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Vilmon
29/8/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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On devine facilement que le soutien-gorge disparu fera des siennes. Néanmoins, j’ai tout de même apprécié ma lecture. Il y a quelques passages que j’ai trouvé superflus, mais le récit avance bien. L’interprétation des kloportes surprend, peut-être les humains sont-ils aussi répugnants pour eux qu’ils le sont eux-mêmes pour les humains. Un récit plutôt simple, mais rafraîchissant.
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Cox
6/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour!
Dans l'ensemble, j'ai plutôt apprécié ma lecture. Le texte est bien écrit, la construction est simple et claire, les personnages et l'univers sont cohérents. Ça donne une narration de qualité avec un cadre complet qui offre une certaine consistance au tout. Dommage, le thème central me convainc moins, qui ressemble à une blague potache à laquelle on veut donner des dimensions diplomatiques assez improbables en l'état. On peut bien sûr se reposer sur les différences culturelles pour expliquer l'étrange réponse des Kloportes face à un soutif. Pour un humain, ce serait un peu une réaction de collégien rigolard, mais pour un alien, qui sait? À vrai dire, l'idée d'une grande organisation diplomatique sérieuse qui dérape complétement à cause d'un petit détail trivial tout nul me plaît bien. Mais je l'aurais plus appréciée avec un choix de MacGuffin différent. Prendre un soutif clandestin comme grain de sable dans l'engrenage donne au tout des allures de plaisanterie un peu pesante. L'idée est là cependant, c'est surtout une affaire de choix subjectif. Du point de vue de la mise en place, on pourra regretter que l'intrigue soit un peu trop transparente. Lilou et Simon devraient saisir plus rapidement la nature du deuxième présent parce que le lecteur le comprend assez tôt, sûrement en partie à cause de l'obession de la narration pour les seins de Lilou (ils participent à l'impressiond de lourdeur, d'ailleurs, ces bulletins d'information réguliers sur la queue qui bande et les seins qui grattent). Comme souvent, je n'aime pas avoir une longueur d'avance sur le texte ou sur les personnages qui m'apparaissent de fait un peu lents. Dans l'ensemble l'écriture coule de source et se suit agréablement. Je regrette la dimension sexualisée qui me paraît plutôt donner au texte un côté immature, mais c'est le choix de l'auteur et il pourra plaire à d'autres. L'idée de tous ces petits grands hommes qui perdent leur composition devant un détail ridicule donne à voir un effet papillon réjouissant. Une lecture agréable au final! |
Robot
16/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Ce récit aurait mérité de figurer dans la catégorie humour.
J'ai passé un bon moment sans avoir à me creuser la tête. La nouvelle nous raconte une histoire gentiment olé-olé. La science fiction humoristique est assez rare. Les extras terrestres amènent une note exotique. Un moment divertissant, appuyé sur un texte dont l'écriture est aboutie. |
Mokhtar
23/9/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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commentaire supprimé par son auteur
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Dameer
17/9/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Hello Malitorne,
Même plaisir jubilatoire à lire ce récit que lorsqu’en visionnant le film Mars Attacks. Point commun : la rencontre de deux mondes étrangers qui ont du mal à se comprendre. Autre point commun : l’aspect jubilatoire, décomplexé, iconoclaste, avec des blagues "potaches" comme on n’ose plus en faire. Pourtant, il y a tout une galerie de portraits (les différents conseillers, ambassadeurs, etc..) d’une grande justesse et même finesse dans la satire. Les Kloportes portent bien leur nom car repoussants à souhait, mais possèdent malgré tout un trait humain : ils aiment baiser ! Pas mal de références au cinéma avec Jabba (Star Wars), Kloportes (Klingons de Star Trek), Lilou (Leeloo du cinquième élément) et sans doute d’autres, mais je ne suis pas spécialiste. Je recommande la lecture de cet « Astéroïde » pour vous dérider en ces temps moroses ! |
Cleamolettre
23/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour,
Un texte sympathique qui amène le sourire un peu tout le long, bourré de références, de clins d'oeil et de blagues plus ou moins fines, mais je n'ai rien contre. L'univers est bien dépeint et les personnages aussi, en peu de phrases en plus. La chute est à la fois prévisible (le soutif) et surprenante (l'envoi des femelles Kloportes). Pour chipoter un peu, même si j'ai pris plaisir à tout lire d'une traite : - je regrette que la seule femme soit un peu bêbête (bien que non Kloporte) du genre soumise et subissant, et avec des dialogues ne frôlant pas vraiment le prix Nobel. - je trouve le passage sur la recherche du second présent trop long, à partir du moment où le lecteur comprend, ça pourrait aller plus vite, d'autant que Simon et Lilou ont déjà compris normalement, donc ça traine un peu la demande de voir le présent, etc. Et je me pose quelques questions de crédibilité (oui, oui) : - le fait que le Cobalt soit envoyé avant même l'accord scellé sur l'uranium en retour arrange bien l'auteur, c'est sûr, mais me parait étrange, normalement, on scelle l'accord d'abord et on échange ensuite, peut-être qu'il suffirait juste d'une petite phrase justificative - ok, il ne faut pas froisser les Kloportes, mais est-ce ça empêche vraiment de leur expliquer l'erreur ? Ou de parlementer : genre on n'a pas 50 femelles à vous envoyer en retour, un échange d'une seule suffira, au hasard Lilou, en guise de représailles. Ou encore de mentir : par exemple le soutif est pour nous non pas un sous-entendu sensuel mais la preuve de notre art de la mode, un échantillon pour savoir si vos femelles voudraient un lot, à 6 bonnets bien sûr ! Bref, de petits perfectionnements me semblent possibles mais merci pour le sourire et la lecture. |
Provencao
18/6/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Malitorne,
Je le découvre à l'instant.... "— Damnée pilule, ragea-t-il en appuyant une main pour réprimer la poussée. Et toi Lilou, ça va ? Elle répondit, désappointée. — Pff, j’ai la culotte trempée, mais c’est surtout mon soutien-gorge qui m’ennuie. — Tu vas pas recommencer ! Je t’en rachèterai un, dix s’il le faut Les portes coulissantes s’ouvrirent en chuintant, libérèrent les occupants qui parcoururent à pas pressés des enfilades de couloirs. En face d’une porte imposante surmontée de l’inscription « Relations Inter Galactiques – Centre de Commandement », Simon réajusta son col, disciplina sa mèche rebelle et jeta un œil soulagé vers le bas. Le stress avait fini par l’emporter pour ramener sa virilité à des proportions convenables. Il prit une grande inspiration, passa sa carte magnétique et rentra suivi de Lilou." Un plaisir de lecture, ou petits rires étouffés, plaisanterie et humour tapissent joyeusement ce passage. Au plaisir de vous lire , Cordialement |