Merci senglar pour ton commentaire qui m'a fait bien plaisir sur ce petit bout de parachute, un foulard... C'est comme si on rendait hommage à mon oncle, mort en résistant, chaque fois qu'on lit ce poème.

Le titre est mal choisi en fait.

J'ai rencontré l'an dernier un témoin de l'époque qui m'a dit que les maquisards avaient été dénoncés. Il a écrit un livre sur cela :




C'est René LIMOUZIN, l'auteur du livre, sur la photo, dans un bal de l'époque.

Et très bonne soirée.

Luz

Merci à toi Luz,


Combien de dénonciations pour combien de héros... Le titre est très bien choisi au contraire.

Hommage à ton oncle :)

Ton poème est un hommage d'utilité publique ; à méditer aux absents de la mémoire. Les héroïsmes muets, oubliés (parce que la mémoire est courte et que tout semble évident) n'en sont que plus méritoires.

Alors, ressuscitons les héros trop facilement oubliés.

Oublie-t-on la terre des cimetières ?

Bon, me v'là poilu moi, comme mon grand-père qui fut reconvoqué en 39... Mais ici c'est de ton aïeul qu'il s'agit.

Respect à lui grâce à lui nous ne sommes pas allemands ; je veux dire.. de cet empire qui devait durer mille ans.

Comment peut-on rester froid, analytique devant un tel hommage... là où est le coeur vibrant.

brabant tout en désolation mais aussi tout en admiration.