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papipoete
28/1/2022
a aimé ce texte
Bien
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contemporain
Je garde espoir, et je t'attends : oh, je ne suis pas seul avec mon ennui, l'envie et la jalousie ! mais comme je voudrais que tu viennes enfin, avant que l'hiver glacial me prenne pour toujours ! NB la tristesse de la solitude qui rend amer, au point de jalouser ce voisin... qui chante du matin jusqu'au soir, et parait le bourdon de l'église à chaque nouvel air ! La présentation ne me séduit pas ; le texte aurait gagné à couler des vers d'une mélancolique prose, à mon humble avis ! L'image des " maîtresses " fidèles me plaît particulièrement ! papipoète |
Donaldo75
1/2/2022
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Il y a dans ce poème du souffle, avec beaucoup – peut-être trop – d’images et de références qui l’enrichissent à l’extrême ; cependant, je le trouve trop long et il me donne l’impression de souvent délayer ou de redire la même chose de manière différente, ce qui atténue la poésie par le volume à lire et à enregistrer. Je ne dis pas qu’il soit nécessaire d’être sobre en poésie mais dans le cas présent ce ne serait pas du luxe. Et le découpage étire ce poème dans la dimension verticale, ce qui le rend encore plus long. Peut-être qu’un découpage plus horizontal comme c’est souvent le cas en poésie en prose le rendrait plus percutant.
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Cyrill
1/2/2022
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Quelques trop rares passages émergent de ce poème aux accents désabusés d’une attente sans fin. Dans son ensemble il m’a paru un peu fade vu son étirement en longueur, ce qui ne joue pas en faveur du drame ni de la folie consécutive pourtant évoqués.
« C’est janvier et la grisaille au col relevé » « cendres céleste pour un cerveau embrumé de vapeurs » … Voilà par exemple des vers que j’ai aimé lire, avec cette ambiance que je n’ai pas ressenti aussi bien ailleurs dans ce texte. |
Corto
9/2/2022
a aimé ce texte
Un peu
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Le titre de ce poème "Attente" suggère un sentiment plein, envahissant, impatient.
Aussi ai-je été dérouté par ce long texte un peu bavard qui au fur et à mesure que l'on avance ne se renforce pas dans une tension, mais semble attraper au vol des souvenirs, un vécu. On sent qu'il existe des événements aboutis comme "Du philosophe au poète mon choix est vite fait", ce qui est une richesse ponctuelle. Par contre la "lagune rougeoyante au soleil couchant comme des brassées de giroflées" m'a laissé de marbre. Même la strophe finale me parait trop fade. Au total j'ai ressenti un discours trop dispersé, où l'attente n'est pas rendue au niveau qu'elle mérite, comme ce passage qui ne convainc guère: "chaque cigarette presque entièrement consumée j’en rallume une autre". Une autre fois ? |
Provencao
10/2/2022
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Bonjour LeopoldPartisan
Votre idée du temps qui ne passe pas me plait beaucoup, j'aurais aimé lire un épitaphe inconscient presque invisible avec des états d'affects que je n'ai pas retrouvés... La longueur de votre écrit masque à mon sens ses évocations confondues indécises qui froleraient le monde hallucinatoire.. Au plaisir de vous lire Cordialement |