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Anonyme
11/6/2009
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un rythme incroyable... tout du long et dès l'entame:
"Je, souvent, Ressens, sanglant, Ce père absent"... ça déjà est magnifique !... les trois premiers vers de chaque strophes sont uniques en cela... le reste me parle moins mais que ces 12 vers sont sublimes.... J'arrive pas à noter, mais bon sang que je regrette tout ce qu'il y a autour de ces 12 vers... Selon moi, isolés, ils font partie de ce qui m'a le plus parlé depuis longtemps ! |
Anonyme
11/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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Salut Partisan ! D'accord avec Isfranco pour ces entames qui interpellent... Le reste du poème est moins percutant mais suffisamment explicite pour comprendre ce que l'auteur a sur le cœur depuis toujours...
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Anonyme
11/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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Assez d'accord avec les précédents commentateurs. Les entames, le rythme, l'émotion. Tout est bon.
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ristretto
12/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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percutant , impossible de passer à côté ou de rester de marbre !
je n'ai pas vraiment apprécié "la greffe" des mots de maxime leforestier (bien que j'aime ce chanteur) mais bon ça devait de tenir à coeur sans doute. à bientôt |
Sido
12/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Magnifique, ce jeu du Je, Il, ces nombres de jours qui s'égrainent
"ça" ne tourne pas autour, "ça" dit les choses directement, comme un geste brusque, violent. Vraiment bien fait, sous le mot on a cette douloureuse absence. |
Anonyme
12/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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Belle progression d'une strophe à l'autre, ce va-et-vient entre un fils orphelin et ce père mort pour la patrie(quelle gloire!).
je comprends moins bien la chute: "pour pousser je me déplume". |
Anonyme
12/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce poème me parle. Il y a quelque chose de fort inscrit ici.
Un manque violemment exprimé que tu exprimes à merveille dans la dernière strophe avec ce vers : "Pour pousser, je me déplume". |
guillaume
12/6/2009
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glacant et percutant, comment ne pas se laisser entrainer ?
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Meaban
13/6/2009
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il y à ce décompte qui va vers l'infini de ce que l'on sait avoir perdu, j'y trouve aussi l'écriture que l'on est obligé de se donner pour parler à son âme, que seul on peut vraiment consoler
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Anonyme
13/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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très beau poème . Ce père absent, toujours présent...très émouvant. ( Mais autobiographique...)
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Absolue
13/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime surtout les derniers vers. Le nombre de jours s'accroit mais le manque reste... Et aussi les débuts, lorsque le verbe ne vient pas directement après le sujet, ça donne de l'intensité.
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Anonyme
14/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Lumumba, découpé en morceaux et dissous à l'acide à Elisabethville en 61; révolutionnaire africain trop méconnu, même si un film lui a récemment rendu hommage.
Un poème qui (me) parle, qui "sonne vrai". |
David
16/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour LeopoldPartisan,
Une idée qui a l'air toute simple, à lire du moins, cette alternance des souvent/soudain, j'ai bien aimé, bravo. |
Anonyme
7/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un texte qui m'est très parlant, seul point commun "l'absence d'un père", elle ne fait pas grandir de la même manière, il y a un manque, votre histoire est très très émouvante, vous l'avez posée avec justesse, pudeur, avec des mots qui interpellent, qui dénoncent, qui racontent, j'aime cette alternance entre le "je", le "il" qui souligne davantage l'impression d'un lien nécessaire que le temps aura établi, mais autrement.
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