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Remerciements et explications sur LILAS
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Bonjour à tous.

Tout d’abord un grand merci au comité d’édition pour avoir accepté de poster ce petit texte
Sur le site et un autre grand merci à tous les lecteurs/commentateurs pour leur intérêt à
Mes syringas.
Je ne vous cacherai pas ma satisfaction d’avoir réuni autant de lecteurs sur cette poésie.
Je vois avec plaisir que nous sommes nombreux à être nés sous cet arbuste et ses fleurs
Aux senteurs si prenantes.
La maison ou je suis né et ai grandi en était pratiquement recouvert et tous les ans
Lorsque les miens s’ouvrent, je ne peux m’empêcher de repenser à cette enfance.

Comme, pratiquement, toutes les interrogations se sont focalisées aux mêmes endroits,
Je me permettrai une réponse collégiale à une ou deux exceptions près.

La première strophe étant la plus métaphorique, il est normal qu’elle soit la moins comprise
Mais les explications sont assez simples.

Tout d’abord, de par sa place je la souhaitais strophe d’introduction, pour ne pas se jeter
Trop rapidement dans le vif du sujet, le résultat est affaire d’impression.

L’éclatement du vide : je me réfère au fameux big bang qui précéda la création de l’Univers.
Dans ma pensée, l’hiver (une saison que je hais !) est l’interprétation
Du néant, du vide et le printemps qui survient chaque année est une sorte de déclencheur des festivités(artificier) : les fleurs sous toutes leurs formes,
Le reverdissement des arbres par les feuilles, etc…

Sur la pelouse avide : Il existe souvent une pelouse à coté de ces évènements pour accueillir
Et faire parti du renouveau.

De sentiments joyeux : Tout ce qui précède ci-dessus est une joie pour moi de quitter l’hiver.

Déchaine l’esthétique : tous les fleurissements du printemps sont les plus beaux.

Dans l’agence rustique : l’adjectif rustique, pour un végétal, le désigne résistant aux froids
Hivernaux, contrairement aux lauriers roses, mimosas et même
Camélias, dans ma région.

Des adhérents ligneux : tous les arbustes vivants sous mes contrées : lilas, forsythia, etc …
On peut y voir également comme l’a fait David une métaphore
Pour les glycines, clématites et vigne-vierges qui adhèrent à leurs supports.
Quelques remarques plus ciblées :

A RB : Cette fin de strophe m’a causé beaucoup de tracas, elle était au départ :
Cruelle de l’oubli,
Le Printemps, chaque année,
Par sa mémoire innée,
Le rappel accomplit.

Mais cette dernière inversion sentant véritablement trop la rime ne me plaisait
Pas, et bien que retravaillant dessus je n’ai pas trouvé grand-chose .
J’ai juste remplacé ce verbe accomplit par me souffle le rappel.

A Olivier : Merci pour ce très beau texte accompagnant mon petit mien.

A Alexandre : Des thuyas ou fusains , adopté à l’unanimité.
Sa naïveté, adopté également
Par contre je garde mon : comme en vendange, je le sens mieux ainsi.


A diva-luna : je n’ai pas ponctué la fin de l’avant-dernière strophe car l’ultime
S’enchaine avec mais un point ne ferait pas tache.

Voilà, j’espère avoir satisfait votre curiosité légitime et vous remercie encore
De toutes vos attentions concernant Nos Lilas.

N’étant pas du tout jardinier je n’ai pas parlé des potagers et je m’en excuse auprès d’eux.

Bien à vous.

Hananké

Contribution du : 10/05/2014 11:01
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