Oui, rappelez-vous, il s'agit de ce Breitschwanz celui en horreur-épouvante, celui qu'on lit de force aux enfants pas sages, ou qui passeraient par là, malencontreusement.

Le mot est rare, même sur internet, et la métaphore qu'en fait i-zimbra est totalement glaçante et percutante.

Il n'est plus passé depuis un bail, et c'est en attendant une nouvelle nouvelle que je découvrais sa publication de ce recueil, en vente ici

Il comprend ses dernières publications sur Oniris, toutes méritent le détour c'est un auteur hors norme qui manie le français comme personne.

Oniris est cité au tout début de l'ouvrage, pour les oeuvres qu'il y a publié.

J'ai scanné la couverture pour montrer que le bouquin est un peu plus grand qu'un stylo-bille et très joli.

Merci David pour l'info !

Mettre en valeur le fond d'Oniris est quelque chose que nous ne faisons pas assez (moi le premier !)

Je suis fan d'épouvante mais j'étais toujours passé à côté de ce texte. J'ai commencé hier soir, si ça conserve le ton et le suspense tout du long, je ne serai pas déçu.

Dommage de ne plus voir I-Zimbra en effet, le style est bon, la construction romanesque un peu trop dépouillée à mon goût (je ne suis sans doute pas assez moderne :) mais les bonnes idées sont là.

On peut dire qu'I-Zimbra était un des piliers des débuts d'Oniris, j'espère qu'il reviendra faire un tour à l'occasion.