Bonjour à toutes et tous,

Je vous remercie pour vos lectures, analyses et critiques au sujet de ce texte.

Quelques point négatifs soulevés par vous - par exemple, l'abondance des diérèses - me feront réfléchir à d'éventuelles modifications.

J'ai cru faire preuve d'une certaine imagination dans les métaphores, n'en ayant jamais vu de semblables dans les milliers de kilomètres de vers que j'ai lus sur le sujet, et ayant pris, comme un clin d’œil, le contrepied de l'éculée comparaison fleurs/neige que nous trouvons chez les plus grands poètes.

Plusieurs lecteurs ont saisi la dérision et le second degré imprégnant ces vers qui ridiculisent un peu ce rêveur brusquement ramené à la réalité par un enfant.

Le texte ayant été globalement bien voire très bien reçu, les commentateurs ayant dit ce qu'il fallait dire, je n'ajouterai rien de plus.

Au plaisir,
E.

ps Chaque vers compte bien classiquement 12 syllabes

Merci à J F Moods dit "Oeil-de-bobcat" chez les Comanches.

Merci à Sympa pour sa lecture indulgente.

Je remercie vivement Miguel pour sa lecture et son commentaire que je viens seulement de découvrir.