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Corto
1/4/2019
a aimé ce texte
Bien
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Belle inspiration que "Liberté".
Mais tant qu'à s'approcher de ce poème qui fit vibrer tant de monde, pourquoi ne pas en garder la structure ? Notamment ces quatrains commençant tous par "Sur". D'autant qu'on voit ici que l'auteur avait toute la matière et l'inspiration voulues. Donc un peu plus de travail aurait pu enthousiasmer. Merci pour cette démarche. |
papipoete
2/4/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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néo-classique
un poème que des tercets filent au milieu de la " charogne ", évoquant ainsi notre grand poète ! Comme il le disait, bien que nous fûmes " semblables à cette ordure ", l'auteur pose un nom sur chaque pourriture, élégamment et cette famille de tercets fait à chaque couplet un bel effet ! NB les 2 ultimes strophes ont ma préférence, mais toute autre n'a pas à blêmir ! Il est très rare de lire un texte en heptasyllabes, et je vois ici ce travail à la perfection ! papipoète |
Anje
24/4/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une terza rima en heptasyllabes qui écrit son nom à l'encre de lumière. Dommage que Sorgel ait trouvé dans le bois précieux de ce poème quelque ver indésirable.
Bravo ! |
Davide
24/4/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Hiraeth,
Etrange d'avoir choisi cette forme ternaire (terza rima) dans un poème où les vers fonctionnent par paires. Aussi, pour coller à l'original, j'ai presque regretté que l'auteur n'ait pas choisi des quatrains, avec ce dernier vers, toujours le même, en conclusion de chaque strophe, de même que cette anaphore en début. Presque regretté, ai-je écrit, car les poètes ne copient pas, ils renouvellent, ils s'inspirent. Au final, un bel hommage est rendu ! En revanche, le titre - un peu froid - n'est pas très "racoleur". La noirceur du poème est diluée dans la douce langueur de ces heptasyllabes délicieusement musicaux et un vocabulaire qui flirte avec le romantisme. C'est délicat. Quel est donc ce "nom de lumière" que le narrateur inscrit ? Celui de la paix, de l'amour, d'un être cher... ? Je ressens comme un petit passage à vide au deux-tiers du poème, où il est question de salamandres, d'une chienne et d'un jeune chêne. Mais l'ensemble est très agréable, bien mené, décoré de belles images, dont ma préférée : "Sur la tombe d’Alexandre, Vierge de tout mot d’amour" Un moment de lecture savoureux, Merci ! Davide |
senglar
24/4/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Hiraeth,
Le poète initial devait terminer son poème par le "Nom" de la femme aimée, il ne l'a pas fait. Vous deviez terminer le vôtre par le "Nom" qu'a utilisé le poète initial pour terminer le sien, vous ne l'avez pas fait. Jolie pirouette, joli tour que vous nous jouez là. Moi ce que je retiens ou plutôt ne retiens pas c'est que dans un cas comme dans l'autre il manque désespérément un nom de femme là et ici. Auriez-vous donc eu peur l'un comme l'autre que l'on la vous volât, votre muse ? lon lère lon la... Est-elle bergère ou bien fille de roi ? Pour la première je sais mais pour la seconde, Monsieur le parodique qui ramenez votre vie et votre siècle débutant à celui d'une apocalypse, je ne sais pas... Comment ça ? Tout va sauter !!! AUX ABRIS... lol Senglar |
Cristale
24/4/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Tierces rimes où les vers coulent comme d'un tableau aussi romantique que machiavélique. Je les vois déborder du cadre et envahir l'espace sans que nul ne puisse les retenir et puis, en bas, à droite de la toile, l'artiste trace d'un seul coup de plume quelques minuscules caractères et nous dit : "J’inscris un nom de lumière."
Inscrivez ce que vous voulez et ce que vous souhaitez mais surtout écrivez tant que vous le pouvez de ces poèmes semblant surgir du fond de vos entrailles (si je puis me permettre cette remarque...) La versification régulière semble peu vous importer, tant pis pour moi, je prends le présent tel que vous nous l'offrez. Cristale |
Anonyme
24/4/2019
a aimé ce texte
Bien
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L'idée est assez bien reprise avec la répétition de la préposition.
A l'anaphore << j'écris ton nom >>, vous avez préféré un seul vers (final) qui peut être attribué à chaque partie du texte ; c'est intéressant. Toutefois, j'ai trouvé que ce choix de la forme - enjambement quasi permanent du troisième vers au tercet suivant - nuit à la fluidité et la musicalité de cette poésie. C'est mon avis, bien sûr. |