alouettes.
Mais aussi de l'exil et la crainte étrange et insensée de ne pas jubiler un jour.

Tu es rare, en somme.
Garde-toi bien des courants d'air.

La tête haute,
micdec


P.S : je rejoins l'illustre Lagomys sur le plan du "...d'autres ne daignent pas même se fendre d'un p'tit "merci"...". J'ai commenté entre vingt et trente textes ces derniers temps et quatre auteurs, je crois, m'ont remercié. Ceux que j'avais pas vraiment appréciés, de plus :-)

brabant, j'insiste et reviens because un truc me turlupine...

j'ai cru comprendre que tu étais du Nord, donc d'oil
quelqu'un, ici, t'a appelé "trouvère"

pourtant, tu pratiques l'irrévérence, la truculence et la passion du minou qui sont l'apanage de l'oc

alors, c'est quoi, ce double jeu ?
t'es trou - vère ou trou - badour ?

pasque que Albi et tout autour, c'est un sacré écart, un grand écart entre oil et oc