Je ne peux pas consacrer actuellement beaucoup de temps à Oniris. Je tenais toutefois à vous remercier, vous qui avez permis la publication de ma Lettre à un souvenir, vous qui l’avez lue et vous qui l’avez commentée.

Le sentiment amoureux est si confus que pour moi il nourrit le mieux une des plus belles obsessions de la poésie, celle de l’indicible. En poussant sa porte apparaît le challenge de l’infini. Pour moi, écrire de la poésie ce n’est que ça, une plage qu’on a rendue déserte devant soi.

Merci encore à vous d’avoir ouvert cette lettre.

FrenchKiss

Curwwod,

Merci d’avoir lu et apprécié Passionnément ma lettre publique à un souvenir.
Même si ce texte est de nature libre ou contemporaine, il tire tout de même sa substance d’une source classique. C’est impossible pour moi de m’en abstraire.
Vous dites : « Vous avez bien de la chance d’avoir trouvé sur votre route un tel objet de vénération. Je vous l’envie. »
Je ne sais plus. Il faudrait que je retrouve une photo qui ne soit pas déchirée :)

Vous êtes trop rare à mon goût, cher Curwwod.

Bien cordialement

FrenchKiss
Epistolier du passé