Merci aux lecteurs qui se sont arrêtés à Roz ven et qui ont pris le temps de laisser leur sentiment.
Ce poème évoque évidemment la maison de Saint Coulomb achetée par Missy (Mathilde de Morny, marquise de Belbeuf) et Colette en 1910 alors qu'elles entretenaient une liaison. Séparées 1 an après Missy laissa la villa à Colette qui y éleva en partie sa fille Belgazou. C'es au cours de ses résidences à Roz Ven qu'elle entretint une liaison avec son jeune beau-fils Bertrand de Jouvenel et écrivit son roman qui fit scandale « Le blé en herbe ».Grand admirateur de Colette vivant à 25 km de Saint Coulomb, j'ai plaisir à me promener de temps en temps sur la plage que j'ai évoquée dans le poème.

Un grand merci donc à Quéribus, à qui j'affirme que le « vous » s'est imposé à moi dans la mesure où cet aveu est sensé dater du début du 20ème siècle, Hananke dont j'aimerai qu'elle me signale par mp les hiatus qu'elle a relevés en dépit de ma vigilance, Annick, Papypoète, Hersen, Lebarde, Aconcagua, Sympa, Emilia, BernardG, Mokhtar, Jfmoods, (belle citation de Colette), Donaldo75, Michel64.

Je profite de l'occasion pour informer les membres d'Oniris que mon recueil « Amours » est à l'impression et sortira aux éditions « Flammes Vives » pendant la dernière semaine de janvier.

Mes amitiés à tous.
C.

Merci à vous Quidonc pour votre passage et pour votre appréciation qui me prouve que mon but est en partie atteint.