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À propose de « Par-delà les mots ».
Chevalier d'Oniris
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02/06/2012 10:43
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BRABANT est dans le vrai, ce texte devrait se trouver dans le LABONIRIS. Mais cela aurait commandé que je le justifie.
Je vais simplement vous confier que je l’ai conçu comme une sorte de piège dans lequel la raison tourne en rond.
Ce texte nous explique qu’il est en train de nous parler de choses dont il lui est impossible de parler. Le titre est essentiel. La clausule l’est tout autant puisque, en substance, elle confirme que ce ne sont pas les mots qui sont importants.

MIGUEL. Votre interprétation carcérale… est sujette à interprétation (humour), fors ceci qui ne concerne en rien le texte, votre commentaire est plutôt positif et je vous en remercie. Concernant « ce qu’y », votre formulation est en effet plus logique.
La partie que vous jugez facile est là pour alléger la lecture. De mon point de vue, elle est également un peu faible. Pour la rédiger j’ai puisé (comme vous et BRABANT l’avez remarqué) dans une certaine esthétique du XXiè. Cette baisse de régime vise à donner au lecteur l’illusion qu’il se trouve en territoire sinon stable, du moins familier, en vue de le mettre en confiance avant de l’achever.

DAVID. Il existe une version de ce « Par-delà les mots » dans lequel les termes de la clausule, très espacés, apparaissent en blanc sur fond noir. Ceci dit, ces espacements ne s’imposent pas puisque le non-sens de l’écriture ou le sens de l’inécriture (biffer la mention inutile) les suggère et vous remarquez, ce dont je conviens, qu’ils sont probablement de trop.

BRABANT. Il y a trois états de cette petite récréation. L’un en vers libres de 6 à 13 pieds, le deuxième en versets (c’est-à-dire que chaque phrase constitue un vers), le troisième est rédigé en prose sous forme de paragraphes. Ici, vous avez la transcription « verset ». Votre remarque concernant la présentation n’en est pas moins pertinente.
Concernant les « Papas » je sens percer votre malice…

Contribution du : 05/03/2014 16:36
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