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Faolan
21/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Déroutant au début - cela me rappelle le film "Wanted" que j'ai vu hier et qui m'a laissé la même impression à son commencement - puis on s'y fait.
Ca part dans tous les sens et moi j'ai aimé. Les touches d'humour également (maman va fermer... :D) Quelques répétitions (voulues ?) qui alourdissent par moments la lecture. Merci. Edit : après relecture, je peaufine mon commentaire. J'ai préféré la deuxième moitié, voire le dernier quart de ce récit. Il est vrai qu'il y a du bon et du moins bon dans ce texte, mais il semble avoir été écrit avec sincérité, avec coeur. Je change ma note mais mon avis général reste le même, j'ai apprécié. Plus le fond que la forme néanmoins. La fin, toute mignonne fait oublier le début un peu chaotique. |
xuanvincent
21/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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A lire l'auteur, la naissance d'un enfant peut être une aventure palpitante, remplie d'émotions, de peur, etc.
On sent le narrateur touché au plus haut point par cet événement, présenté de manière inhabituelle (au départ, j'ai pensé à tout, sauf à un accouchement, donc la surprise, du point de vue du lecteur, m'a paru réussie). Pour les moins du texte, il y a peut-être trop d'émotion à mon goût dans ce texte, par moments, il m'a semblé perdre un peu de vue que le narrateur parle de l'accouchement de sa femme. PS : Il serait utile que d'autres lecteurs laissent leur commentaire, afin de tempérer, nuancer ces deux commentaires. |
Anonyme
27/5/2009
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Supprimé
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Anonyme
23/2/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Mouais...
J'ai eu l'impression d'une traduction de morceaux de chanson anglophones éparpillés dans un récit. C'est pas super structuré je trouve que ça manque de fluidité. de rythme. d'émotion. Comme Notrac je n'ai pas accroché à l'histoire pourtant prenante si bien racontée. Désolée. EDIT suite discussion avec auteur : je trouve que les mots éparpillés font comme une rengaine de chanson, que du coup certains passages semblent avoir été directement traduits d'une autre langue... je en voulais pas traiter l'auteur de plagiaire, ce que je ne crois pas. Je rajoute pour modérer mon com que j'ai trouvé ça et là de belles phrases celà dit..; Voilou |
jensairien
23/2/2009
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la dernière phrase est sympa "tout notre avenir est entre vos quatre petites mains" mais la nouvelle est assez poussive (sans mauvais jeu de mots), le style haché. Le seul truc c'est que c'est une expérience vécue, une expérience exceptionnelle, alors bien sûr, tout de suite, la nouvelle prend une dimension plus... universelle, et... respectable...
des phrases aussi qui veulent trop faire poétiques, et dont le seul résultat est de tomber à plat. "mais où vas-tu puiser tant de force à rendre jalouses les marées de l'équinoxe ?" si l'auteur parle de sa femme avec émotion, sensibilité, pourquoi ne va-t-il pas puiser ses images dans un registre plus personnel, intime et peut-être alors accessible à tous. Car je doute que sur le moment de l'accouchement, ou même jamais dans sa vie, l'auteur n'a pensé "mais ma femme à tant de force à rendre jalouse les marées de l'équinoxe"... |
Nongag
25/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Inégal mais plutôt touchant. Particulièrement l'accouchement qui relate bien l'intensité du moment. Mais les répétitions, même si elles sont voulues, alourdissent vraiment le texte car elles sont trop nombreuses.
"Et soudain, elle a jailli et s'est dressée dégoulinante... Les yeux grands ouverts, étonnée... Puis épuisée par les efforts surhumains qu'ensemble nous avons produits elle s'est écroulée sur ton ventre et s'est mise à hurler !" C'est le genre de passage que j'ai apprécié. La ponctuation est également bordélique. |
Menvussa
25/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai eu du mal, au début, à rentrer dans ce récit, tout chamboulé et puis, après, je ne pouvais plus le quitter.
Un récit qui laisse une sacrée impression. C'est vrai que les secondes peuvent alors paraître bien longues. Le deuxième paragraphe avec ses tambours, cloches et Gobi en dessert, ainsi que ces images de saint Fudji, ne m'ont pas emballé ça déstabilise un peu, trop c'est trop... c'est mon avis. idem pour la capsule de l'apocalypse... tout ça, ça ne sonne pas juste. Mais à partir de "Et soudain elle a jailli... là c'est top, c'est du vrai, du vécu et c'est bien. Nota : je suis peut-être un peu trop cool dans ma façon de noter mas le sujet étant à mon avis assez difficile à traiter, je persiste et signe. |
Anonyme
27/2/2009
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Je ne sais pas ce qui manque, ce qui a fait que je n'ai pas été vraiment portée par les mots.
Peut-être que c'est trop poétique, alors que le moment est plutôt... violent. Peut-être que c'est parce que ce n'est pas raconté sur l'instant, ce que je veux dire c'est que le texte tend à supposer que ces instants sont pris sur le vif, (alors que le recul y est puisque les enfants sont nés en 92...) or, dans l'instant, quand les douleurs commencent, tu ne peux pas savoir que c'est Marine qui va sortir la première et ce subtil décalage fait que... ça change un peu la perception du tout. (avis très personnel) Peut-être que c'est ce "décalage" qui fait que j'ai du mal à "sentir" l'émotion. De plus l'écriture est précipitée, on sent l'urgence, la peur, l'angoisse et justement encore ce décalage... je n'arrive pas à l'expliquer clairement, j'espère simplement me faire comprendre. Peut-être aussi (avis très, très personnel) que c'est parce que la mère n'est que ce ventre. Elle n'est plus femme, elle n'est plus amour, elle n'est que ce ventre qui souffre. Toutes les émotions apaprtiennent au père. Il manque l'équilibre, ce qu'elle éprouve, ce qu'elle pourrait hurler. Sa rage, sa colère, sa douleur. Ses yeux, ses mains qui se crispent. Bref, tout ça. "Attention c'est mon fils que vous m'arrachez au ventre de sa maman" et " tout notre monde tient dans vos quatre petites" dans ces deux phrases là, tout y est, oui, l'amour porté à la femme, le "notre" monde dit clairement les choses, mais il n'empêche que ce qui me dérange le plus, en lisant la nouvelle, c'est cette femme qui souffre dont je ne perçois ni la peur, ni l'angoisse, ni la rage. Avis extrêmement personnel, difficile de toucher au vécu, à l'intime. Mais bon, si l'auteur a éprouvé le besoin d'écrire ce texte et de le poster ici, c'est qu'il en attend un retour. |
Anonyme
20/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ha je reconnais bien là l'art de sieur leopold de jouer avec les mots, les double sens, les contre-sens, les références... pour partager bien plus qu'une tranche de vie...
Il était temps que je passe par ici pour profiter de tes autres écrits mon ami ;) |
marogne
16/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Encore un texte si personnel que le commentaire est impossible….
Mais bon. D’abord j’ai globalement bien aimé, la tension ne se relâche pas, le rythme non plus. C’est fidèle, et je me suis revu trois fois dans la même situation, même si à chaque fois, pour les miens, il aurait fallu multiplier par deux les poids…. Ce que je n’ai pas aimé, ce sont les petites excursions dans l’humour, elles détonnent, poussent à une distanciation qui ne colle pas du tout, pour moi, avec le texte : désert de Gobi, fuji-yama, ….. Ce que je n’ai pas trop apprécié c’est le déséquilibre entre le garçon et la fille, déséquilibre que l’on peut résumer dans le « notre fille », « mon fils »…. Dommage (et même si les circonstances font que cela a été plus difficile pour le second…). |
Anonyme
11/12/2009
a aimé ce texte
Bien
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Un rude combat contre la nuit, vieux comme le monde, profondément humain ...
J'ai bien aimé ce récit tourmenté, torturé, ces impressions et sensations décousues, à fleur de peau ... Pour moi l'émotion est passée, et je retiens quelques beaux passages comme "J'ai envie de te crier que je t'aime mais les seuls mots que je parviens à articuler sont : "21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29... " ; "Je vais hurler au silence de la fermer" ; "mais qu'est-ce qu'elle fout la cavalerie ? Est-ce qu'au moins on l'a appelée ?" ; et la fin : "Trois mots et une averse ! Dans nos yeux, un peu de ce brouillard comme lorsque les anciens trains quittaient les gares. Simplement, un reste de nostalgie éparse, simplement, un zeste de nostalgie qui passe, car maintenant tout notre monde tient dans vos quatre petites mains..." Deux bémols néanmoins : le mélange de "tu" et de "elle" concernant Katty, et le passage brutal au passé simple après le présent ; les deux ont légèrement perturbé ma lecture. |
Anonyme
27/7/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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'tain, vlà un sacré texte sur la naissance de mômes. J'viens juste de le découvrir. J'étais plus venu depuis plusieurs lunes. C'est vachement speedé et participatif, j'ai adoré le mec qui perd presque les pédales parce que vraiment à un moment çà passe ou çà casse.
Putain , je me répète mais moi perso, j'aimerais vachement que mon vieux ai ressenti un truc aussi fort qu'en j'ai émergé de ma pauvre mère. super |
Bidis
27/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Tout d’abord, je n’ai pas compris après la naissance du premier bébé qu’un second suivait. C’est le texte qui m’a convaincue de continuer ma lecture sans reprendre depuis le début. Car il y passe un souffle qui m’a emportée.
Et puis, j’ai vu le père, le père et encore le père. Des souffrances du papa, ça, on saura tout. De ses lèvres sèches, son désir d’une cigarette, ses angoisses existentielles et son long hurlement intérieur… Mais la maman, ousque ? Je cherche. Enfin, les mamans, c’est bien connu, elles n’ont que le souvenir du miracle, le reste, bof ! Puisqu’elles ont la force d’un Fujiyama, pas la peine de s’appesantir... Mais, pauvre, pauvre père ! J’ai compati. Niveau écriture, j’ai trouvé ça très bon. De toute façon, quel que soit le point de vue, je serais bien incapable d’écrire quoi que ce soit à propos d’un accouchement. Donc, j’admire. |
hersen
4/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Voici un texte qui m'a vraiment beaucoup plu.
Le point de vue du Papa, enfin, surtout ses angoisses, sa perte de contrôle ( enfin, surtout du comptage ) et Maman qui pousse et qu'elle est bien obligée de pousser toute seule, Maman. Alors Papa fait tout ce qu'il peut : il parle à celui qui va naître, au ventre de sa femme, à sa femme, à la cavalerie qui n'arrive pas...Mais il s'accroche, Papa, il a une présence toute brouillonne, mais une sacrée présence ! Ce n'est pas souvent que l'on parle de l'accouchement sous cet angle. " Je vais hurler au silence de la fermer. " Faut-il être dans un drôle d'état pour inventer une phrase d'une telle force. J'ai adoré. |
in-flight
27/1/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Le point fort de cette nouvelle se situe dans le rythme, comme sur l'album du groupe en question.
Cela dit, j'ai été un peu gêné par deux choses: - La distance que met le narrateur face à la scène qu'il est en train de vivre: le fait de commenter en live la naissance de ses jumeaux me parait un peu saugrenu. - Le lecteur doit faire un lieu entre l'évènement et l'album en question et je ne vois pas où il doit être fait. Un moment de lecture un peu confus pour moi même si j'apprécie la référence musicale. |