LE FREAK C’EST CHIC

Une damoiselle faite d'eau, carottes râpées, fitness, bistouri.
Je venais de breveter un dévideur de pizzas recyclant la récolte en farce à ravioli pour pauvres...
Un ricain fort gras apparut “Two Thousand Six" qu'il m'en commandât - pour des mormons de l'Amérique profonde -ça suivit avec des chinois, Ouzbeks, papous, un déluge de fric en réel...maintenant, et à l'heure de ma...alors que j'effectue d’urgents recoupements, je songe “si j'eusse eu une gueule de monstre, elle eusse pensé "Le Freak c'est chic".
Elle me poussa au mariage dans un voyage sans retour...
Nous partîmes en représentation de noces...
À Capri, ses larmes se fondirent dans l'eau d'une source, elle fut enfin naturelle - et de postures en impostures, de (faux) seins en seins, de sports en sports, jamais encore je vous le jure, je n'ai pu redresser ses torts.
J’ai ouvert l'œil il y a 5 minutes, vu le plafond, puis...des liens me rivant au lit...elle a un dévideur dans les mains... "merde, ma peau est fine..."

Pal, tu vas y arriver

Oui hersen...je vais breveter un dévideur de mots...

Le malotru

Quand elle entra, il se souvint immédiatement de Martine malgré les trente kilos qu’elle avait pris en quinze ans !
Il se rappela des bons moments passés sous la couette avec elle, lors de courtes vacances à la neige.
Ingrat et ne voulant pas s’afficher avec une femme si grosse , très imbu de lui même,il l’ignora.

Lorsque leurs regards se croisèrent, elle sourit et vint spontanément vers lui...
« Jacques, quel plaisir !
Très discourtois et ne masquant même pas une moue de mépris, il dit :
- Madame vous faites erreur, vous devez me confondre avec quelqu’un d’autre.

Comprenant qu’il ne voulait pas la reconnaître, elle sourit et répondit :

- en effet monsieur, mon ami Jacques était beau, il avait tous ses cheveux, pas une ride, et surtout il était poli ; puis lui tournant le dos elle le quitta le laissant éberlué et très vexé des commentaires assassins sur son physique, elle avait mis le doigt là où cela fait mal.

@Poldutor,

Il y a un fil dédié aux micro nouvelles

http://www.oniris.be/forum/micro-nouvelles-t19774s170.html#forumpost368742

Je pense qu'un modo va venir déplacer ta nouvelle, qui est excellente :)))

il y a aussi un fil pour faire les commentaires sur ces micro_nouvelles

http://www.oniris.be/forum/micro-nouvelles-commentaires-t19775s290.html#forumpost368707

il est bon de rappeler ce lien sous les nouvelles que tu posterais, pour que ce soit facile de venir faire un commentaire.

Pas de panique, produltor !

les débuts sont toujours un peu perturbants parce qu'on s'y perd.

Ta micro n'a pas à présenter de rapport avec les autres, que ce soit une micro suffit pour qu'elle soit sur le fil des micro_nouvelles.
Ainsi, chacun peut venir les lire et faire un commentaire en utilisant le fil "commentaire sur les micro".
L'avantage est que celui qui décide d'n lire en aura un large panel, que ce fil remontera en tête de liste à chaque fois que quelqu'un viendra lire une ou des micro.
Alors que la tienne va rejoindre le dédale souterrain onirien, elle ne sera pas visible.

Donc, par exemple, si tu veux publier une autre micro, tu vas sur le fil dédié et elle s'ajoute aux autres.

Pour t'expliquer différemment, ce sont des fils de partage, où chaque membre peut poster s'il le souhaite; Tu ne peut pas faire de fil personnel, si c'est ta question implicite.

n'hésite pas, si ce n'est pas clair, à poser d'autres questions.
Tu vas t'habituer, t'inquiète !

Au restaurant

L’enseigne du restaurant le fit saliver : chez César spécialités de champignons.
Son ami, Mario, décédé maintenant, lui avait donné l’adresse, lui disant : Bépé, si tu vas à Rome, déjeune chez César, tu n’en reviendras pas ...una vera maraviglia*

Il entra,s’installa à une table encore libre.

Le patron, un grand diable d’homme, barbu et moustachu, accouru empressé, et lui dit : il n’ y a qu’un seul plat à la carte, mais il est très copieux et on peut en redemander à volonté ; Locuste notre cuisinière n’a pas son pareil pour accommoder les champignons, cèpes, girolles,truffes et elle ajoute des ingrédients dont elle ne divulgue jamais le secret ; vous m’en direz des nouvelles.

Ce fut en effet un vrai festin, le tout accompagné d’une bonne bouteille de vin poissé, un régal.

Ayant fini de déjeuner, il se leva un peu flageolant et après avoir payé son repas, il dit :

« ciao signore, signore*?

Et le patron de répondre :

- Borgia, César Borgia.


* une vraie merveille
*au revoir monsieur, monsieur ?

Haïku ?

Qui en dit moins ?

« Mon chéri aimes-tu les fleurs ?
- Oui ma chérie.
Le coup de feu claqua..
- Tu en auras à ton enterrement.