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Mathilde - Figure II.
Visiteur 
Mesdames, messieurs, bonjour,

je me permets d'intervenir, alors même de la promesse d'un silence, relativement à l'invitation me permettant de le faire. En effet, sur le fragment II, quelques libertés ont été prises de la part des correcteurs. Je ne pensais pas cela digne d'une intervention ici mais comme je leur en faisais la remarque en dessous de ma soumission du fragment III, ils me renvoyèrent ici, bon grès mal grès. Voici ce qu'ils me dirent:

Citation :
Voici quelques remarques du groupe des correcteurs à votre intention :

"Au début, on pensait une plaisanterie."
Nous avons ajouté "à" :
Au début, on pensait à une plaisanterie.

"J’espère, au moins, ses pétales seront beaux pour qui pourrait les regarder par l’intérieur de l’œil doré."
Nous avons plus hésité ici : il manquerait peut-être aussi un mot (que) :
J’espère, au moins, que ses pétales seront beaux pour qui pourrait les regarder par l’intérieur de l’œil doré.

Tout à la fin : "réunira le Rouge et le Noir."
La construction de la phrase voudrait que ce soient les cathédrales sujet du verbe réunir (réuniront le Rouge et le Noir).
Si c'est l'Amour qui réunira, il aurait été mieux de placer des tirets d'incise afin de rester dans la même phrase :
"et l’Amour traversera le grand miroir au cadre d’argent - Et plus jamais ailleurs, ces dieux ne seront troublés. Les cathédrales souterraines enchâsseront dans l’infini des Enfers les deux âmes sœurs du Daemon. - réunira le Rouge et le Noir."


Or tout est pensé. Tout est pesé. Les oublis sont des formes de naïveté, et ce qui est caractéristique d'un mauvais accord à la fin tient au même principe, retournant la phrase en la renvoyant vers un paradoxe dualité dans l'unité - comme par une résorption.

Je n'ai que très peu accès à Internet, d'où mon choix de ne pas embarrasser le monde Onirien avec mes petites déconfitures quant au libéralisme impérialiste du comité de correction. Je lui suis suffisamment reconnaissant de lire mes textes pour n'avoir pas en plus à l'assommer de petites remarques du genre. Cela m'a rendu perplexe et peu content mais n'est rien comparé au plaisir de lire des commentaires sur ce projet des sept fragments de Mathilde, qui est un projet important pour moi et sur lequel un maximum de remarques sera nécessairement bénéfique.

Cordialement, etc,

C.A.

Contribution du : 08/09/2010 13:22

Edité par PostBlue le 8/9/2010 14:06:15
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Re : Mathilde - Figure II.
Visiteur 
En tant qu'ancien correcteur, je trouve cette intervention vraiment lamentable. Si tu n'étais pas satisfait des corrections proposées, tu n'avais qu'à en informer l'équipe de correction qui les aurait retirées sans problème.

Tu sembles avoir retrouvé le chemin d'internet pour nous livrer ce petit pensum, je pense donc que tu aurais utilisé ton temps plus intelligemment en demandant que ces corrections que tu juges contestables ne soient pas apportées à ton texte.

L'équipe de correction fait un travail difficile, bénévole et ingrat. Sans parler de reconnaissance, on peut au moins leur porter un peu de respect.

Mais bon, j'imagine que l'excès fait partie d'une stratégie pour rehausser un peu le nombre de lectures que tu dois juger bien en deçà de la qualité de ton oeuvre.

Pas cordialement du tout.
Jphil.

Contribution du : 08/09/2010 13:31
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Re : Mathilde - Figure II.
Organiris
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Je ne fais pas partie de l’équipe des correcteurs, donc je n’ai aucun problème d’ordre déontologique pour te répondre : écrire : Citation :

Je n'ai que très peu accès à Internet, d'où mon choix de ne pas embarrasser le monde Onirien avec mes petites déconfitures quant au libéralisme impérialiste du comité de correction.

est tout simplement injurieux et inadmissible, compte tenu du mode de fonctionnement des correcteurs.

Ainsi que l’a souligné Jphil, tu pouvais tout à fait dialoguer avec l’équipe.

Enfin, c’est toujours un peu de pub, ce genre de message, n’est-ce-pas ?

Contribution du : 08/09/2010 13:41
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Re : Mathilde - Figure II.
Visiteur 
En tant que simple lectrice, je trouve presque inadmissible de venir reprocher aux correcteurs d'avoir "bien fait leur boulot" = gommer quelques fautes de syntaxe qui jalonnaient ton texte.

Il existe une différence entre prendre certaines libertés, dans un style d'écriture que l'on maitrise, et piétiner allègrement des règles primaires de stylistique, sous prétexte que ton esprit supérieur est en droit de les réinventer.

De plus, il est un peu tard pour venir se plaindre, non ?

Contribution du : 08/09/2010 13:45
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Re : Mathilde - Figure II.
Chevalier d'Oniris
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Comment rester courtois quand on se fait traîter d'impérialistes, les correcteurs d'incompétents notoires, limite de prétentieux d'avoir pu - ô outrage ! - faire quelques remarques à un "génie incompris". [mettez ici une pointe d'ironie]

CamilleAcristem, les correcteurs offrent l'opportunité à la discussion sur des points précis de nos œuvres, de discuter leurs corrections, etc - il y a même le "Pas Touche Système". Au lieu de venir gerber votre ego, utilisez les outils qui pourraient réellement vous "servir" (et pas un coup d'éclat merdique façon pub à scandale).

Inutile pour cela d'être profondément injurieux et d'avoir l'air d'un sale gosse.

EDIT : jphil, Lohengrin, Perle-Hingaud, votre réaction est compréhensible, mais je crois que c'était inutile et un peu se rabaisser au niveau du bonhomme. Je crois qu'il a compris, du moins j'espère.

Je verrouille le fil (dont le premier message est une horreur sémantique, comme d'habitude), il n'a absolument aucune utilité à part celle du branle, du "je me la pète" et de l'excitation de ceux qui apprécient ce site et savent comment s'en servir.

Contribution du : 08/09/2010 13:48
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Re : Mathilde - Figure II.
Organiris
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Monsieur CamilleAcristem,
l'équipe a proposé ces corrections. Correction que vous n'avez pas eue de répondre, "relativement à l'invitation (vous) permettant de le faire". Votre intervention n'est donc qu'impolitesse et ingratitude vis-à-vis de bénévoles.
Si ce site ne vous convient pas il y en a d'autres.

Pas cordialement non plus.

Jaimme

PS: Permettez-moi d'avoir quand même un doute sur vos capacités orthographiques à la sauce "je me la pète dans l'intellectualisme approximatif", lorsque je lis sous votre plume la locution adverbiale "bon gré mal gré" avec un "s" et un accent grave. Ou peut-être vouliez-vous parler du "grès"? Jolie naïveté, effectivement.

Contribution du : 08/09/2010 13:48
_________________
"Un commencement est un moment d'une délicatesse extrême"
F. Herbert
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Mathilde - Figure II.
Visiteur 
Je donne suite et fin puisque le sujet est verrouillé - ce que je trouve assez fatiguant.

Très bien, je ne ferai donc plus aucune intervention, ne serait-ce que de signalement, puisque je passe invariablement pour insultant et publicitaire, ce qui me dégoûte et a tendance à m'énerver - au sens premier. Quant à vos dénonciation de paradoxe entre ma prétention et ma qualité, il faut bien se fixer un point sur l'horizon pour avancer.

Voilà, vous pouvez une fois de plus locker ce sujet, considérant les insultes que je suis en devoir d'essuyer en échange de mon écoute, séance fermée juste derrière les attaques.

Cordialement, etc.


Modération :
Sujet fusionné avec le premier.

Contribution du : 08/09/2010 13:55
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Re : Mathilde - Figure II.
Chevalier d'Oniris
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Pour le "Voilà, vous pouvez une fois de plus locker ce sujet, considérant les insultes que je suis en devoir d'essuyer en échange de mon écoute, séance fermée juste derrière les attaques."

Simplement qu'un modérateur n'est pas toujours le plus rapide.

Pour ceux qui souhaitent en discuter bien gentiment, il y a les MP.

Contribution du : 08/09/2010 13:59
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