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brabant
1/7/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Récit d'un abandon.
Où l'abandonné est resté fort, (ou inerte ?), dans le clair obscur du soleil qui se reflète dans la lune (la nuit est propice à l'inertie). J'ai appris le mot "harpaille", il n'est pas innocent puisqu'il a à voir avec les biches qui, ici, s'en sont allées, comme l'aimée de Nathan. J'aimerais bien savoir qui est Nathan, dont le nom revient si souvent, connaître quelque chose de lui; il est trop impersonnel, c'est une attente, une attente désincarnée, sans passion. Là réside à mon avis la faiblesse de ce poème. Car il est bien écrit (l'auteur est habile, il sait manier la plume), mais il ne me touche pas vraiment; je n'ai pas d'empathie pour ce Nathan (les émotions ne sont pas présentes dans ce texte). "parme/charme/Carmes": cela fait un peu trop. "p/ch/c + armes": monotonie. Mais j'aime en revanche: "Combien d'années poussières Ont-elles recouvert de pierres" Oui, cet auteur fera de beaux textes, à condition de se mettre en danger. Ce texte-ci, bien écrit, ronronne cependant. ps: je pense que j'aurais dû écrire "auteure" et "elle" (?)... |
Lunastrelle
11/7/2010
a aimé ce texte
Bien
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J'aime bien... Je ne sais pas, mais c'est un ailleurs qui m'attire, la forme du poème m'incite à être entraînée et à simplement me laisser aller... Ce fut très agréable...
Quelques petites choses me semblent moyennes, mais ça passe, c'est dans le ton... Par exemple ici: "À l’abri de la lumière Nathan regarde ce luminaire Combien d’années lumière" (Le mot "lumière est répété deux fois, à peu de temps d'intervalle) Dans le troisième paragraphe, tous ces "armes", j'aurais aimé que le mot "charme" soit évité ici, parce que trop évident... Mais après, ce n'est qu'une question de goût... |
shanne
11/7/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
J'aime beaucoup, des images bien décrites. Le soleil s'est tu ou Nathan s'est tu ? Il regarde s'envoler ces quelques fétus de paille.. Il ne reste plus rien à part une lumière artificielle qui n'est pas vraiment la vie, même les couleurs deviennent pâles. Nathan aimait pourtant que tu le désarmes...Un triste constat, le temps fera les choses, et à l'abri de ce luminaire, il attend la lumière très fort |
Marite
11/7/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je découvre le charme de ce poème à la seconde lecture (à haute voix). J'ai aimé "les années lumière... les années poussières..." mais aussi
" la chambre carme... l'indigo et le carmin de cette chambre Rue des Carmes..." Belle poésie libre je trouve. |
framato
22/7/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un très beau rythme pour une bien belle chanson, avec un refrain, des rimes internes, des assonances, une vraie musique, servie par un découpage précis qui renforce le tout...
J'aime imaginer Nathan, à l'abri de la lumière, se souvenir du premier feu... mais rester fort... Un beau passage rue des Carmes... initiatique ? |