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« La Vijugasta », remerciements et éclaircissements
Expert Onirien
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15/10/2007 21:04
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Merci ASRYA, BIDIS, NEOJAMIN, WALL-E, MBH, JASEH et WIDJET pour vos commentaires. Merci MARIMAY pour les corrections. Pardon de vous mettre tous en majuscules, je ne sais pas comment fonctionne le caractère gras...
Je voulais depuis un certain temps exploiter en nouvelle une expérience vécue : l’effet de jamais-vu tel que décrit ici. Je ne sais pas si ce genre d’impression est répandu; je n’en ai jamais entendu parler et je n’ai pas reçu de retour sur ce point dans les commentaires. Moi, ça m’est arrivé à quatre reprises dans ma vie. En dernier lieu, sur la Vijugasta justement.
J’ai pensé que seule une forme de sortie du réel pourrait complémenter cette expérience. Après avoir bien pataugé j’ai abouti sur l’idée d’une rue qui remonte la vie.
Comme le notent ASRYA, BIDIS, NEOJAMIN et WIDJET, cette idée je l’esquisse à peine. Il m’a semblé qu’en la développant davantage le récit perdrait l’impression d’irréalité que je voulais lui conférer.
J’espérais que ça passerait, que ça pourrait se lire comme l’a fait MBH, ou comme le suggère WIDJET en pis-aller : « une petite vignette teintée de nostalgie et de poésie. », mais il apparait que la majorité ressent ici une lacune (Pour JASEH, un cratère incomblable.)
Finalement, l’idée n’était peut-être pas celle qu’il me fallait.
NEOJAMIN dit : « Sur le fond, il y a pour moi une incohérence fondamentale : Le narrateur parle du jamais- vu avant de l'avoir expérimenté : "Le pendant si vous voulez de l'effet de déjà-vu : l'effet de jamais-vu" S'il écrit au fur et à mesure qu'il découvre, ne serait-ce pas préférable d'entretenir le mystère jusqu'à la fin ? »
Le narrateur n’écrit pas au fur et à mesure, pas en marchant, il fait des haltes pour écrire ; quand il écrit la première fois il est déjà dans le jamais-vu, je ne vois pas d’incohérence ici.
WALL-E : « Je me demandais ce qui aurait pu se passer si vous habitiez au tout début de la rue ; pas le numéro 2, ni le numéro 1, mais avant... ».
Au numéro 2, ce n’est pas le narrateur de la nouvelle qui vit, mais celui qui a récupéré le carnet du narrateur.
BIDIS : Vous avez raison, je me suis eu peu perdu entre les tournants et les virages... Et j’avais hésité entre pas de danse et gymnastique, sans penser que le choix de la gymnastique pourrait rompre à ce point le charme.
Le lieu en photo ? Impossible. La rue a pris de l’ampleur dans mon imagination et gagné des « tournants » et des jardins en écrivant.

Contribution du : 31/03/2015 18:38
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