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Anonyme
24/3/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Eric,
Tandis que d'autres désirent pour compagnons chiens, chats ou dauphins, le narrateur s'imagine faire copain-copain avec un pachyderme... original ! Et ce NAC permet à son compagnon humain de s'imposer en société plus facilement qu'avec un animal moins incombrant... L'idée est brillante, bravo ! |
socque
24/3/2022
a aimé ce texte
Bien
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En Espace Lecture j'avais reconnu votre fantaisie, ericboxfrog, cette bienveillance nonchalante que je retrouve en général dans vos histoires loufoques. Ici pas vraiment d'histoire, le déroulement d'un fantasme avoué comme tel ; c'est peut-être ce que je regrette, qu'au lieu de me projeter dans un univers où le narrateur est copain avec un éléphant et puis voilà, vous m'avertissiez d'emblée qu'il s'agit seulement d'une idée comme ça.
Jolie fin me dis-je, avec une pointe de mélancolie. Une histoire dépaysante et agréable pour moi, un peu timide dans le "goût d'ailleurs". Mon moment préféré : une sorte d’ermite dans sa grotte, sa caverne à ciel ouvert et ambulante qui se déplacerait à quatre pattes. Pile ce que j'aime, ce genre de rapprochement saugrenu ! |
Pepito
24/3/2022
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Bonjour Eric,
La forme m’a gêné, beaucoup trop de maladresses à mon avis : « J’aurais toujours voulu avoir comme ami un éléphant. »… le présent du conditionnel m’a fait tiquer. Genre : « J’aurais toujours voulu avoir comme ami un éléphant, à condition que… ». Pourquoi pas un simple présent : « J’ai toujours voulu… » ? « On serait nés la même année »… le « on » me gêne, je préfère un « Nous serions nés… » plus écrit. Quatre "auré" en 3 lignes. ^^ « qu’il y en a beaucoup »… beaucoup des quoi ? « Entre nous ça n’existerait pas. »… je préfère un « cela » au « ça » > langage parlé « Moi, c'est surtout les éléphants. »… ? « Je me serais senti ainsi tel un guerrier d’Hannibal »… « ainsi » me semble en trop « Alimentés en quantité, »… > "suffisamment" je suppose. "soient déposées au gré des vents"… faudrait savoir. " Est-ce qu’il vous est déjà arrivé de ramasser des bouses d’éléphant ?"… ben, là, à vrai dire… ^^ … Sur ce, je salue l’exploit, c’est pas demain la veille que je vais parler portugais comme tu écris en français. ;-) "gourous aux grandes arnaques"... cela m’a rappelé un président de la république, mais je ne retrouve plus son nom. ^^ Quant au fond, je l’ai trouvé un poil enfantin. Ce n’est pas un reproche en soi, juste pas à mon goût. Avec des propositions qui partent dans tous les sens, sans but visible. C’est peut-être ce que l’on appelle de la poésie, je ne suis pas un spécialiste du genre. Sinon, pour rappel, les commentaires en bas de tes textes sont écrits par des oniriens comme toi. Même pas rémunérés. ;-) |
Mintaka
24/3/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonsoir Ericboxfrog,
Pour être direct je dirai que votre recit ressemble, dans la forme comme sur le fond, à ce que l'on pourrait raconter à un enfant avant de s'endormir. Quelques maladresses sans doute mais qui passe bien sur l'ensemble. Une histoire curieuse, aimable et pleine de bons sentiments. Mais une histoire étrange aussi qui accroche tant on se demande de quelle façon un éléphant domestique peut finir. De la naïveté mais pas que... ce récit est comme un rêve et un peu de rêve aujourd'hui, ça ne se refuse pas. Merci à vous |
alvinabec
28/3/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonsoir Eric,
Votre vision , on y adhère, ce compagnonnage douillet, farfelu, infantile aussi et ça fait du bien d'imaginer ce gros doudou rose ou Ganesh. Le texte mérite approfondissement, on a envie d'en savoir plus sur cette dualité. A vous lire... |
Anonyme
29/3/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour ericboxfrog (pas facile à écrire lol)
Votre nouvelle pachydermique est très originale, très écolo et ornée de de petites irrévérences dispersées mine de rien comme j'aime... Je ne sais pas quoi dire de plus, ah si, la fin est très jolie ! Anna |
Anonyme
1/4/2022
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Modéré : Commentaire trop peu argumenté.
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Donaldo75
9/5/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour ericboxfrog,
J’ai beaucoup aimé cette nouvelle ; je la trouve poétique avec une forme presque contée comme dans une fable racontée par un baladin qui aurait une tête d’éléphant et serait porté par un homme. Je délire à peine, ce texte sentant un peu les sixties version anglaise quand John Lennon balançait des paroles cryptiques dans des chansons portées par une musique expérimentale sur bien des points mais réussie au final. Le côté naïf de ce texte lui permet de ne pas me prendre la tête et c’est bien parce qu’il y a déjà assez de matière dans notre monde pour se faire des nœuds au cerveau sans atteindre la profondeur de cette nouvelle. Alors, quoi, bon, hein, comme dirait la philosophe suisse N. Benattia. Bravo ! |