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Merci pour Vieille carne
Maître Onirien
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22/07/2012 22:59
De Cévennes
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Toute ma reconnaissance va à tous ceux qui se sont penchés sur mon texte pour permettre sa publication, ainsi qu'aux nombreux commentateurs qui ont bien voulu prendre le temps d'écrire l'effet que leur a fait leur lecture.

Jano : vous avez le mérite d'être franc et je vais l'être aussi : j'ai horreur de ce style aussi, je ne l'ai emprunté ici que pour tenter de mieux camper les personnages, le style de quartier, le milieu de "la haute" dans lequel ils vivent.
Je reconnais qu'il manque de simplicité et peut être en ai-je fait de trop pour qu'il vous paraisse lourd. J'en suis désolée, mais je suis fixée : pas la peine d'en faire des tonnes une prochaine fois.

Bidis : merci de vos encouragement, car, en effet, j'ai tenté de mettre dans ce texte un peu de "poésie, humour" comme vous dites, donc je suis heureuse que vous les ayez trouvés !

Asrya : je rougis de tous vos compliments en me réjouissant que le texte vous ait à ce point touché. Certes, ce n'est pas de vous lire qui m'encourage à retravailler, sauf si, cette fin un peu rapide, au langage peu vraisemblable. Merci à vous.

caillouq : oui, vous avez raison, la narration est défectueuse... j'écris habituellement des poésies et ne suis que débutante en nouvelles... aussi, merci de toutes vos précisions, qui me fournissent des repères pour travailler le texte.

coquillette : si j'emploie "brassière" c'est pour utiliser un langage surrané, vieilli, qui a cours dans certains milieux, et non pour situer dans le temps ; mais que ça vous ait trompée prouve qu'en effet, j'en ai trop fait sur le langage poussé de la "vieille carne"... Merci de vos compliments, par ailleurs !

macaron : aïe, désolée que cette fin, décidément, ne plaise pas... visiblement c'est le passage à travailler. Je suis sensible à vos observations positives, précises, qui me fournissent des appuis.

Robot : merci de me fournir tant de commentaires positifs, malgré le gros défaut plébiscité par beaucoup de commentateurs (dialogues trop vieux jeu).
Oui, je pense que, dans certains milieux, il se peut que les jeunes filles doivent se plier à une tradition, ici : celle de se faire chaperonner pour l'achat de son soutien-gorge.

Automnale : oui, c'est terrible de traiter sa propre mère de "vieille carne", mais c'est très "post ado" (comme l'est la jeune fille) que de vivre comme terrible l'incursion faite dans l'intimité de la fille.
Dans le détail que vous relevez, pour me proposer plutôt un autre soutien-gorge empaqueté, à la main, dans un vulgaire papier de couleur il y a incompréhension je voulais signifier "la jeune fille, un autre soutien-gorge (empaqueté etc.) à la main" comme on pourrait écrire "sous le bras". Ce que vous proposez change le sens de ma phrase.
Oui aussi pour l'invraisemblance du soutien-gorge qui accompagne toute une vie, mais, après tout, il est précisé qu'il ne sera porté que pour les moments d'exception...
Merci pour vos compliments quant au style.

Acratopege : ah ! un fan ! je suis contente que vous ayez aimé ce texte, même si je comprends que, une fois le "décor" intimiste mis en place, l'argument lui-même ne vous a pas fait adhérer. Je suis sensible à vos dernières observations et vous en remercie.

in-flight : oui, votre remarque est très juste, et je n'avais pas noté que ma difficulté à mener le récit à bien pouvait provenir en effet de l'existence de ses deux héros, le soutien-gorge, et la jeune fille... merci d'avoir laissé une trace de votre lecture.

lulu : vos observations rejoignent les intentions que j'ai tenté de mettre dans mon texte, ce qui me ravit. Merci d'avoir écrit ce commentaire encourageant.

Perle-Hingaud : merci pour vos encouragements quant à l'argument et au rythme du texte. J'ai bien pris note de tout ce qui vous gêne (décidément, le soutien-gorge pour toute la vie, même si ce n'est que pour des moments exceptionnels, ça ne passe pas...). Quant au style, je disais plus haut qu'il est là pour m'éviter la longue description du milieu où vivent les personnages. Le temps de l'action est contemporain, mais les personnages évoluent dans un milieu qui les fait s'exprimer de façon désuète.

molitec : oui, je voulais quelque part ces "deux événements inattendus" pour que la personnalité de la jeune fille révèle elle-même la chute. Je comprends, dans vos observations judicieuses, que, habituée à écrire plutôt de la poésie, j'ai du travail à faire en narration... merci de votre commentaire.

Néojamin : dommage que la fin vous ait paru rapide, peut-être l'est-elle, mais je voulais une chute surprenante, aussi... vous n'êtes pas le seul à relever ce point, c'est une piste de travail. Sinon, oui, la froideur est voulue ! Aussi je suis ravie que vous l'ayez ressentie. Merci pour vos compliments quant à l'écriture.

Contribution du : 19/01/2015 11:19
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L'homme est conduit par l'aveugle qui est en lui- J.Claude Izzo
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