Malitorne, Hananke, Lebarde... Le lion est mort ce soir !

Savez-vous que les romains organisaient dans les arènes, en plus des combats entre les gladiateurs, des combats entre animaux dont des affrontements entre ours et lions et que, neuf fois sur dix c'était l'ours qui gagnait. Bon c'étaient des lions d'Asie et l'on sait que Xerxès et puis aussi Darius... furent vaincus par une poignée de Grecs.

Je répète moi que la poésie est sensitive mais qu'en classique, si on ne connaît pas les règles, il vaut mieux se taire que de dire des bêtises.

Mais je m'en vais sur la pointe des sabots. Ne suis qu'un pauvre sanglier, et l'on sait que dans le cochon tout est bon...


Senglar
Sanglier des Ardennes
Belges

Je m'absente un peu et voilà ! C'est le feu d'artifice avant l'heure !

Alors, vu que c'est l'été, qu'il fait beau, j'invite tous les intervenants, que je remercie pour ces fructueux échanges, à venir prendre un rafraîchissement de leur choix à la buvette d'Oniris" où sont présentés des textes qui attendent des commentaires parce que ce soir pour moi il y a bal, je dois donc me préparer. (L'orchestre a invité Pouet avec sa mandoline, en tenue jaune et verte moulante de troubadour, je ne peux pas rater ça !)

J'ajouterai seulement qu'en poésie classique, s'il y a des règles à apprendre et à respecter, dans la vie il y a des règles de bienséance et de civilité à respecter également. Ceci est valable aussi pour les commentaires.
Merci à ceux qui ne l'ont pas oublié.

Poétiquement vôtre,
Cristale


(p.s.; Rassurez-vous, je ne changerai rien et continuerai d'écrire comme, et ce que, j'aurai envie d'écrire)




«La poésie est le miroir brouillé de notre société. Et chaque poète souffle sur ce miroir : son haleine différemment l'embue.»
Louis Aragon

Rassurez-vous, je ne changerai rien et continuerai de commenter comme, et ce que, j'aurai envie de commenter

@Cat
"Comment en si peu, et avec la contrainte que tu t'imposes, dire et faire jaillir autant d'émotion ?
Les images que tu donnes à voir, à sentir, ont une présence qui n'appartient qu'à toi. Elles coulent de source..."

Chère et fidèle Cat, pardon d'avoir laissé passer un peu d'eau sous le pont le temps que s'apaisent les remous.
Tu as compris la rigueur que je m'impose, je t'assure que je ne me fais pas de cadeaux, rien n'est facile...et pas que la poésie, quant à la présence que tu ressens dans mes images c'est sans doute la muse, celle dont il est dit qu'elle est un peu maniérée, je confirme : elle l'est...qui s'amuse avec ma plume pendant que je remplis mon encrier...what else ?

Merci de ta lecture et de ton agréable appréciation.

Cristale

Citation :

Et pourquoi pas un petit noir avec son nuage de Chantilly ?
Sans sucre, pour moi.

Plus sérieusement, tu devrais te faire plus de cadeaux, on est jamais mieux servi que par soi-même.
Ceci dit, tu as raison de laisser couler l'eau sous les ponts...

Et vogue la galère
à bientôt ma Cristale


Cat

Un petit noir avec un soupçon de chantilly avec toi Cat et je vends mon âme au premier diable qui passe, ma muse, ma plume, mon encrier...tout !

Quant à me faire des cadeaux les plus beaux sont ceux que m'offrent les lecteurs dOniris...que demander de plus ?


J'aime tant regarder l'eau couler sous les ponts...

Merci de ta présence souriante Cat

@Nemo
a aimé beaucoup+
Un maître sur ma page, je n'aurais jamais osé croire à cet immense plaisir, et un muzain-commentaire en cadeau:

"Un muzain — ô mon Dieu, la plaisante surprise ! —
Formé, comme il se doit, de neuf alexandrins
Parfaitement écrits, sans vous casser les reins :
Je ne peux qu'admirer votre belle maîtrise.

Le sujet se révèle agréable et léger,
Abraham de Vermeil l'eût aimé... sauf peut-être
« nos noces » à la fin. C'était là le danger !
Il fallait bien que j'aie un "nonos" à ronger,
Mais c'est péché véniel, je dois le reconnaître."

Oserai-je répondre que je prononce "nos noces" ainsi : nô - no's (et non nô-nô's) un son fermé et un son ouvert, enfin quelque chose comme ça pour rester simple, ma journée fut difficile.

Je rajouterai seulement que cette appréciation, d'un auteur que j'admire et qui se fait si rare ici, et ailleurs, me touche profondément.

Merci Nemo

Mon dernier toutou aimait bien écouter Mozart : " les no-nos de Figaro."