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Humour/Détente
dancarau : Petites fictions n°4
 Publié le 13/07/07  -  7 commentaires  -  2865 caractères  -  35 lectures    Autres textes du même auteur

Beignets adorés : "Je sens l'odeur sucrée qui s'échappe de mon sac de beignets..."


Petites fictions n°4


Beignets adorés…


C’est une histoire de beignets.

J’ai dû m’absenter quelques jours pour soigner ma mère d’une mauvaise grippe. Chaque matin, je faisais les courses dans son quartier. J'y ai découvert une excellente boulangerie dont la spécialité est des beignets farcis de toutes sortes de confitures. Là, on peut être sûr de la qualité et de la fraîcheur des produits vendus.


Avant de rentrer chez moi en voiture, j’achète plusieurs beignets pour mon mari Franck, qui est très gourmand, comme moi.

Sur le chemin du retour, je m’arrête pour prendre un café car je suis fatiguée de conduire. Je pense à ma mère. C’est une femme appréciée de tous à cause de son sens de l’humour. Elle aussi aime beaucoup les beignets de sa boulangerie de quartier. Je suis assise et j’aperçois les arbres par la vitre du snack. Ce sont les premiers jours du printemps. Je sens l’odeur sucrée qui s’échappe de mon sac de beignets et j’imagine le plaisir qu’aura David à les déguster. Le café est bon ici. Cela fait du bien de ne rien faire...


Je vois la serveuse qui porte un immense plateau rempli de verres. Je me dis que c’est un travail bien difficile. Tout à coup, j’entends un cri. Je me retourne et CATASTROPHE ! Le plateau lui échappe des mains ! Il tombe sur mon panier, là où se trouvent les beignets tout frais ! Ils sont complètement écrasés par le verre brisé. Je n’ai plus qu’à en acheter d’autres et je ne peux pas retourner en arrière car à cette heure-ci il y a trop de circulation !


Je reprends la route, déçue de cette mésaventure. Je repense à ma mère qui sait si bien rire de tout. Je décide de faire un détour vers une autre boulangerie réputée. J’ai de la chance car la file d’attente n’est pas trop longue. Je repars avec un paquet plein de beignets très parfumés. C’est mon mari Franck qui sera content. J’inviterai aussi Anna à prendre un café avec un beignet. Cela fait longtemps que je ne l’ai pas vue.


Comme il fait très beau ce matin, je m’assois au bord de la fontaine. Je cède à la tentation et dévore un beignet au jasmin. Je regarde autour de moi. Les gens semblent détendus, ils marchent lentement. Mon nouveau paquet de beignets dépasse de mon cabas. J’espère qu’ils garderont leur fraîcheur aussi longtemps que les précédents. Dans cette boulangerie, ils ne sont pas farcis de confiture, mais plutôt parfumés et très sucrés. Ils ne sont pas plus grands que deux doigts. Leur couleur est d’un jaune doré.

Sur la place il y a une femme âgée qui promène son doberman. C’est sans doute pour elle le prétexte d’une promenade quotidienne. Mais SOUDAIN, elle lâche la laisse. Le chien se met à courir vers ma direction. Il sent mes beignets et se jette dessus. Je ne suis pas assez rapide. PLUS DE BEIGNETS !


Franck n’aura pas de dessert avec son déjeuner. Cela fera du bien à sa ligne. Il a pris du poids ces derniers temps...



 
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   Pat   
18/7/2007
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Quand le destin s'entête.... Bien trouvée cette petite histoire. Je me demande comment elle est liée avec le reste des fictions (autant avec la précédente on pouvait faire le lien, autant là... c'est moins évident)

Il ya pour moi trop de phrases qui commencent par "je". C'est pas très agréable à la lecture. Il manque aussi, un peu de sentiment chez le personnage. J'aurais bien vu un peu plus de colère...

   widjet   
8/5/2008
 a aimé ce texte 
Pas
D'un intêret encore très relatif encore navré de le dire même si meilleure que la fiction 1 (au moins cela raconte quelque chose). Répétitions, lourdeurs, incapacité à stimuler le récit (et le lecteur donc), bref il manque beaucoup d'ingrédients à ces beignets pour les rendre comestibles.....

Widjet

   Ephemere   
1/2/2009
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
Si tu veux que je te donne la recette des beignets... ça ferait une bonne nouvelle !
C'est qui David, son second mari ?
Je suis venu, j'ai vu, je suis parti....
FMR

   Anonyme   
12/2/2009
so so so british... calme olympien.
Je l'avais déjà lue et mise de côté en attente d'autre chose. Je me rends compte que si on ne lit pas les autres, on a du mal à trouver de l'intérêt à cette microfiction (?)
Cette histoire de beignet me rappelle une séquence d'un film que j'ai adoré : Beignets de tomates vertes. Et pas du tout pour le titre, mais pour l'une des trois héroïnes, à laquelle ton texte me fait penser parce qu'au travers de ces lignes, je la vois. Je l'entends même.
Au plaisir de te lire.

   Anonyme   
23/12/2009
 a aimé ce texte 
Pas
Bon déjà, préciser dans l'entame, c'est une histoire de beignets, j'ai comme l'impression qu'on me prend pour un benêt et ça me rend déjà un peu frileux. Mais ce n'est rien comparé à ce qui m'attend : il n'y a malheureusement pas que le sucre qui soit resté de glace. Franchement, je dis non !

   jaimme   
23/12/2009
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
Je vois de la lumière... éteinte depuis février 2008. Tiens c'est toi Jphil. Oh, il est parti en coup de vent, pas content!
Bon je vais lire, voyons...

Non! Entre les mauvaises tournures de phrases, les trucs à corriger ("à cause de" au lieu de "grâce à" par exemple), l'inintérêt absolu de la nouvelle, le ton enfantin, etc... je n'ai pas perdu mon temps... j'ai bien ri! Désolé, mais là on approche de la caricature!

   Anonyme   
2/4/2011
 a aimé ce texte 
Pas
Je ne suis pas friande de ce genre d'écrits. La narration est énumérative à souhaits, ce qui rend le tout terriblement plat.

Plusieurs maladresses dans la construction, répétitions de mots fongibles à de multiples reprises, narration au JE omniprésent qui donne une monotonie à la structure du texte qui est assez désagréable. Heureusement que le texte est court, je crains un caractère insupportable sur un format plus long.

Des approximations langagières facilement corrigibles comme "dont la spécialité est des beignets farcis" remplacé habillement par "sont des beignets" ou "est le beignet", juste pour l'uniformité de la phrase.

Je ne suis pas fan de la manière choisie pour mettre en relief les moments de "suspense". Les majuscules étant le seul moyen mis en place pour mettre en évidence le suspense ou le danger, ça reste un peu peu pour induire une réelle tension ou un réel sursaut.

L'idée en soi reste intéressante, je dirais qu'elle n'a pas bénéficié du meilleur vecteur d'exploitation. J'imagine que le hasard qui s'acharne sur les beignets pourrait donner lieu à de véritables scènes burlesques (genre théâtre burlesque). Malheureusement ça tombe un peu à plat ici aussi.

Finalement une histoire qui me semble mal maitrisée au stricte niveau narratif.

Sauf... sauf la phrase de clôture, que dans toutes ces approximations je trouve simplement géniale.


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