On ne m’atteindra plus, on ne franchira plus ce cercle de lumière. J’appartiens pour toujours au domaine des fées.La région du cœur – Fernand Dumont (1945)
Pauvre Cyrill.
Et si monsieur le Temps pouvait nous parler ?
Les amours inavoués sont, sans doute par nostalgie, les plus beaux.Avec le temps ils prennent, également, un doux parfum de fleurs séchées.
Comme "Londres à Berlin", ce texte est extrait d'un recueil à paraître.
Sonnet théâtreux.
Te amo ad vitam æternam.
Une petite mise en valeur poétique de cette humeur qui, pourdiverses raisons, jaillit de nos yeux et s'écoule…
… à l'amour, à la mort.
Dans le chaos du désordre devraient suivre : écorce, éclat, écueil, échine, écharde, ecchymose, éclipse, écume, écluse & éclisse…
Un court récit mis en alexandrins : un épisode connu, apocryphe, dans lequel justice est rendue et équité rétablie de manière peu commune…“Advocatus sed non latro, res mirabilis populo” (Avocat mais pas voleur, chose admirable pour le peuple – vieux cantique populaire)
Nos romances sont-elles les seuls instants d'une vérité intime… ?
"Viscères et membres fermés par une peau sont ce que la vie s'est proposée pour habiter le chaos." Alain Damasio, la Horde du Contrevent.
Promenade en pays d'eaux.
Ce texte s'accompagne normalement d'un .gif animé – n'importe lequel – en triple exemplaire. Mais on peut faire sans.
Quand l'émotion s'enracine en soi et ne veut plus en sortir...
Dans le parc l’été sous le kiosque à flonflons, il y avait la fanfare qui jouait du Massenet.
Poème inspiré de mes rencontres avec les navigants et leurs souvenirs.
… Un chant sur celui d'une vague.