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papipoete
28/10/2020
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour Arsinor
je sais que le poète n'a pas forcément l'obligation d'expliquer le sens de son texte mais...s'il parait ce jour, c'est qu'une majorité de lecteurs en a saisi la substance. je dirais : je suis allé ce matin de printemps, au bois cueillir un bouquet de ces fleurs que tu aimes tant, et les cloches tintinnabulant me montrèrent le chemin " de leurs brefs éclats " NB étant le premier commentateur ce matin de votre récit, vous voudrez bien me pardonner... si de votre dessein je me suis complétement égaré ? Vous sachant grand mélomane, je pourrais penser que la musique du printemps guida vos pas ; mais ce concert me trouble quelque peu ! |
Myo
28/10/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Désolée, ce tintamarre me laisse sourde...
Ce n'est pas faute d'avoir besoin de printemps mais celui-ci manque cruellement d'éclat. À moins qu'il y ait un sens caché que je n'ai pas saisi. Une autre fois peut-être. |
LenineBosquet
28/10/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour, un tintamarre de printemps en contre-pied presque exacte à une "Chanson d'automne" si célèbre... J'aime l'exercice en soi, et le trouve réussi !
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Lebarde
28/10/2020
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Peut être n’est-ce pas la saison pour sonner des trompinettes (plaisant néologisme?) et annoncer le printemps?
En tous cas ce poème abscons ne me fait pas oublier la morosité ambiante et le mauvais temps du moment. J’ai bien perçu un ton guilleret et enjoué ainsi qu’une présentation graphique pleine de recherche et d’originalité qui pourraient plaire mais je reste pourtant sur ma faim, n’ayant pas trouvé un fil de réflexion motivant. J’attends le printemps pour m’enthousiasmer avec l’un ou l’autre de vos textes. Pourquoi pas? Ed: la pale imitation d’un original magnifique que je n’avais pas voulu rechercher est en effet consternante! Lebarde |
Davide
28/10/2020
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Bonjour Arsinor,
Les sanglots longs Des violons De l’automne Blessent mon cœur D’une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l’heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure Et je m’en vais Au vent mauvais Qui m’emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. Avouez que le "Chanson d'automne" de Verlaine a de la gueule ! A côté d'elle, ce "Tintamarre de printemps" parodique ne me plaît pas, mais vraiment pas ! En fait, ce genre de "jeux", ceux-là même consistant à prendre le contre-pied du poème original, vers après vers, devrait dépasser l'exercice de style enfantin ! En ridiculisant ce que le poème-source a de majesté - à grands coups de "trompinettes" - c'est le pastiche lui-même qui s'auto-ridiculise : il y manque un regard, une direction, une consistance qui lui est propre... J'ai beaucoup d'humour, heureusement, mais celui-ci s'arrête au jeu de mots de l'exergue : "Rougecuir"/"Verlaine", c'est juste pas possible ! ;) |
Provencao
28/10/2020
a aimé ce texte
Pas
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J'avoue que dans ce tintamarre avec les trompinettes du printemps s'amusent en empreinte la décision de l'écriture et l'hébergement de la délicatesse qu'elle autorise.
Et ce tintamarre de printemps, ne fait nullement écho en moi. J'en suis désolée. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Pouet
29/10/2020
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Slt,
Verlaine vs Vian (la trompinette)?... C'est assez rigolo comme "exercice", sans doute que l'auteur s'y amuse bien. J'aime bien la première strophe, après je m'y perds un peu et je ne suis pas spécialement convaincu par "l'écho poétique" des deux dernières strophes par rapport au texte "original" qui par ailleurs ne me transcende pas non plus. |
Lariviere
6/11/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
Je trouve que ce poème plutôt bon dans les intentions a le défaut de vouloir trop dire en peu de mots. Je parle surtout pour la strophe et le vers final... il y a une volonté de faire échec et mat, un peu maladroite. J'ai aimé la parodie verlaine/vian de la première strophe, assez inattendue... Bonne continuation |