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Louison
25/10/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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Le Cheval de Przewalski mis à l'honneur dans cette jolie chanson douce.
Quel régal! Un berger éteint la Grande Ourse Il se rafraichit à la source Puis il appelle son griffon Qui va regrouper ses moutons Comme c'est beau! |
Hananke
6/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
On dirait une ballade qui nous vient du Far West, du genre de celles qui accompagnaient les vieux films des années 60 sur le sujet. J'aime bien cette lune peignant les rochers et ce berger qui éteint la Grande Ourse. Peut-être qu'un refrain en paroles auraient plus d'impact sur la mélodie ? |
bipol
6/11/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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bonsoir à vous deux
franchement on si croirait en Camargue bien sûr avec un bon texte de l'ami leni qui nous emmène dans des images de la contrée, il est autant belge que Yves est du sud il ne manquait que le pastis bravo à vous deux |
papipoete
6/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour leni et PIZZICATO,
Je ne sais pas d'où est originaire le chanteur, le parolier si ! du côté de Charleroi bien loin du Causse Méjan et pourtant ; on croirait que Cappuccino galope dans le pré du poète ! NB sur une musique western, les chevaux fiévreux " quittent la fresque où ils trottent ", et " les renards s'étonnent de voir passer un cheval et un cavalier " . La fresque s'anime comme les images d'un kaleidoscope, et on remonte loin, si loin dans le temps ! Leni nous embarque encore avec bonheur sur les chemins de son imagination et PIZZI nous enchante lorsqu'il chante ... |
Anonyme
6/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Salut les artistes associés ! Une fois n'est pas coutume mais je ne suis pas vraiment séduit par votre prestation sur le causse, que ça soit niveau texte ou interprétation. Toutefois j'ai appris la présence de ces chevaux d'un autre temps dans les Cévennes et je vous en remercie.
A la prochaine pour une autre aventure ! |
troupi
7/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Salut Gaston et Yves.
Je reviens sur cette chanson qui hier ne m'avait pas convaincue sans que j'en comprenne le pourquoi. Je viens de relire le texte seul et j'y trouve de très belles images comme toujours avec toi Léni. "Le chemin de chante sittelle" "La lune qui peint les rochers" "Un berger éteint la Grande Ourse Il se rafraîchit à la source Puis il appelle son griffon Qui va regrouper ses moutons" et ce final que je trouve tellement romantique et caractéristique des grands causses de Lozère où j'ai souvent marché. Bon je ne suis pas tellement plus avancé mais je crois que je préfère le texte seul plutôt que la chanson. Désolé pour ton travail Yves mais on ne peut pas faire que des grandes réussites encore que cet avis ne soit que le mien. Bonne journée les amis et à une prochaine fois. |
fried
7/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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il y a dans ce poème un mélange de ballade médiévale et de modernité, j'ai aimé : le "Paris Ouagadougou", cette impression de liberté et de campagne accueillante, l'image de ces chevaux qui quittent la fresque, le berger qui éteint la grande Ourse.
Bravo |
Robot
7/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Pour être franc, j'aimerais parfois ne pas vous reconnaître d'emblée, être étonné.
J'ai pris de l'intérêt au thème et à la mélodie sans avoir vraiment été surpris par l'ensemble, dans la droite ligne de ce que vous savez faire bien tous les deux. |
Anonyme
7/11/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Au départ un peu mitigé, j'ai pris le temps d'apprivoiser
l'ensemble, l'un n'allant pas sans l'autre. Au final, je me suis laissé guider, peu à peu l'atmosphère s'est installée, me dépaysant agréablement. J'ai découvert une sensibilité qui m'a touché, par le fait qu'elle me donne accès à un autre univers, plus intense, à la fois fragile et fort. Le ressenti se fait alors à fleur de peau. Il va chercher l'abandon de l'instant pour découvrir un ailleurs. Je retiendrai la deuxième strophe : " Le cavalier met pied à terre Cappuccino est étonné Tant de chevaux en liberté Qui semblent venir de naguère Qui semblent sortir d’une grotte En quittant la fresque où ils trottent La lune qui peint les rochers A choisi la couleur acier " Très révélatrice, de l'ambiance créée, sa présence persiste même après écoute. Très belle composition, bravo à vous. |
Curwwod
10/11/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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Quelle tendresse, quelle fantaisie dans cette ballade où se mêlent avec bonheur tant d'éléments d'une nature harmonieuse habitées de créatures "magiques" : le petit cheval (de Paul Fort ou de Lascaux ?) et la Grande Ourse (d'Ovide ?) et le renard affectueux (de Saint Ex ?) et le chien de berger au nom fleurant le fantastique.
Il y a là beaucoup de joliesse, de magie, d'enchantement et une bien belle écriture pleine de belles trouvailles poétiques et de références littéraires. "La nuit fut calme et les renards Se sont tous étonnés de voir Un cheval et un cavalier Parmi des rochers gris acier Un berger éteint la Grande Ourse Il se rafraîchit à la source Puis il appelle son griffon Qui va regrouper ses moutons" Quelle paix, quelle harmonie bucolique, quel amour du beau dans ces vers. Je n'ai pas pu écouter la version chantée qui ne manque certainement pas d'être pleine de charme, malheureusement. Un grand bravo à toi mon ami. PS : j'ai pensé à la belle histoire de "Crin Blanc" en te lisant dans ce paysage à la Daudet. |
Queribus
10/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
De la poésie venue droit du Far-West ou d'une soirée scout, enfin des choses simples et saines comme on en trouve plus guère et qui font du bien; ça me rappelle Hugues Aufray, Bob Dylan première manière et ma jeunesse. Sur l'écriture, là aussi de la simplicité, des mots qu'on comprend à la première lecture avec une jolie voix pour relever le tout; quand on sait qui a écrit et qui interprète cette jolie bal(l)ade, ça n'a rien d’étonnant. Encore si vous en avez d'autres de ce tonneau. Cordialement. |
Louis
10/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une rêverie, un « matin clair », devant son café. Le cappuccino de la tasse se métamorphose en un cheval parti sur les chemins, et « la route est belle ». Le buveur de café, cavalier merveilleux, enfourche le cheval ; au matin, il chevauche encore la nuit noir-café, ses fantômes et ses chimères, et déjà le jour blanc-crème.
La randonnée nocturne se présente comme une odyssée de l’espace et du temps. Le cavalier sur sa monture rejoint un lieu étrange où convergent dimensions spatiales et temporelles. En ce lieu se réunissent le plus ancien et le plus nouveau, le passé et le futur, les chevaux de la préhistoire, « Tant de chevaux en liberté / Qui semblent venir de naguère » et les chevaux mécaniques les plus futuristes, « Cavalier s’est mis sur orbite / Il voit passer des satellites ». En ce lieu se joignent le ciel, « La grande Ours » et la terre aux rochers « couleur acier ». Le cavalier dans la nuit fait office de médiateur, celui qui conjoint les espaces lointains, les lointaines contrées, les âges du temps, passé et futur. Sa monture déjà, Cappuccino, unit en elle le jour et la nuit. À ce lieu étrange, où tout converge, est associée une source, « Ils s’arrêtent près de la source ». La source est symbole d’origine. Ce point des convergences semble aussi celui des origines de toute chose. Un foyer. Foyer du temps et de l’espace, foyer où tout peut se fondre et où tout peut renaître. Ce point focal a pour nom : « chaos des rochers de Nîmes ». Le cavalier s’avance dans la nuit vers ce chaos d’où naissent, non seulement les formes étranges des rochers, mais aussi, ordonnés, l’espace et le temps et toutes substances, et toutes formes. Le cavalier s’avance vers ce point chaotique au fond de la nuit, d’où il pourra renaître au jour dans une nouvelle jeunesse. Il aspire à une liberté, que caractérisent les « chevaux sauvages », à une liberté contre le temps irréversible et les espaces infranchissables. Le voyage onirique n’oublie pas l’être aimé : « Et puis et puis il pense à vous A ce que vous auriez pu faire Cette nuit jusqu’à matin clair » Le retour aux sources, la quête d’une régénération ne pouvent se faire dans la solitude, il y faut l’amour : « Au chaos de Nîmes le vieux / Nous y reviendrons tous les deux ». Merci Leni pour cette nuit enchantée. Bravo Pizzicato pour le chant, et la musique qui évoque avec douceur la chevauchée nocturne onirique. |