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Anonyme
27/2/2009
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Pour rester dans les rimes en an, oserais-je gnangnan ?
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Anonyme
27/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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Léopoldpartisan,
ces mots en -an deviennent pesants, paralysants, anesthésiant. c'est mon sentiment. Et comme c'était ton intention, finalement, c'est assez réussi. |
FredericBruls
28/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Léopold, je comprends bien ta démarche avec ton système de rime unique (la passivité, l'immobilisme du sujet), mais le manque de structure et de rythme du poème en rend vraiment la lecture difficile et heurtée. Personnellement, j'évite toujours d'enchaîner des rimes identiques, d’autant que tu rajoutes des assonances nasales à l’intérieur des vers. L'effet qui en résulte est souvent pesant et assommant. Mais ce n'est que mon avis.
J'ajouterai, pour finir sur une note plus positive, que je suis globalement d'accord avec ta philosophie. Nous sommes aujourd'hui de plus en plus les victimes de la tyrannie du faire à tout prix. Or, faire peut ennuyer, voire aliéner le sujet. Au plaisir de te lire. Ps : Bébert, sois gentil avec tes camarades de classe, veux-tu ? |
Anonyme
27/2/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime bien ce poème, il me donne envie de ne plus attendre parce que : ".... tout bouge, se répand Dans une frénésie de mouvements"
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Anonyme
27/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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Être là, ici et maintenant. Ton poème retranscrit assez bien ceci.
J'aime bien le passage où le mot "annonçant" sers de charnière à toute une suite d'enchainements, de répercussions. Une poésie emprunte de zen pas désagréable. |
Menvussa
27/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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Un petit poème humoristique qui m'encourage dans ma folle envie de ne rien faire.
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Anonyme
27/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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Pour rester dans les rimes en an, faut-il être "méprisant" ? On peut dire autrement en commentaire les choses et allier la note assumée au commentaire du lecteur déçu, ce qui peut s'entendre et se dire, "courtoisement". Fin de la digression.
Alors en effet trop de sons jumeaux altèrent le son, et c'est dommage. Toutefois, c'est un poème qui dégage une si jolie façon d'être, qui assume cette façon-là, que je n'en saurais éviter le charme. Voilà de la quiétude, de la zénitude, voilà qui détend. |
Anonyme
27/2/2009
a aimé ce texte
Bien
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Salut Partisan ! Toutes les rimes phonétiques en "an" c'est bien sûr la solution de facilité ; je le sais pour avoir souvent utilisé le même procédé... Cela dit, ça colle assez bien avec le texte, cet homme qui attend, indolent, qu'arrive le changement...
Mais au fait, qu'attend-il vraiment ? Aide toi, le ciel t'aidera ! Au plaisir de te lire. Alexandre |
jensairien
27/2/2009
a aimé ce texte
Un peu
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oui dommage cette overdose de rimes en -an
j'aime bien ce "moi j'attends" qui revient comme un refrain |
Nongag
2/3/2009
a aimé ce texte
Un peu
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J'aime bien le départ, la première moitié. Mais ensuite ( à partir de : "Moi, j’attends…
Oui, j’attends…") l'inspiration s'épuise et plus rien n'est vraiment dit dans ce poème. Ça devient répétitif. ... Et c'est dit un peu banalement... |
David
4/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour LeopoldPartisan,
J'ai un peu une impression de tension à la lecture, un volcan sous sa chappe malgré les propos, la rime unique, les "Annonçant" de la fin, m'ont donné cette impression, pas du tout sereine, une atmosphère lourde plutôt. Enfin, c'est ce que j'en lis, c'est curieux pour cela. |
Marquisard
3/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ton texte m'a fait sourire, je l'ai trouvé à la fois facile et bien fichu.
Divertissant. Au plaisir edit post lecture des coms : lourd ? en prennant un rythme de lecture lourd, oui, peut-être, mais en l'adaptant, je le trouve plutôt chantant. |