Merci pour vos commentaires : HERSEN, LUZ, SHEPARD, PLACEBO , ECLAIRCIE, ROBOT, MARIA, DONALDO75.

Il m’a paru amusant de broder sur la contrainte “c’est qui” d’un bout a l’autre du texte. Et de terminer par la même question, comme le relève LUZ. Il fallait donc garder la question en suspens. D’où le développement de « l’énigme du téléphone perdu » (dixit ROBOT), qui se voulait seulement rigolote.

De passage a Alexandrie juste avant l’annonce du défi, j’avais le lieu : ma ville de naissance que je n’avais plus revu depuis l’enfance. Et lors de ce passage j’ai été sensible au contraste entre les restes d’une ville prospère et cosmopolite et le degré de misère d’aujourd’hui. C’est donc ce que j’ai tenté de rendre.

Le poème de Cavafy évoque l’Alexandrie d’autrefois, par la nostalgie qu’il exprime (via l’Antoine de Cleopatre). Ce qui m’a paru correspondre a ma situation. D’où mon titre. (En réponse a SENGLAR sur le forum. Je m’étonne de ne pas voir son texte, pourtant retenu…). Merci LUZ d’avoir inséré le poème en entier.

J’ai mis beaucoup de dialogues. J’espérais donner ainsi plus de vivacité au texte. Malheureusement pour beaucoup d’entre vous, ils manquent de naturel.

HERSEN : La fin est abrupte. En vérité, j’ai été pris de court. Je pensais avoir encore une semaine pour terminer la nouvelle (j’avais « lu » que nous avions jusqu’au dix du mois au lieu de lire que nous avions dix jours… C’est grâce a STEPHANIE90, en passant par chance sur le forum, que j’ai découvert « Vous n’avez plus que jusqu’à minuit ! »).

Ah, tu t'es fait avoir par le temps :))

ceci dit, une fin abrupte n'est pas un défaut ! Et si j'imagine la scène de Dimitri et Hasnoun à la sortie de l'école internationale, eh bien... :((

La porte est ouverte. pas grand je le crains, mais quand même.

Bravo encore pour ta nouvelle !