Bonjour,

Je remercie le CE, les lecteurs et les commentateurs de ce poème. Je le voulais dépouillé des figures de style, " à nu".

@Dimou : je retiens le mot " éblouissement" qui me ravit donc me transporte.

@Ornicar : "une tonalité grave sous une écriture légère" J'aime bien cette formule qui me fait découvrir un aspect de la poétique de ce poème.

@ALDO : Et oui je vous écris depuis le paysage de mon voyage intérieur? Pour la mention des cheveux, voir l'explication qu'en donne jfmoods.

@Provencao : " Votre poème réveille en nous des secrets" J'aime bien l'idée qu'un poème puisse faire écho en son lecteur. C'est pour cela aussi qu'on écrit.

@Papipoète : il faut peut-être l'encyclopédie des contes pour le lire, ce poème :)

@Boutet : Merci de m'honorer de votre commentaire synthétique mais qui va à l'essentiel

@Luz: je vais tacher de " faire la fête avec les fées" désormais ! Merci pour ce commentaire très personnel.

@Volontaire : Merci, et oui pourquoi les héroïnes de conte ne pourraient-elles pas prendre la plume ?

@jfmoods : The last but not the least, vous venez conclure ces commentaires en apportant la réf éclaircissant la mention de la chevelure ! Merci jfmoods.

Merci beaucoup



@

Merci Eskisse.

Puis-je garder ma version sans votre référence ? :

Une voix qui mêle une voix d'enfance
(un regret, un ton de petite fille)

à la voix de souffrance ?

Si oui... cool !

« Le texte est un tissu d’espaces blancs, d’interstices à remplir, et celui qui l’a émis prévoyait qu’ils seraient remplis et les a laissés en blanc pour deux raisons.
D’abord parce qu’un texte est un mécanisme paresseux (ou économique) qui vit sur la plus-value de sens qui y est introduite par le destinataire [...].
Ensuite, au fur et à mesure qu’il passe de la fonction didactique à la fonction esthétique, un texte veut laisser au lecteur l’initiative interprétative [...].
Un texte veut que quelqu’un l’aide à fonctionner. »

Umberto Eco, Lector in fabula Grasset, 1979

Bonjour Aldo,

Ma permission est-elle bien nécessaire ?

Merci pour votre venue ici.

Merci Louis, j'ai eu plaisir à poser mes yeux sur les diverses strates de votre commentaire.

Merci Pouet...

@Pouet : la lecture de Bobin fait du bien à l'âme, n'est-ce pas ?