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domi
24/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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je l'avoue... ce poème m'a émue! "vous en avez bavé mes amours" est poignant
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Anonyme
24/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Le 11 septembre a été vécu par tellement de gens de façons tellement différentes que je ne peux qu'adhèrer à ton texte!
Je trouve remarquable la réutilisation de la Javanaise. Quelques vers géniaux: " Je pensais alors ne plus pouvoir regarder Qui ou quoi que ce soit en face ou même de côté Je pensais que malgré Toutes les larmes que j’avais versées Plus jamais les feuilles des arbres n’allaient repousser" J'aime aussi la non recherche systématique d'images, la simplicité des mots. Un poème très fort! |
LEVENARD
24/11/2009
a aimé ce texte
Pas
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Je n'ai pas du tout apprécié cette démonstration, trop arrêtée dans le temps et qui appelle forcément des connotations historiques.
Quelque part, c'est du sous Zola, du misérabilisme facile et grossier, et plus grave à mon sens un prétexte à écrire où l'on ne sert pas le sujet, mais où on l'exploite, où on l'emploie en faire-valoir. Du point de vue strict de l'écriture, c'est plutôt bancal Je ne pouvais penser Qu’à toi la rebelle Et à comment désormais Tu gérerais Cette trithérapie Avec ton petit sang mêlé Que je t’avais conseillé D’abandonner Tant je t’en voulais De ne m’avoir jamais écoutée Voila par exemple un passage en chicane assez difficile à négocier (je n'insiste pas sur la succession des propositions créant un peu de perturbation dans les ondes). Au niveau de l'expression, cela reste très banal, souvent maladroit, et musicalement atone. Ou faut-il lire ce poème comme le message laissé par une mère mentalement retardée ( je me réfère au vers : et d'essayer quand même de me le confier ce bébé) ? |
shanne
24/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
Prenant, oui...Le temps d'une chanson mais le refrain ne me quitte pas. Oui, le 11 novembre des corps" dansaient " une dernière chanson et nous étions là sans pouvoir rien changer. Oui, ce jour, des corps ont désiré suivre cet air de musique. Et pourtant que l'on veuille ou pas, la vie continue. Je suis là avec cette réalité, je vous promets de ne pas vous oublier et tout faire pour que vous reposiez en paix Un poème que je ne suis pas prête d'oublier comme cet air de musique qui ne me quitte pas |
irisdenuit
24/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salut Leopold,
Je lis ce poème comme une confidence, du moins c'est comme ça que je le ressens... les mots sont sobres, le fond poignant et l'écriture est belle parce que limpide. Pour moi c'est une confidence du coeur. Merci. Iris |
jaimme
24/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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La vie est bien pire que Zola. Des drames comme ceux-là sont bien plus que quotidiens, c'est malheureusement vrai, sauf à rester dans son cocon. Moi j'en côtoie tous les jours des gens fracassés par la vie.
Alors je suis touché, très touché de cette ode à cette famille pulvérisée par les événements. Oui le 11 septembre j'ai été touché par le drame américain, et par tous les autres événements. Ne pas oublier le reste du monde. Bien vu la javanaise. Un truc m'a accroché: "repousser" pour les feuilles. Curieux... ne ma demande pas d'explication, moins beau je pense. Bref l'acte d'amour de la grand-mère, en sera un quand même. Et c'est le happy end. Touché. Donc gagné. |
Anonyme
24/11/2009
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Je n'ai pas été sensible à ce texte, pour plusieurs raisons. Tout d'abord, quand on se réfère à ce point à une chanson, en en épousant certaines formules et sonorités, il faut, au moins, un minimum de rythmique et de musicalité. Ce n'est pas du tout le cas ici, et c'est quand même très gênant car cette musicalité aurait pu sauver, comme c'est le cas dans la plupart des textes de chansons, la pauvreté ou la banalité des rimes (car de ce point de vue, rien à dire, on y est en plein). Donc, vraiment pas convaincu sur le plan de la forme. Quant au fond, comment dire, il me laisse un sentiment de malaise. Cette association forcée à une référence historique, jusqu'au nom d'un des personnages, vraiment, j'ai eu beaucoup de mal. Tout, de la situation décrite jusqu'aux réactions de la grand-mère me paraît surjoué, faux et très complaisant à vrai dire. Je n'ai pas aimé du tout. Désolé. Bonne continuation. |
Anonyme
24/11/2009
a aimé ce texte
Pas ↑
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J'avais préparé un tout zoli commentaire et puis j'ai vu celui de Jphil qui dit avec des mots assez meilleurs que les miens, le fond de ma pensée.
Sauf que j'ajoute que je trouve par contre l'idée en soi très bonne, de détourner une date "Historique" pour n'en extraire que le mal personnel d'un individu. Sinon pour le reste, comme d'habitude je trouve, ça manque de fluidité, de rythme, de vraie émotion au sens ou je l'entends moi. J'ai comme souvent avec toi l'impression que tu me jettes de la poudre aux yeux. Désolée, donc, mais toujours pas ce coup-ci... Une prochaine fois peut-être, merci quand même. |
tigerlineh
6/12/2009
a aimé ce texte
Pas
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bof bof bof
rien de ressenti, rien emotionellement parlant. Etant très attachée a la musique, je ne la retrouve pas. Encore un peu de travail, mais c'est toujours ce qu'on me reproche alors si tu cherches justement a ne pas t'embeter avec certaines choses, alors je te comprendrais. Au plaisir tigerlineh |
MarionTouvel
22/7/2010
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Lourd, lourd... lourd ! Désolé...
Je suis peut-être à coté de mes pompes, mais j'entends la boîte à rythme, un geste biscornu de la main devant une caméra qui tourne dans un parking. Mais le flow n'y est pas mec, oh non le flow n'y est pas. J'avoue ne pas avoir une très grande sensibilité pour ce mode d'expression, mais j'admire la virtuosité, la fluidité, de nombreux artistes de la scène urbaine/hip hop. Et là vous nous crucifié littéralement au plancher : - surcharge sonore : trop de "é" ; trop d'infinitif du premier groupe, de participe passé ; du début à la fin du texte. - le refrain : des "j" et des "ou", martelés, inélégants, pour dire des banalités dont on a en plus du mal à saisir le sens exact : contradiction dans les termes : tourne le dos à la vie / mais jamais à vous ; en parallèle avec peur de tout/et surtout de vous/mais en fait jamais de vous, sauf que c'est écrit "jamais vous"... mais jamais vous c'est-à-dire ? Quand on me tape dur sur le crâne un message qui devrait être plus évident, plus évocateur, et que de surcroit ça ne rentre pas - bah ça fait aïe. - surcharge du sujet : l'idée du parallèle drame national, drame familial était très bonne. Mais vous forcez le trait : mort du sida et un suicide, le même jour, le 11 septembre 2001. C'est plausible, mais c'est trop. Ce n'est pas une réalité dépeinte dans ce qu'elle a d'insupportable, c'est un effet sans style, un coup d'épée dans l'eau. La dernière strophe, dont les phrases sont plus amples, semble plus travaillée. Je retiens : "Je pensais alors ne plus pouvoir regarder / Qui ou quoi que ce soit en face ou même de côté", mieux balancé, mais peut-être trop classique aussi. Ça ne me fait pas plaisir de l'écrire, mais en toute franchise, je trouve ça dans l'ensemble mauvais, même si l'intention au départ était intéressante. Et puis ce n'est que mon point de vue. Cordialement. |
jasmin
27/8/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai été fasciné par votre texte.
Le fait d'associer cette date avec des évènements personnels est une très bonne idée. Le texte m'a touché surtout parce qu'il est écrit comme une confidence.. Avec simplicité. Bravo, au plaisir de vous relire. |
shanne
28/8/2010
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Bonjour,
mes excuses, déjà commenté... |