|
|
| Cristale
12/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Classique, contemporain, libre, prose et récit, nouvelle, chanson, il y en a pour tous les goûts sur Oniris et je trouve sympa d'en avoir fait un texte-chanson.
Chaque quatrain met en valeur les différentes façons d'écrire qui, finalement, rassemblent les auteurs dans l'échange d'appréciations. Ouvert et généreux, voici un texte qui serait heureux de trouver un chanteur pour l'interpréter. Bravo et merci à l'auteur. Cristale en E.L. |
| Queribus
21/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour,
Une belle revue sur tout ce qu'on peut trouver sur Oniris, le tout dans une poésie"néo-classique" tirée au cordeau. Chacun s'y reconnaitra à un moment ou l'autre. Comme de bien entendu, la musique, les arrangements, etc (je sais, je rabâche toujours la même chose)...feront la différence. J'espère que vous allez trouver la (ou les) personne(s) qui sauront mettre vos mots en valeur. En ce qui concerne le texte en lui-même, je le trouve tout à fait réussi. Bien à vous |
| fanny
21/10/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Comme c'est joli, un hommage mérité à Oniris et des pensées affectueuses pour les copains copines dans des vers bien rythmés et dansants.
J'aime la référence à Dali et à Cadaquès pour la poésie libre. J'aurai préféré que ce texte léger soit clos sur une note positive, mais ce n'est pas bien grave. Bonne journée. |
| Anonyme
21/10/2022
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour Vincent,
Très sympa votre poésie slam hommage à Oniris ! Je suis curieuse de savoir ce que ça pourrait donner en musique. Bravo et merci pour la gratuité ! Anna |
| Donaldo75
21/10/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour Vincent,
J’ai trouvé ce poème bien tourné, empathique, résumant bien finalement la diversité de la poésie sur Oniris et conclu de manière réaliste. Les quatrains ne sont pas surchargés ; il en émane une forme de simplicité qui rend l’ensemble agréable à lire, qui donne de la place à l’interprétation sans se torturer les méninges ou chercher midi à quatorze heures. Merci pour le partage. |
| Vincent
22/10/2022
|
|
| wancyrs
22/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Salut Vincent,
Rien à redire sur ton texte, juste qu'il est succulent : depuis qu'Oniris existe, il fallait bien la faire, celle-là ! Ma strophe préférée est celle-ci : "ceux qui se disent libres nous inventent la lune un peu surréalistes, une roue de fortunes incrustée de diamants, donnant l'heure de Dali miracle de Cadaqués, ce petit paradis" Peut-être parce que je suis un auteur du libre. La fin est bien vue ; tout le monde n'est pas toujours heureux au même moment sur Oniris, mais ça fait parti du jeu... Merci pour le partage, Vincent ! Wan |
| Lotier
22/10/2022
|
« Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ». J'essaie d'imaginer ce que Jean Yanne aurait fait comme chanson sur ce thème… quand on pense au sketch des Routiers (avec Paul Mercey…). Mais il y a ce dernier vers très timide avec « peut-être ». Ah, qu'il est dur d'être aimé !
Ceci étant dit, il y a des images plaisantes, entre la Cour de Versailles et les villégiatures d'artistes. |
| papipoete
22/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
|
bonjour Vincent
Comme depuis 2013, je fais partie de ces danseurs non sur patins, mais sur " pointes bic ", je viens me mêler à ces réjouissances, où chacun danse sa chorégraphie, et même tente d'autres pas comme le ver libre sur le parquet ciré. Il brille tellement que s'y aventurer, peut sembler gageure au risque de se péter une syllabe, et pour se relever comme moi, faire des pieds...et des mains ! Certes votre carte de bal montre toute sorte d'exercices, sonnets élégants ou contemporains se prenant par la main, habillés simplement. NB vous nous faites danser, pour une fois sans musique, et agréablement nous suivons vos travelings, de tout côté de l'heureux, comme celui qui peut-être ne l'est pas. Pour ce gai moment, j'ai choisi comme cavalière, la dernière strophe, élégante à souhait |
| Miguel
22/10/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Cette fraîche peinture d'Oniris présente notre site comme un aperçu de la diversité du monde, la dimension tragique en moins, ce qui est reposant. La petite réserve finale n'est qu'une allusion à nos petites bisbilles et râleries. Le poème nous dit que dur Oniris chacun peut trouver son plaisir. Il y participe.
|
| MartinHer
22/10/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Chouette idée que cette chansonnette communautaire !
Il faut de tout pour faire un monde de poésie, des actrices et des acteurs surfant sur des longueurs d'onde bien différentes. Merci pour la lecture |
| solinga
15/3/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
|
Un poème qui célèbre avec bonheur tout ce dont est riche ce site et lieu de partage : la règle et l'insouciance, ce qui relie, ce qu'on relit, l'advenu et l'advenir...Au sortir de ces vers, comme dans l'entêtement d'une valse, on meurt d'envie de retourner danser (écrire !), avec l'humilité, peut-être, de qui reconnaît (cette citation rimbaldienne pour faire écho à la belle extension sémantique de l'orchestre, de la fête et du songe) que "La musique savante manque à notre désir".
|
