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Re : Pendant qu'il est encore temps...
Organiris
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@SQUENN,
Qu'est-ce que tu racontes que ton com est perdu ? Il est ici, là-bas, à voyager dans la galaxie. I se suffit à lui-même, en somme...

In-Flight,

Je ne pense pas le contraire de Donald : lui pense (parce qu'il a lu) et moi pas (parce que je n'ai pas lu la partie dont il parle...) On semble cependant d'accord sur le début.

Contribution du : 01/07/2018 15:39
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Re : Pendant qu'il est encore temps...
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@ In-flight : je vais faire ma chochotte ... mais je ne suis pas un écrivain et j'ai peur de la douches froide

Contribution du : 01/07/2018 19:05
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Re : Pendant qu'il est encore temps...
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hersen a écrit :
In-Flight,

Je ne pense pas le contraire de Donald : lui pense (parce qu'il a lu) et moi pas (parce que je n'ai pas lu la partie dont il parle...) On semble cependant d'accord sur le début.


Au boulot !

Contribution du : 02/07/2018 12:19
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Re : Pendant qu'il est encore temps...
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Eva-Naissante a écrit :
@ In-flight : je vais faire ma chochotte ... mais je ne suis pas un écrivain et j'ai peur de la douches froide


Douche froide par temps chaud... La chance.

Contribution du : 02/07/2018 12:21
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Re : Pendant qu'il est encore temps...
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SQUEEN a écrit :
( J’ai perdu l’intervention que j’avais mis des heures à élaborer. Elle était pourtant géniale, je solutionnais le réchauffement climatique, la pauvreté et les inégalités, je trouvais comment accueillir les réfugiés qui étaient moins nombreux puisque j’avais éradiqué les guerres et conséquences du réchauffement climatique. J’ai oublié comment j’étais arrivé à trouver ces solutions plus géniales les unes que les autres et là, ça me gave de tout recommencer. J’arrivais même à créer des transhumains sympas et bienveillants, en réglant du même coup le problème de l’égalité des genres, le nucléaire était abandonné, grâce à mon expertise Monsanto/Bayer se lançait dans la permaculture, enfin bref, je suis dépitée.)
Bon, pour en revenir à votre texte ; une belle ambition et une belle bibliographie. Je suis d’accord que la sobriété choisie n’a rien à voir avec le manque réel et la confrontation avec la finitude des choses mais il faut bien commencer quelque part et c’est, je crois par l’exemple et l’éducation qu’on y parvient, même dans l’hypocrisie de notre confort, « le droit à l’abondance » peut se comprendre à différents niveaux et même comme une insulte aux plus pauvres, car ce droit est évidemment un leurre qui laisse dans le caniveau bon nombre de personnes. Ce « droit à l’abondance » est donc pour beaucoup une grande frustration dans la quête du bonheur, une source de stress car que sommes-nous si nous ne consommons pas ? Si notre seul miroir est cette société et ces injonctions au bonheur formaté nous sommes mal. J’ai toujours en tête cette question qui m’avait beaucoup travaillé lorsque j’étais ado, et qui avait servi de titre à un album de Moebius ; « L’homme est-il bon ?» j’ai mis des années à y trouver ma réponse, je l’ai trouvée sans pour autant arrêter le questionnement. Des solutions il y en a, certaines sont d’une simplicité confondante mais se heurtent à ce que nous croyons être notre destiné immuable, notre condition humaine. Je pense qu’il nous faut changer le postulat de départ : l’homme est bon. Cela à l’air simple voire simpliste, mais je pense qu’il n’y a pas beaucoup d’autres alternatives si nous voulons survivre en tant qu’humanité, arrêter de nous suicider. Une fois de plus je fais des raccourcis, vous m’en excuserez. Puisque vous appelez au débat, In-flight, je me suis permise…Mais mon commentaire perdu était vraiment beaucoup mieux que ce ramassis d’inepties. Désolée.



Voilà c'est ce genre d'échanges qui me plait! Je zappe la première partie ironique

L'éducation, oui. En tant qu'enseignant, je constate par exemple des emplois du temps fourre-tout sans aucune transversalité dans les matières: la tentative des EPI aurait pu porter ses fruits mais il y a manqué un temps d'organisation et de concertation pour la mise en place. Et puis des profs n'ont pas toujours envie de travailler ensemble.
Je pense aussi à l'incursion de capitaux privés qui s'immiscent dans l'éducation (Mac Do qui offre des powerpoint sur l'équilibre alimentaire, Samsung ou Apple qui "invitent" ses tablettes dans les écoles, des entreprises qui font du mécénat auprès des écoles pour financer des sorties ou projet éducatifs alors qu’auparavant le budget existait...)
Mais bref, le sujet est trop vaste pour que j'en fasse le tour tout seul. A l'aide !

"que sommes-nous si nous ne consommons pas ?" --> C'est une bonne question qui doit être complétée avec "Que sommes-nous à la vue de ce que nous consommons?" ou une assertion du genre "nous sommes ce que nous consommons". Le problème n'est pas ici la consommation en tant que telle mais plutôt la façon de produire les biens et les services. Je fais l'expérience de manger les légumes d'un jardin partagé et bien évidement je regarde mon assiette différemment car elle est le fruit de mon travail et de la nature que j'ai vu en action. Et je ne juge personne, je constate ce revirement qui s'opère chez tout être qui consomme ce qu'il a produit en accord avec ses principes.
Et comme le disait l'Autre, "ce que nous possédons finit toujours par nous posséder", il faut allier cette production individuelle ou collective à une sobriété dans la consommation et dans les comportements (la consommation effrénée entraine l'hystérie du faux manque et de la frustration... Là on rejoint la partie éducative: veut-on des élèves qui deviennent de parfaits consommateurs?).
Et cette notion du droit à l'abondance de Baudrillard est très intéressante dans le sens où elle est vue comme un droit imprescriptible: au même titre que les droits de l'Homme (la rareté ou la non satiété est une anomalie). Moi je suis pour le droit à l'abondance dans un monde infini ( je cueille une pêche, une autre repousse instantanément ;) Malheureusement tout le monde sait que cela ne se passe pas comme ça (surtout ceux qui ont fait l’expérience du potager...) Ou alors on emploie clonage et OGM, cela pose d'autres questions...

"Des solutions il y en a, certaines sont d’une simplicité confondante" --> Quoi donc alors?

Contribution du : 02/07/2018 12:57
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Re : Pendant qu'il est encore temps...
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Pas adepte de l’ironie ? Moi, j’adore ça. Enfin la mienne, parce que celle des autres…
"Des solutions il y en a, certaines sont d’une simplicité confondante"
Je pensais avoir développé un peu... C'est simple mais très vaste, je pense que le point de départ c'est de changer notre rapport à nous-mêmes. Bon ça fait un peu bateau mais tout ces trucs de compétition, d'il faut écraser l'autre pour exister, que l'homme est foncièrement mauvais qu'il doit expier, il faudrait vraiment s'en débarrasser...C'est simple mais ça peut prendre un temps fou, mais si l'on ne passe pas par là ce sera toujours bancal, trouver des solutions pour continuer à produire comme on le fait mais un peu plus propre jusqu'à ce que l'on se rende compte une ou deux décennies plus tard que non ce n'était finalement pas plus propre, on a une longue expérience dont il faudrait se servir, de l'amiante à l'esclavage, une longue expérience de mémoire courte surtout. La commission européenne a débattu récemment de l’interdiction des pailles en plastique et autre gobelet et vaisselle… Par ailleurs elle va obliger les restaurateurs à fournir un contenant à leurs clients pour éviter le gaspillage alimentaire, j’imagine que ces contenants seront en verre. C'est un débat énorme que je ne maîtrise absolument pas (mais qui me passionne) et tant mieux personne ne peut appréhender les choses dans leur globalité, faut juste se rendre compte qu'on est vraiment capable d'arrêter de marcher sur la tête. Déjà chez soi et pour soi... Discours démago peut-être, je crois vraiment au précepte "change-toi toi-même et tu changeras le monde". Je peux faire ça et c'est tout petit et c'est énorme, après on peut continuer en ayant la foutue impression de creuser la tombe de ses enfants. Des fois je peux aussi dire d’autres conneries du genre «le faire c’est le faire» ou « tout est dans tout ». (C’est sûr je vais me griller une partie de mon lectorat déjà pas hyper fourni…)

Contribution du : 02/07/2018 16:11
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Re : Pendant qu'il est encore temps...
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@SQUEEN --》Oui je crois que ce qui est nouveau sur l'aspect écologique, c'est la prise de conscience mondiale du bien commun Terre à préserver. Car il est faux de penser que l'écologie est un phénomène du 21ème ou 20ème siècle (pensons à la Rome antique qui chariait ses déchets de façon ingénieuse ou d'autres grandes civilisations, comme les Incas... je ne maîtrise pas assez mais on peut imaginer que partout où il y a eu grande civilisation avec son corollaire grande densité de population, il a fallut mettre en place des moyens ingenieux de traitement des déchets, d'assainissement, de culture vivrière).

Les mesures de la CE vont dans le bon sens, mais elles semblent bien dérisoires à l'échelle européenne (350 millions je crois sur 7 milliards). C'est au niveau mondial qu'il faut prendre ces mesures (je ne parle pas de gouvernance mondiale hein...). Ces assiettes que nous ne consommeront pas, d'autres les consommeront. Ça me fait penser aux piles et aux ampoules électriques anciennes qu'on a refourgué ailleurs.

Les doggy bague obligatoire? Très peu vont réchauffer la pizza froide ou la bavette d'aloyeau qu'ils se sont taper la veille au soir.

Je te rejoins sur l'esprit de compétition que l'on a perverti en "marche ou crève"

Contribution du : 02/07/2018 23:46
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Re : Pendant qu'il est encore temps...
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@monsieurF: vous êtes dans les rares à avoir apprécié la scène du cambriolage, ça me fait plaisir.
Quant à la fin, j'ai voulu accélérer les événements donc je suis déjà limite surrégime

@pepito: pense à me donner ton billet de retard ! Je trouve dommage d'utiliser le terme "alambiqué" ou "ampoulé" quand on emploie des mots peu courants. Je veux bien reconnaitre que je me suis posé la question par endroit, mais sur un texte de 47 000 signes... Je me suis dit que ça passerait.

"l'agueusie face aux jours nouveaux" --> j'emploie ce terme à dessein pour "médicaliser" mon narrateur

"je dois suicider mes heures" --> ça le rend maître du temps, tout en étant son esclave. Moi j'aime bien, perso...

"à un point que je ne "la" sens plus" ...coquille ?" --> bah non, c'est OK

Bon, je vais pas défendre tout le texte, ça va commencer à se voir ;)


En tout cas, vos retours vont m'aider à retravailler, et puis avec 100 lectures et 14 commentaires, j'ai de quoi être "content".
ça me fait dire que l'ouverture de ce genre de forum fait vivre les textes un peu plus longtemps. On le sait bien, mais il y a parfois le manque de temps ou d'intérêt à faire du SAP (Service Après Publication) sur les textes.

Contribution du : 04/07/2018 23:40
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