Sans parler de piqué depuis le ciel marbre,
Mais de déplacement le long des arbres,
Les oiseaux y virevoltent et rarement y piquent,
Lorsqu'un vers pour le nid induit la synoptique.

Citation :

Non, cher Jeanphi : l'insription, la signature et le sceau ne laissent aucun doute. :)
La bergeronnette est bien cul par dessus tête - devant tant de beauté ?

En guise d'antidote à ce 'Blue Monday' :)

J'ai le ciel dans la peau grâce à toi, bel oiseau :
Ton chant m'a dévoilé le chemin des étoiles,
J'en capte chaque écho dans mon âme animale ;
Voici tout mon butin, mon or, mon miel : tes mots.



(Scott Mills, Blue Bear and Bird, 2015)

Oui j'avais bien remarqué le sens de l'inscription,
elle pourrait avoir été ajoutée sur le tableau retourné.
Les branches lourdes de fleurs me paraissent
aussi crédibles tombantes que sujettes à l'entropie.

Trêve de mauvaise volonté, je vois qu'il est bien à l'endroit ! :)

Sur l'aile douce d'un ours
Un oiseau poétise au long cours
emporte moi sans chagrin
repeindre le ciel incertain

Paul avait chanté l'oiseau bleu
Mais l'écarlate lui sied bien.
Le miel des mots, comme un aveu,
D'une cage défait le lien.

Chante rossignol chante
Toi qui as le cœur loin
Se chante-t-il – Se chante-t-elle
Même sans ailes à sa voix.

Vivre sous la tutelle d'un être irrationnel.
Subir sa candeur, sa camisole chimique,
L'avoir au dos à tors pour des raisons pratiques :
Voici l'angoisse d'un fils dont l'on arrache les ailes.

J'ai le cœur lourd
D'avoir relevé
Mille défis
Mortels

Elle s'est arraché le cœur
L'a mis sur la balance
A estimé le poids de sa peine
Et l'a changé en plume.