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Anonyme
16/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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On ne s'ennuie pas une seconde, il y a du rythme, le tout est cohérent et forme un bel assemblage, très agréable à lire.
Malgré évidemment la tragédie, c'est sobre, vous n'en rajoutez pas, et par ce fait, cela amplifie je trouve, la gravité de l'événement, en ne tombant pas dans le pathos. Et bravo pour votre empathie, c'était comme si vous y étiez, et qu'en quelque sorte, vous témoigniez ce moment terrible en passant par l'art qui vous sied le mieux ; la poésie. J'émets tout de même un bémol au sujet de la race, qui pour moi est un mot qui détermine les animaux, et non les hommes. Et ce n'est pas le terroriste que je cherche à disculper, bien évidemment. |
Robot
19/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Sans pathos, ce texte reportage est poétique dans le sens ou l'on ressent le rendu de ce que le narrateur a vécu dans ces instants exceptionnels de gravité. Qu'il ait été présent ou qu'il exprime son effroi à l'annonce de ce drame qui a touché sa belle ville, il nous le fait partager.
Une analyse après coup, réfléchie, à l'inverse des textes écrits sur l'émotion du moment. |
Pimpette
10/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Fameux texte!
Beaucoup de travail et une réussite poétique en plus! Nous sommes dans la vie réelle bouleversée par une explosion meurtrière? Ou bien devant un film? les dernières lignes le laissent à penser? peu importe! Je n'ai pas lu, depuis les attentats, un seul article de journaliste qui donne la sensation, l'émotion d'être là tout cassé et sanglant au milieu d'autres pauvres corps blessés ou morts! je garde |
Anonyme
10/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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L'empreinte poétique sur ce texte fait que la relation de ces horreurs évite le piège du gore.
Le narrateur a su transmettre avec pudeur les instants tragiques qui lui ont été rapportés ; c'est ce qui confère son intérêt à ce récit. |
Anonyme
11/11/2016
a aimé ce texte
Bien
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Assez étonnant le mode
assez troublant le transfert entre vie et mort, théâtre fantasmé. J'aime aussi la chute qui sème le doute. Le doute car cette chute m'interroge sur la réalité des faits, comme si en fait il s'agissait d'un film catastrophe. Avant le générique, le mot Fin ? |
framato
10/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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FANTASTIQUE !
Je commence par ce qui m'a plus : le thème, son traitement, l'intelligence qui s'en dégage et je dis ENCORE ENCORE ENCORE !!! LéopoldPartisan nous conduit au fil de ses textes dans un univers qui louvoie entre l'anarchie, la révolte, la mise en évidence des travers de la société, mais ce qui compte le plus pour moi c'est l'évolution de son écriture coup de poing qui à chaque texte me paraît de plus en plus maîtrisée. Ici, pas de fioriture, que nenni, tu te prends les restes des morceaux dans la tronche... Et ensuite ? Ensuite les questions, les pourquoi, les prostrations... Léopold, chapeau bas. En plus du sens, je trouve que le rythme est impec (et le rythme, c'est important pour moi, vraiment). La coagulation fœtale, l'image est terrible !!! Tu sais que je suis très partisan, Léopold, de l'économie des mots, et dans ce texte ci, je n'en ai pas vu beaucoup à retirer. Juste dans la dernière strophe (répétition de tandis + des mots qui affaiblissent le propos, à mon avis) : Et tandis que de toutes parts se précipitent enfin les secours je reste prostré là tandis que les spectateurs quasi extatiques mais avant tout consommateurs se lèvent en m'empêchant de lire Jusqu'au bout le générique Rideau… Et tandis que de toutes parts se précipitent les secours je reste prostré là Les spectateurs - consommateurs se lèvent m’empêchent de lire jusqu'au bout le générique rideau |
papipoete
10/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Leopold,
Un séisme vient de s'abattre sur Bruxelles la Belle ; non pas une météorite venue de l'au-delà, mais la main du Diable ! Et ce diable ne hante pas là-haut l'enfer, il a installé son campement sur la terre de Syrie .Tel une pieuvre, Satan déploie ses tentacules, de poison le monde inocule, et arme le bras de ses " fous d'Allah " là-bas, et en France, en Belgique aujourd'hui, prend des vies féminines, masculines . - Station de métro Maelbeek - " Des enfants hurlent, pleurent, gémissent ; est-ce bon signe car d'où retentissent les cris, retentit la vie ... " un message ressemblant à un S.O.S d'un correspondant de presse, les mots manquent bientôt . NB horreur d'un jour ordinaire sobrement évoquée, sans haine |
Anonyme
10/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonsoir,
Votre écriture est toujours aussi originale. Je l'attends donc toujours avec la même impatience car elle se fait assez rare et je ne suis jamais déçu du résultat. Bravo à vous, Wall-E |
irisdenuit
10/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Réalité ou fiction.... peu m'importe, ce texte m'a pris toute entière du début à la fin.
Impressionné par l'écriture qui réussi à "poétiser" un événement réel. Iris |
Sodapop
11/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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En lisant ce texte, je me demande si vous l'avez personnellement vécu, c'est criant de vérité, si sincérement écrit. Chaque mot employé est utilisé au bon moment, au bon endroit. L'originalité de la construction poétique que vous utilisez, des images déversées comme un exutoire. Je vous félicite pour ce merveilleux texte.
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Noran
13/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bravo !
C'est sobre et intelligent, bien construit. Une mention spéciale pour : "d'une vie qu'on n'ose même pas imaginer autrement que comme inutile et malsaine inhérente non à la race mais à l'espèce." C'est simplement parfaitement écrit. Encore bravo. Merci pour ce partage. |
Anonyme
4/12/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Je trouve l’écriture vraiment intéressante, enfin je veux dire quelque chose me plaît…m’intrigue presque, je ne saurais pas trop dire quoi, ça fait un peu froid dans le dos, vu le thème y a de quoi, mais disons que la forme est bien choisie.
J’ai un petit bémol sur le passage donnant une vision du responsable comme voulant l’anéantir…je comprend le concept, même le sentiment, mais je le trouve simpliste. Du moins, c’est ce que je me disais à la lecture de ce poème, au moment de sa parution, j’ai pris le temps d’aller voir une vidéo de l’événement, et j’ai entendu des enfants pleurer, terrorisés, oui comme vous dites y’a de la vie si ça cri, mais si ça vit y’a du désespoir aussi. Du coup, je comprends mieux je crois ce que vous dites ici. Un cri ne fait pas dans la nuance, un cri c’est entier. Mais il m’a fallu du temps pour revenir vous commenter. Je reste avec des questions sur mon rapport à ce genre de drames. Au fond votre poème me questionne, pas tant sur vous ou eux que sur moi-même. Une réussite en somme ;o) À vous relire. |
Anonyme
5/12/2016
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Bonjour, Léopold,
C'est la troisième fois que je viens lire votre poème. J'espérais en y revenant y trouver autre chose que les premières fois, mais non, je n'y parviens pas. Je ne l'aime pas du tout et il m'est difficile de dire pourquoi, mais j'essaie quand même : peut-être l'impudeur, la confiscation, l'usurpation d'une identité qui n'est pas la vôtre et dont ne vous ne pouvez rien savoir. Non, je n'aime pas du tout ça. Je n'aime pas non plus la distinction faite entre race et espèce. Ayant écrit exactement sur le même sujet que le vôtre, je ne me permets pas d'évaluer. |