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Dimou
17/2/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour
Un genre d'allégorie ou je ne sais quoi. Les rats sont-ils à comparer aux hommes ? La race change les méthodes restent c'est ça ? Mon Dieu que c'est pessimiste Oniris ces derniers temps, ou peut-être est-ce moi, qui, ayant enfin accès à l'EL, mange le menu par le trognon ? Je suis pas pour autant un rat !! Ce texte est bien écrit, beaucoup d'enjambements ( cé kom ça kon di ?? ) qui font patchwork par contre. Pfffiouuu, je vais boire une tisane moi ça va me faire du bien ! Il me plaît ce texte. Merci du partage Dimou en EL |
BlaseSaintLuc
20/2/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Pour le moins allégorique et inégal, car toute dénonciation s'avère toujours imparfaite, aucune règle ne permettant de mesurer les complexités de l'âme humaine.
Les foules incrédules, ignorantes, peureuses, sont promptes à hisser au pouvoir des hommes (et aussi des femmes !) fanatiques avides, il paraît que l'on a que ce que l'on mérite ! |
Lebarde
26/2/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Une fable métaphorique un peu pesante:
Les rats, les "sans-dent", "Tout au fond des égouts depuis bien trop longtemps," prennent conscience de la puissance que leur confère leur nombre toujours croissant et sous le discours de leur roi "au corps obèse", "Ils déferlent. Devant eux tout casse et tout cède, Leur nuée est immense et submerge l’ancien Monde qui se croyait si moderne et si bien Protégé qu’il n’a pas vu surgir la menace Fatale. " Le message est clair même si je ne cautionne pas certains sous-entendus politiques; l'auteur(e) a voulu s'exprimer sur le sujet, il (elle) l'a fait mais pas avec la subtilité et les nuances que j'aurais souhaitées. La prosodie est respectée mais avec sa présentation très (trop) dense et surtout le très grand nombre de rejets qui rendent l'écriture maladroite et lourde, ce poème manque de fluidité et est difficile à lire. Mon ressenti , tant sur le fond que sur la forme est réservé. |
papipoete
6/3/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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bonjour Laurent-Paul
une remarque sur la présentation ( non proposée en quatrains ) qui gêne la lecture, surtout quand celle-ci vint à baisser ! Les rats du fond de leurs galeries, fomentèrent une révolution, et après leur Union envahirent le monde du Dessus et inversant la logique de l'esclavage, eurent l'homme à leurs bottes. NB l'idée est bonne, et l'exemple de l'Union fait la force, est ici fort bien argumentée, pouvant donner des idées à qui nous gouverne ! l'image du rat est quelque peu galvaudée, bête sale et guère maligne, alors que cet animal qui se nourrit de nos restes, est extrêmement intelligent, et fort sociable peut même être fidèle animal de Compagnie ! Bien sûr que nous rêvons tout au long de vos vers, mais voyant en Occident prêcher un Diable blond, fustiger tout ce qui n'est pas OK , on se demande si un RAT d'égout à sa place ne fut pas meilleur Guide Suprême et empli d'une certaine mansuétude ? j'ai du mal à commenter votre poème, du fait de sa présentation qui me nuit beaucoup ! nombre d'enjambements aussi, rendent mon assimilation compliquée ! " nous serons les vainqueurs, ils seront nos esclaves " met tout le monde dans le même sac, et cette remarque me gêne. la seconde partie me fait sourire ( si tous les hommes se tenaient par la main... ) |
Stuart
6/3/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Bonjour.
Une fable à la thématique Orwellienne où le cochons sont remplacés par les "surmulots". La démarche est intéressante, mais la lecture m'a paru difficile, en raison des rejets ou de enjambements multiples. Une forme un peu plus aérée, jointe à un vocabulaire évoquant davantage notre bon La Fontaine, eût peut-être été plus appropriée, pour mieux traduire l'esprit de votre texte. Une jolie tentative, à poursuivre et à travailler. |
Provencao
6/3/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Bonjour,
J'ai lu en vos vers, une menace fatale envisagée ici comme une force vitale possèdant des puissances dévastatrices inimaginables . Les rats, par leur aspect métaphorique, permettent à cette caste d’en négocier des règles favorisant les mots les plus beaux Une rébellion ainsi déposée, et par là même contenue, peut-elle être reconnue, approchée et apprivoisée? Au plaisir de vous lire Cordialement |
jfmoods
6/3/2025
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En termes de plan, le texte est clairement structuré.
I) Présentation du contexte (vers 1-2) II) Un discours galvanisant (vers 3 à 18) III) L'irrémédiable déferlement (vers 19 à 32) En termes de rythme, on appréciera la volonté affichée du fabuliste d'éviter la monotonie : rejets, contre-rejet, enjambements (certains en enfilade), formes exclamatives... La cadence est là et elle est bien assurée. En termes de style, l'écho des vers 1 et 29 est plaisant : façon de marquer le passage d'une consécration première à la consécration suprême. En termes de vocabulaire, j'ai aimé l'écho comique immédiat qui se fait dans la tête du lecteur au vers 2 ("sujets songeurs rongés/sujets rongeurs rongés"). On est un peu surpris, à la chute, par le mot "surface" ... même si on comprend, après coup, que la surface en question est celle de la Terre. En termes d'intention du fabuliste, le lecteur hésite... On sait que les rats peuvent être vecteurs de la peste. La peste brune ? Quelques éléments du poème sont symptomatiques d'une volonté de puissance et d'asservissement ("vainqueurs", "esclaves", "nous les laisserons croupir dans des enclaves", "vaincus"), d'une volonté farouche de s'accaparer par la force brute les possessions et les statuts électifs ("la richesse et l'abondance attendent/Notre conquête", "une reine ravie"). Est-ce de la bête immonde dont on nous parle ici ? Celle qui se camoufle dans les replis de notre nature, prête à se réveiller à l'appel de n'importe quel illuminé à la voix forte et au discours de haine ? La thématique de la noirceur, assez notable dans le poème ("Tout au fond des égouts" x 2, "les ombres s'étendent", "au fond/De cette obscurité", "la nuit", "sombre et profond"), appuie là où ça fait mal. Sur les gouffres dont nous sommes constitués, sur cette barbarie tapie au fond de l'âme humaine et toujours à l'affût. Merci pour ce partage ! |