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Complaisances : Merci
Chevalier d'Oniris
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Merci de vous être intéressés à cette histoire. Je suis heureux que vous l’ayez tous aimée.

C’est après avoir vu le documentaire “Cargos, la face cachée du fret” sur internet le mois dernier (horreur-épouvante) que j’ai pensé à la proposer ici. Si elle était restée dans le tiroir, c’est sûrement parce que je la trouvais « jolie » comme le dit David. Tous les personnages sont sympathiques, pas trace de surnaturel, et fin heureuse (au moins un de sauvé). Mais je ne la vois pas mièvre.

hersen : « Cette nouvelle est-elle le prétexte à parler de la marine ou d'interpeller sur les enfants battus ? »
En se déclinant à tous les thèmes possibles, la question est à poser au genre narratif dans son ensemble ! Mais il doit y avoir des gens qui n’aiment le western que par amour des vaches. Et d’autres qui voient dans Vingt Mille Lieues sous les mers une nomenclature ichtyologique (500 noms de poissons en autant de pages).

L’histoire « à la con » c’était celle-ci : une anglaise de 4 ans mettant une bouteille de cola à la mer avec message et portrait en juillet 2005 ; un australien de 10 ans la trouvant 6 mois plus tard ; une océanographe étonnée.
Je l’étais aussi un peu de ce qu’un gamin de cet âge traîne dans un chantier naval.
J’ai changé les lieux, doublé l’âge de l’expéditrice, divisé par 3 le trajet et la vitesse de la bouteille, et surtout ajouté un intermédiaire. Quant à John Doe, il n’est autre que M. Tout-le-monde.

vendularge
Si les personnages sont un peu leurs auteurs, alors ça fait du bien d’être serré dans vos bras.
Cette vie nous paraît exotique. Mais dans le documentaire cité plus haut, quelqu’un cite Anacharsis, à qui on demandait (il y a 26 siècles) si les vivants étaient plus nombreux que les morts, et qui répondit : « Mais d’abord, ceux qui sont sur mer, dans quelle catégorie les rangez-vous ? »

fried
Bienvenue sur Oniris ! Vous pouvez éditer votre commentaire au lieu d’en ajouter.
Je n’ai pas lu les Enfants du capitaine Grant même si j’ai tous les Jules Verne. Il paraît qu’il n’est jamais allé en mer. Je suis encore plus étranger au monde de la marine (écrire permet d’apprendre), dont le champ lexical m’a toujours impressionné ; en particulier à l’idée de devoir m’en servir dans une histoire.
Un joli tour joué à la presse… qui y trouve bien son compte.

Bidis
Nous nous sommes expliqués par mp. Le lecteur n’est pas obligé de se jeter tête baissée sur les fausses pistes. Faire dire au coq « tiens, tiens… cela me donne une idée », je n’aurais jamais osé.

David
J’aime quand la magie se manifeste à l’écriture. Mais c’est pas mal non plus quand c’est mon plus fidèle lecteur qui la voit.

Alexandre
Que te répondre ? – Vive Portsall ! (du sable de Trémazan sert de fond au quatrième de couverture de mon premier recueil.)

Alcirion
Bienvenue à vous aussi ! À propos de la construction : J’ai omis de désamorcer la question récurrente « pourquoi le héros ne va-t-il pas à la police (ou autre) ? » Si personne ne l’a posée, c’est que l’on sait que de nombreux signalements n’aboutissent pas.
La conjonctivite, je l’ai tirée du compte-rendu d’un procès d’infanticide : c’était l’explication qu’acceptèrent les services sociaux pour les bleus que portait l’enfant.
Cet indice n’est pas forcément capté par tous les lecteurs, même si le mot battu est écrit. Il faut savoir que les victimes ont tellement besoin de l’amour de leurs parents qu’elles répètent leurs mensonges (« Si en plus tu es d’accord »).

Coline-Dé
Un film serait sûrement moins bien que celui que vous avez réalisé en lisant. Je vous remercie aussi, avec beaucoup de retard, pour vos autres commentaires.

Contribution du : 14/03/2016 17:01
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Re : Complaisances : Merci
Chevalier d'Oniris
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Merci à tous les trois :

carbona, vous trouvez la fin « inattendue par rapport à ce qu'on connaît du personnage. » Quand on lui a demandé : « Tu t'es encore battu ? » vous avez peut-être déduit, à l’instar peut-être des services sociaux, que c’était un enfant violent. Ici, ni le vocabulaire ni la syntaxe ne sont en cause.

Cat, je lui ai transmis le message. Je suis embarrassé, car il me reproche maintenant de l’avoir présenté « sous des airs de faux dur » (comme vous dites), alors que ce n’est même pas vrai !

jaimme, tu as tiqué sur arboraient. Dans son film, le pirate hurle avec un horrible rictus : « Arborez le drapeau espagnol ! » et l’enfant a été beaucoup plus réceptif à ça qu’à l’école (sans compter qu’il habite dans un port).
Le niveau d’études du cuistot ? Il s’explique naturellement de plusieurs façons. La première, c’est qu’il n’apparaît pas vraiment… Connaître des détails sur la femme qui donne son nom à son bateau est la moindre des choses.
Il me semble aussi qu’un marin a du temps à tuer, et moins de divertissement idiot pour le faire.
Ensuite, les gens ayant fait des études supérieures se sont habitués depuis quelques décennies à trouver des boulots moins qualifiés.
Enfin, il y a un préjugé à corréler niveau d’études et niveau culturel. La spécialisation s’est accrue aux dépens des humanités, on a du mal a trouver un jeune ingénieur qui ait lu un livre.

Contribution du : 15/04/2016 14:14
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