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Robot
22/10/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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J'en suis tout époustouflé. Un conseil, le lire à haute voix, en acteur, comme la tirade des nez ou celle d'harpagon. J'en ai perdu haleine en cours de route, mais franchement, on court de verset en verset, de vers en vers, ça décroche, ça décoche ça tire à mots portants, et c'est revigorant puis cela s'apaise doucement dans le déroulé de l'éloge funèbre, jusqu'au cercueil final.
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Anonyme
12/11/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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Waoh !! Grandeur et déchéance. Un texte qui aurait incontestablement sa place sur une scène de théâtre.
Un premier quatrain qui plante le décor, comme un trait qui atteint sa cible exactement. Une première partie qui trace le portrait de ce poète" Chéri applaudi béni " qui a sombré dans la dépravation. Un texte en or pour un récitant... Puis survient un monologue pathétique, avec un dernier quatrain superbe. Du grand art. Une question que je me pose : pourquoi faire évoluer Morphée au féminin ? |
leni
12/11/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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salut léopold
Epoustouflant Grandeur décadence Monologue Un texte théâtral à dimension humaine Que citer? Tout Quoi qu’à en croire Jean Genet Il fût plus confortable de partager La couche de Jean Marais Que celle du flibustier Arthur Rimbaud Ce texte a mis du temps pour atteindre ce dépouillement et cette force de frappe je pense chapeau bas!merci! salut à toi Leni |
TheKid
14/11/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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En te lisant (à haute voix) j'imaginais Léo Ferré sur scène...
Je n'ai de mots pouvant traduire toute la force des tiens Reçois mes plus sincères félicitations pour ce magistral écrit |
Anonyme
23/11/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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Voilà un joyau littéraire
Qui, de la musique, attend un air Pour transformer tous ses carats En les plus purs de ses éclats. Peut-on un jour espérer Entendre ce texte chanté Sur une musique létale? Et ainsi l'oeuvre sera fatale! |
Dyonisos
6/3/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je suis un peu dérouté par ce style de poème, mais je salue le travail de l'auteur, qui a bien travaillé son sujet, à la manière d'un auteur de pièce de théâtre...
En effet, je verrais davantage ce texte raconté sur les planches, face à un auditoire attentif, que classé dans la catégorie des poèmes... Il mérite certainement mieux donc... Bien que je n'ai pas adhéré en totalité je noterai de manière favorable. |
Pussicat
21/12/2014
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Bonsoir LeopoldPartisan,
Quelque chose me gêne dans la forme dès les premiers vers... pourquoi envoyer le lecteur à la ligne ? j'aurais bien vu ces vers en prose dès "La nuit.." "La nuit était aussi blanche que son âme noircie par la poix de l’opium qu’il inhalait goulûment en rêvant sans cesse à la rédaction de nouveaux manifestes à la gloire de jeunes manants dans le vent et autres Adam en Astrakhan." ça coule, ça roule et la musicalité du verbe suffit. Les rimes intérieures sont belles à l'oreille, pourquoi les rendre visibles ;) Petit bémol sur la répétition des "tu","toi","moi" et sur "l’éloge funèbre" que je trouve un peu faible pour un sujet si brûlant, bouillant, fumant, sensible... J'ai goûté... de loin, votre texte (joke) avec plaisir, A bientôt de vous lire |
Anonyme
10/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai pris une "claque" en lisant ce poème de haute volée. Entre Morphée et Morphine, il n'y a qu'un pas. De strophe en strophe, chacun son "Morph".
Petit bémol toutefois : Morphée était un homme, non une femme. Cependant, morphine étant féminin, je me demande s'il n'y a pas une idée cachée derrière le côté féminin de Morphée, allez savoir... De l'ambivalence à l'ambiguïté, il n'y a qu'un pas... |