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remerciements " convolvulus "
Maître Onirien
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29/01/2013 15:18
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Remerciements pour Convolvulus

( parti une semaine loin de chez moi, ce coquin en a pris à son aise, et je me demande si je ne vais pas finalement, lui laisser sa liberté… )

« Tu devrais commencer à t’habituer... » Non, je ne m’habitue pas au bonheur d’être publié. A chaque fois, un frisson me traverse lorsque ONIRIS m’offre une place dans ses colonnes !
Que chacun de ses membres " piliers " soient ici remerciés !

Genèse

Je ne me vois pas caresser une araignée, ni me blottir au creux d’orties ; mais ni écraserai l’une, ni piétinerai l’autre !
Alors que pour la énième fois, je tentais de me défaire de mes liserons, " mon " corbeau à deux pas, sembla me croasser « ils sont pourtant mignons... »
C’est ainsi que je regardai mon envahisseur d’un autre œil…

Mercis personnels

Eclaircie ( bien ) Ah ce titre ! j’en ai appris le sens au même moment que Vous ! Côté floral, leur entonnoir ou trompette selon moi, leur rose est en nuances, ce qui me fit utiliser le pluriel. Je pourrais venir dans votre jardin désherber, mais je crains d’être fort sollicité ! Merci

Ascar ( beaucoup ) un poème qui consolera notre pauvre liseron ! Un plaidoyer bien amené avec ces vers qui " s’enroulent " autour du lecteur, sans l’étouffer ! ( belle image ) merci beaucoup

Corto ( beaucoup ) Joli, à se sentir devenir un peu végétal ; un brin enjolivé à la seconde strophe ; même les abeilles sont copines, à butiner sa tétine ! A lire plaisamment pour une nouvelle journée ! Merci beaucoup

LenineBosquet ( bien ) forme et fond s’allient, pour écrire ces octosyllabes sautillants et légers. En accord avec mon raisonnement, vous hésitez à tondre votre jardin… ( l’on put les arracher avec un gant de velours… ) merci

Lebarde ( beaucoup ) encore une fois, je prends la défense des mal-aimés ( pas Robin des Bois non plus ! ) Ainsi, bien que l’on puisse haïr cet intrus, ses jolies fleurs couleur pastel, peuvent excuser son entêtement à nous, s’imposer ! Vocabulaire simple ( je dirais comme toujours ) mais si bienveillant. Quelques bémols ( l’on/l’on ) et cette tétine… Pourquoi pas " classique ", car je crains toujours de n’avoir pas vu cette faute, là ! ( ici, singulier/pluriel ) merci beaucoup

PIZZICATO ( beaucoup ) sympathique plaidoyer pour cette plante " trop attachante ". Oui, regardons-la d’une autre façon ! ( entre nous, ne le répétez pas ! Comme j’aimerais revoir votre nom dans ces colonnes ! ) merci beaucoup

Provençao ( beaucoup ) vous avez adoré  cette Convolvulus qui, montrée du doigt, ne mérite qu’œil acerbe et vindicte punitive ! Une belle leçon de vie… merci beaucoup

PlumeD ( beaucoup ) charmant poème qui nous montre, que tout a sa place , son utilité dans ce monde ( Maman disait « c’est le Bon Dieu qui l’a fait ; donc ce ne peut être mal ! » ) Et s’intéresser aux plus mal-aimés est si louable ! Vous aimâtes la 3e strophe et la fameuse tétine ( comme quoi … ) merci beaucoup

Annick ( beaucoup ) la plante mal-aimée personnifiée ( jolie femme, figure maternelle ) si facile à vivre avec son peu d’exigences ; qui supplie « regardez-moi ! Épargnez-moi ! » un poème charmant, gentiment émouvant. Merci beaucoup

Pouet ( beaucoup ) le thème des " oubliés ou écartés " vous plaît ; le confinement ne redonna-t-il pas droit de citer, aux fleurs que la noblesse ne couronna pas telle la rose ? La nature poussant ses fleurettes jusqu’aux ruelles citadines ? Bien que mon poème venta la beauté de ces trompettes, le liseron fut-il laid mérita tout autant bienveillance ! Me lisant vers la fin, réfugié sous la tige tremblante, vous n’en meniez pas lourd !
… quand je disais que Pouet savait l’art des rimes et des pieds ! Merci beaucoup

Vincente ( bien ) un gentil poète offre ici quelques vers, pour faire oublier le côté envahissant du MAUDIT liseron. Prenant la parole, Convolvulus tente de se faire regarder, et voyant le jardinier s’approcher, on " tremble de la tige entière " ! L’intarissable " tétine " vous séduisit ( mit l’eau à la bouche ) quand d‘autres lecteurs n’aimèrent pas ! Merci

Luz ( beaucoup ) les liserons dans les rosiers, quelle corvée ! Et l’on se pique les doigts, alors que le liseron tourbillonnant s’en joue avec malice ! Mais l’œil se faisant médiateur, son maître se laisse séduire… et le rampant s’aventure à une haie, quand des orties en viennent même à héberger ces trompettes rosées… merci beaucoup

poldutor ( beaucoup ) mise à l’honneur, cette plante modeste se montre tel mannequin que « la taille fine corsète ". Agréable leçon de botanique écrite comme supplique. Merci beaucoup

Harvester ( beaucoup ) le hasard veut que vous aimiez le liseron ( celui des sables ) auquel vous consacriez des haïkus ; bien que influencé par cette attirance naturaliste, objectivement mon poème vous plut et le lire vous fit plaisir ! Merci beaucoup

Castelmore ( bien ) aussi alerte et vif que la volubile plante, mon texte se fait sautillant, pour un plaidoyer en faveur de ce charmant envahisseur ! Le passage bourdonnant des abeilles, " biberonnant " est celui que vous préférez ( encore comme quoi, des goûts et des couleurs ) merci

emilia ( beaucoup ) Charles Trenet voyait de sa fenêtre, plus de thym et romarin que de liseron, mais il put ( le long de la nationale 7 ) regarder Convolvulus, et se laisser charmer par les atours de cette charmante fleurette à trompette. Papipoète plaida pour le corbeau, l’arbre, le poisson et cette ode à qui l’on veut la peau sans répit, vous enchanta… d’un peu d’eau, du soleil à foison et du miel de ces " butineuses de tétine ". merci beaucoup

Myo ( bien ) il est bien gentil Papipoète, mais son héros n’en prend-t-il pas à son aise, en s’entortillant, se multipliant à l’infini ? Mais à regarder mon protégé au fil de mes vers, on trouve qu’il mérite ce brillant éloge ! Merci

Miguel ( beaucoup ) cette prosopopée ( je m’instruis, mais crains de ne pouvoir glisser ce mot dans mon prochain poème… ) en faveur du liseron, sonne comme un plaidoyer « la parole est à papipoète ! »
- Messieurs les plaignants, convenez que le prévenu a quelques atouts ! Et puis, n’est-il pas adorable ? Si peu exigeant ? Je demande à l’entour INDULGENCE ! l’auditoire est conquis à sa cause, mais sait bien que le coupable récidivera… papipoète ici, vous rappelle des vers de Monsieur Hugo… je rosis comme les trompettes aux tétines ! Merci beaucoup

Cristale ( beaucoup ) le liseron qui ne respecte pas la distanciation sociale, embrasse à qui mieux-mieux ; piquets, clôtures et rosiers outragés ou tomates rouges de colère ! Je laisse faire à cette gourgandine, ce qui lui plaît ! A travers mes octosyllabes, se dessine un poème attachant, aux tournures délicates ; merci beaucoup

socque ( néant ) charme sympathique à travers cet hommage au liseron ; comme une ré-découverte de la nature après le confinement, une autre façon de la voir avec ses habitants floraux. J’ai trop insisté sur son désamour de la part de l’homme, mais dans sa globalité avez bien aimé. Vous dites m’avoir mal noté ? Que nenni ; je ne vois point de " pas " ! merci

Vincendix ( beaucoup ) liseron et lierre vous sont connus, et c’est peine perdue de vouloir les éradiquer ! Reconnaissant que Convolvulus a du mérite de croître, sans eau, sans crainte du soleil brûlant, mon poème à " l’humour gentil " peut bien lui être dédié, et quelle idée originale ! Merci beaucoup

Contribution du : 29/06/2020 14:37
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Re : remerciements " convolvulus "
Maître Onirien
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bonjour PPeronne
Vous fûtes sous le charme de mes mots simples et touchants, et jugiez alors qu'il faut un certain talent, pour donner une âme à une simple herbacée. Mon poème excelle à montrer que sur Terre, rien n'est à dénigrer !
Vous me découvrez avec plaisir ; j'en suis fort aise et vous invite à parcourir d'autres sujets sous ma modeste plume, et verrez que même un serpent eut droit à ma bienveillance ( bien que mordu à une main quand j'étais bambin )
Ailleurs, je disais évoquant les poissons, " s'ils pouvaient parler, accrochés à l'hameçon... ? " eh bien, durant le confinement alors que la nature renaissait, on entendit au fond de la mer... des poissons faire la causette !
merci beaucoup pour votre passage

Contribution du : 02/07/2020 17:59
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