Merci Oniris de me donner cet espace et aux lecteurs à qui j'adresse toute ma gratitude.

@Mokhtar : tu as raison, la longueur est difficile à gérer et en effet je ne suis pas un grand styliste :) je trouve que c'est déjà assez compliqué de faire simple et c'est long de faire court !
Le poème attribué à Paul Fort n'est pas de Paul Fort, pardon pour cette supercherie, mais quitte à porter des masques, j'ai bien aimé emprunter le sien.

@cherbiacuespe : merci d'avoir eu cette patience et cette rapidité pour aller au bout

@Donaldo75 : merci également d'avoir supporté cette longueur et admis les digressions. Je pensais que ça donnerait un peu de relief dans l'amusement

@maria : non, je ne suis pas le demi-frère de Nicolas Sarkozy bien que... peut-être suis-je Nicolas Sarkozy ? Auquel cas j'espère que tu ne m'en voudras pas et que tu m'accepteras comme je suis, du moins dans cet espace. Merci pour ta bienveillance que je remarque à la lecture de nombreux textes

@plumette : j'ai bien aimé justifier cette relation par une relation aussi proche ou aussi lointaine que peut engendrer la fraterie comme celle d'un anonyme à un président. La genese vient d'une rêverie quand je suis allé à des réunions où se cotoient "ceux qui ne sont rien" et ceux qui ont tout. Sommes nous si différents ?

@Alfin : oui, pas mal de boulot, mais j'avais déjà pas mal de docs. Un grand merci aussi !

@Ynterr : avant tout, je suis très content que vous ayez passé un bon moment, même si ça n'a pas été facile à toutes les lignes. Votre interrogation sur le surréalisme me fait réfléchir. On est bien au-delà d'un réel qui nous ennuierait tous, d'où l'idée de ce texte sans prétention.

@Robot : pas facile de trouver un équilibre entre la répétition et l'humour. Merci d'avoir supporté ces quelques lourdeurs improbables. J'essaierai de faire plus subtile une prochaine fois :)

@plumedeplomb : les similitudes que tu notes sont le fruit du hasard, j'en suis flatté. Les digressions ne sont en effet peut-être pas très adroites. J'essaie de donner du relief en observant les persos d'un autre angle.

@Castelmore : ça me touche beaucoup merci

Modéré: rupture d'anonymat en EL.

1000 mercis, GillesP de cette lecture précise et très encourageante. Voilà pourquoi je propose des textes, pour rencontrer des critiques utiles, fondées, bienveillantes.
Vous avez raison sur (presque) tout.

Il est très satisfaisant de voir ses blagues à deux balles appréciées pour ce qu'elles sont, même si ce n'est pas grand chose et comprends votre lassitude dans ce qui est peut-être un problème de rythme. C'est long de faire court... et dur de maintenir un sourire sur une distance longue !

Bien sûr la chute est sans doute tirée par les cheveux, mais je voulais que cette connivence reste innocente et enlever tout le sacarsme et l'agressivité qu'on retrouve partout aujourd'hui, en gros : produire de la gentillesse quand on soupçonne le mal partout.

- À un moment, Claude Guéant "concerta sa montre". Je ne pense pas que l'on puisse concerter sa montre, si? On la consulte.
oui entièrement d'accord

- "vous devez avoir un peu de recul au regard de la perception habituelle qu'ont les gens de la politique": cette phrase m'a paru alambiquée, notamment à cause de l'utilisation de la locution "au regard de". Pourquoi ne pas écrire, plus simplement: "un peu de recul sur la perception"?
oui très alambiquée, vous avez encore raison

- "C'est l'histoire de Gaulle": il faudrait écrire "c'est l'histoire de De Gaulle", même si la répétition est peu agréable. Sinon, on a l'impression que vous parlez de l'histoire de la Gaule.
oui (comment j'ai pu rater ça, c'était juste si le nom même - hors particule - avait eu plus d'une syllabe)

- "la première chose qui me frappa c'est la similitude de sa pendule au-dessus de sa tête": la similitude avec quoi? On l'apprend certes dans la phrase suivante, mais il me semble que, telle quelle, la phrase ne fonctionne pas bien.
oui vous avez toujours raison

- "Arrivé en ce noël 2011, il était alors bien inscrit dans le collectif électoral que le président sortant en redemandait": là, j'ai vraiment trouvé que la phrase manquait de sens, même si on peut le reconstituer grâce au contexte.
idem !

"entre l'économie de marché et la rupture du grand capital": j'aurais plutôt écrit: "entre l'économie de marché et la rupture avec le grand capital".
là vous êtes dur, mais bon... j'accepte e bon coeur !

- "Alain de loin": la blague sur Alain Delon est trop rebattue, pour moi.
soit. Désolé...

- "si je fermais les yeux, je n'aurais pas pu reformer son visage dans mon esprit, si je croyais avoir pris un flash, je savais que Valérie en était la source": alors là, je sèche. Je ne comprends pas ce que vous avez voulu dire.
ben... si ! je maintiens bien que la concordance des temps ne me parait plus correcte. Une aussi jolie fille peut être un flash.

- A quoi sert la digression sur le faux poème de Paul Fort? Je trouve l'idée de tendre un guet-apens au lecteur en inventant un poème et en l'attribuant à Paul Fort est plutôt bien vue, je me suis fait avoir avant de vérifier que Paul Fort n'avait jamais écrit ce poème. Cela veut dire que le pastiche est réussi. Mais quel en est l'intérêt narratif? J'ai eu l'impression que vous aviez écrit ce pastiche avant et que vous vouliez le caser quelque part, mais peut-être que je me trompe.
Bravo, vous m'avez percé ! Je voulais le placer en effet, comme lorsqu'on trouve un peu de sucre dans le placard pour adoucir encore son gateau.

Bien joué GillesP et merci encore
J'espère que nous pourrons échanger, vous avez beaucoup de choses à m'apprendre
Thierry

A Thierry: je viens de comprendre votre phrase: "si je fermais les yeux, je n'aurais pas pu reformer son visage dans mon esprit, si je croyais avoir pris un flash, je savais que Valérie en était la source". Il m'a fallu du temps!