|
|
Provencao
25/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Un grand Bravo pour ce prologue qui propose une très belle réflexion sur la particularité de ce doute qui une fois distillé, hante a travers vos vers notre rapport au réel et son insolubilité le place à la hauteur de la plus grande des énigmes, celle qui contient toutes les autres: " De ma rue j’aspire l’espace
Et les vertus charnelles D’un priseur de tabac blond Comme le temps qui passe" Belle démonstration à mon sens sur le concept de l'incapacité à démontrer que la vie n'est pas un songe.. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Queribus
28/10/2017
a aimé ce texte
Un peu
|
Bonjour,
Une première remarque qui me semble évidente: le poème est beaucoup trop long, c'est-à-dire propre à décourager tout lecteur avant de commencer; ce poème a, par ailleurs, des allures de poésie "traditionnelle" par la disposition des strophes et le nombre de syllabes mais bien-sûr ce n'est pas le cas; j'aurais préféré un texte néo-classique ou carrément un texte plus décousu "à la Prévert"; j'ajoute que la succession de terminaisons en ace au premier quatrain n'est pas du meilleur effet. Sur le fonds, j'ai eu beaucoup de peine à m’intégrer dans votre écrit qui demande, à mon avis, plusieurs relectures, avec cependant quelques belles images poétiques. En conclusion, je ne suis pas emballé par votre poème même si l'on devine quand même un gros travail d'écriture tout à votre honneur. |
Anonyme
9/11/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Malgré des passages intéressants comme :
" Prier que n’ai-je su prier Cette vie de bohème Où le cristal En ce pareil Au chant des sirènes Se dévoua à me désaxer ", je ne suis pas parvenu à entrer véritablement dans ce texte. |
papipoete
9/11/2017
|
bonjour Leopold,
Je tente de plus en plus, de laisser faire ma plume sur le papier ; ne lui imposant ni rime ni pieds, mais lui demande cependant de ne pas s'enfermer dans l'abstrait que seule une " pointure " saura apprécier ! " les rêves en exil " entrent dans cette catégorie où je me perd, m'égare dans le labyrinthe de vos lignes, où je suis bien certain que d'autres trouveront leur voie, et vous le diront par écrit, de vive voix ! |
Robot
9/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
Une fois passé le 1er quatrain je trouve qu'il y a quelque chose de poétique dans ce texte. j'aime les contradictions, les oppositions qu'il contient. C'est à la fois ras de terre et réfléchi.
C'est un texte à siroter en se laissant prendre par les goûts et les nuances. Un écheveau fait de la ficelle grossière au fil plus affiné. Vous avez compris que j'aime bien. La flèche descendante à cause du 1er quatrain qui me paraît trop en dessous du reste. |
Anonyme
9/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Un poème déroutant, tant il est abstrait pour moi,
dans son ensemble. Seules quelques petites phrases, m'interpellent par-ci, par-là. Votre propos me semble bien complexe à saisir, pourtant je me suis hasardé à plusieurs relectures, car votre écrit ne laisse pas indifférent. De l'émotion passe au travers de ce phrasé, qui semble se cacher derrière les mots, il faut dire mais ne pas tout dire. C'est troublant ... |
Eki
10/1/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
|
"Sont-ce encore
Les brumes de mes rêves en exil". Nébuleuses rêveries, voici un poème qui décrit bien l'art du songe...peut-être pourrait-on l'éclairer d'un clair de lune qui conviendrait parfaitement à son éclat... |