Lorsque je doute sur la pérennité de l'Amour, je m'exile sur Amexin, métaphore de la planète intérieure, de l'éthique personnelle affranchie des morales humaines.
Il s'agit d'un poème d'amour à un amant jamais connu où je tente de retracer les étapes du délire amoureux, du fantasme érotique à la douleur de ne pas être aimée en passant par la réinvention de l'autre à l'aune de son propre désir.
"Certain renard gascon, d'autres disent normand, Mourant presque de faim, vit au haut d'une treille Des raisins mûrs apparemment, Et couverts d'une peau vermeille."