… Et face à l'impossibilité d'un ailleurs authentique, le désir d'aventure se mêle aux pires instincts.

Après avoir relu "Le Roi des aulnes" et lu "No man is an island, entire of himself…"
En huit strophes inégales de vers artificiels tout aussi inégaux.

Rien à vendre, tout à offrir…

Poème offert à l'accueil sur ce site.

Vivre, c'est ressentir bien au-dehors de soi, et être touché, le cœur plein, plein de feux, alors vivre, c'est aimer, et l'amour se chante, à grande gorge et grands poumons alors je chante mon amour, ma petite fée des pluies, en puisant à ses eaux et fusains.

Je pose la question
Ne la bousculez pas !

Derrière la fenêtre grillagée
De ma cellule bleue
Je t’observe

Les jeux d'un père avec son fils en toute complicité.

Poème dadaïste, pour lutter contre les peines de cœur et l'effet de serre…

Aucune référence historique…

En vers et en strophes.

Quand les torrents reflètent les bouillonnements intérieurs.

"Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point…" : Blaise Pascal "Pensées" (vers 1656-1662. Publication en 1670). "Fragment 397" : "maxime" usuellement détournée de son sens premier ainsi que c'est le cas ici.
À l'imitation de Guillaume d'Aquitaine (fin XI^e - début XII^e siècle). Déraison grimée en français moderne sans rime ni métrique, ou alors accidentelles, en sept strophes de six vers. Pastiche, bluette mais aussi salmigondis.

Un simple regard sur soi, sur ce qui y voyage, en tant que petite partie d'un tout immense, et au dehors de soi, sur tout ce qui pétille, de bon ou de mauvais.

"Les hirondelles sont parties.
Le brin d'herbe a froid sur les toits ;
Il pleut sur les touffes d'orties.
Bon bûcheron, coupe du bois."
V.H.

Un coup de fil… une dispute.

Il arrive que les choses de la vie nous fassent mal jusque dans le corps…
Accepter ce venin, l'expurger et attendre.

Je crains de sacrifier, une fois de plus, les rimes et la musique à mon thème principal, le blues des fins de dimanche… mais je n'arrive pas à 'tricher' avec les petits cris intérieurs qui me servent d'inspiration…

L'esprit a lui aussi ses saisons et l'hiver en est la plus morne. L'heure de l'hiver est celle où tout bascule et où chaque nuit devient une obscure menace. L'aube est cette lueur d'espoir qui nous sort de notre torpeur… J'ai vu l'aurore comme dans une lutte épique pour reconquérir le monde.