Chacun de nous a à faire avec ses fantasmes. Faut-il tenter de les vivre ? Les exposer au grand jour ? Les renier ? S'en débarrasser ?
Chacun de nous répond à leur puissance motrice à sa manière...
J'en expose un ici.
Ce qui le caractérise d'ailleurs, comme tous les fantasmes, ce n'est pas de plaire ou d'être aimé, c'est simplement d'exister...

Quoi de plus étrange que la vision d’un immense désert de sable, cela procure une sorte de vertige !

Vision d'un monde esclave de l'esclavagisme, massacré par ses massacres.

Chant à la Muse.

Suite à une panne de chauffage en hiver, j'ai retrouvé le plaisir de la couette.

C'est le diable qui murmure...

Sérieux s'abstenir !
Elle était en souffrance au fond de mes cartons
Cette trop longue histoire à sommeiller debout.
Je viens de l'achever, par pure compassion.
À l'origine déjà «piquée des vers» et les «pieds bots » je n'avais pourtant pas eu le cœur de l'euthanasier... Réflexe troisième âge ?

Un amour… intemporel.

La poésie, c'est parfois aller à l'essentiel.

Cette chanson interprétée par Charles Aznavour m'a beaucoup fait rêver jadis. Elle a motivé en partie mes découvertes géographiques et humaines. Depuis, j'ai compris que le voyage intérieur était en fait le plus extraordinaire, et que pour y accéder il fallait, tel qu'à bord d'une montgolfière, lâcher du lest...

C'est ma première (tentative de) diffusion... avec l'univers et les dieux pour évoquer l'éternité de l'amour, à travers les yeux bleu-vert de celle à qui s'adresse le poème.

Hiver 1838. F.Chopin et G.Sand séjournent à Majorque. Bien que malade, il y compose, notamment, "Prélude N° 4, Op. 28".
À son retour, il me fait cette confidence...

Vraiment aimer un roseau
Quelle idée pour un oiseau.

D'après Le prince heureux, Oscar Wilde

En attendant de vivre...

La folle envie d'un peintre voulant transfigurer la curieuse et sublime laideur d’une femme...

Il s'agit de cinq sijos coréens, cousins des haïkus et autres tankas japonais, sur le thème de l'arbre.

"C'était peut-être pour gagner du temps qu'on nous y avait mis vivants." R. Dorgelès

Au Caire, place de la Révolution, si loin de tout le calme de ce monde, je m'asseyais souvent pour regarder le désordre, comme lorsque enfant je regardais les fourmis dans la fourmilière.

Le comédien de théâtre est un être à part, comme l’était Molière.

Un homme qui marche.